Ara , je déterre cette question d’il y a quelques mois, non pas pour me porter un jugement sur ta santé mentale, car je n’en ai pas les compétences, mais plutôt pour te faire part d’une découverte.
Une de mes connaissances travaillant dans la métallurgie m’a expliqué que lorsqu’il réalise des traçages, il applique une méthode consistant à ne pas laisser qu’une marque sur la mesure, mais plutôt deux virgules se croisant ayant chacune pour point de départ la graduation du mètre. Il m’a indiqué gagner en précision, car la marque unique n’est pas forcément d’équerre, et ses extrémités sont forcément distantes, alors qu’avec sa méthode, le croisement des deux virgules coïncide avec la cote.
J’ai cherché aujourd’hui sur internet, si cette méthode était académique, et reconnue dans les métiers du métal, mais je n’ai trouvé que la vidéo ci dessous, présentée par le vidéaste a 5’12.
m.youtube.com/...h?v=f0sZgdciO2M
En tout cas, si ça peut servir…
Je serais même curieux de savoir si parmi nos amis boiseux, cette méthode est connue et utilisée.
Je vais prêcher pour ma paroisse. Je t’invite à te rendre dans un négoce de matériaux. Bien souvent, les particuliers ignorent que ces magasins leurs sont accessibles. De plus, tu trouveras des matériaux à prix concurrentiels, et surtout des conseils avisés.
Pour faire partie de l’un d’eux depuis près de 17 ans, je peux t’assurer que les personnes y travaillant sont formées, et connaissent la technicité des produits qu’ils proposent.
Ara , tu t’es identifié en tant que passionné du bois, comme bon nombre d’entre nous. Ce qui signifie que tu ne vis pas de ton travail, sans quoi, tu aurais choisi de te signaler comme professionnel. De mon point de vue, c’est assez fondamental, car la notion de plagiat ou de propriété intellectuelle reste assez limitée.
Je voudrais aussi revenir sur le terme création: notre passion commune est faite de gestes appris, d’assemblages, d’outils, et j’en passe. Si demain, tu publies une réalisation (je préfère ce terme à celui de création), quelle qu’elle soit, tu auras usé de techniques, mais pour autant, tu n’auras pas réinventé un nouveau concept. Au mieux, tu y auras mis ta patte sur un visuel, ou une dimension, mais en aucun cas tu auras réinventé la manière de faire. Et le jour où tu auras déposé le brevet de ton gabarit à rabot électrique, et qu’il faudra le vendre, tu seras sans doute ravi de pouvoir en informer le monde entier via les réseaux sociaux.
Mon propos serait plus modéré, face à un artisan vivant de son travail. Un ébéniste fabricant un beau meuble, pourrait se sentir floué de voir son travail ou son design copié.
Enfin, parlons de la notion d’inspiration. Je trouve que c’est valorisant d'avoir suggère une idée de création, plutôt qu’en être celui qui l’a copié. Est ce que tu connais le nom du peintre de la joconde copiée exposée au Louvre? J’en doute, par contre, tu connais très bien le nom du peintre original.
Salut boiseure !
Je dispose de la défonceuse GOF.
Comme le dis Quatermite , seule leurs bases diffèrent les deux modèles. La GOF peut fonctionner en plongée, alors que la GMF a une embase fixe non réglable pendant l’usinage. Ils la nomment d’ailleurs affleureuse.
Pour bien connaître la GOF c’est une super machine avec beaucoup de possibilité et de puissance, et je n’ai jamais atteint ses limites. Par contre, en utilisation sous table, je ne le ferai pas. Une défonceuse est prévue pour travailler avec l’outil en dessous. Les ouïes d’aération prévues pour ventiler le moteur se trouvent en général au sommet de la machine, lui permettant de ne pas trop se colmater avec la poussière. A partir du moment où tu installes ta défonceuse dans l’autre sens, les poussières vont retomber par gravité, et peuvent colmater les aérations en augmentant la chauffe, et réduisant la durée de vie du moteur ce qui serait dommage dans ton cas, sachant la qualité de la défonceuse que tu as choisi.
De plus, il n’y a pas d’organes de sécurité laissant la fraise totalement visible, avec les risques qu’elle engendre (dans l’utilisation classique de la défonceuse, les deux mains sont posées dessus limitant au moins le risque d’y passer les doigts).
Donc, pour moi, défonceuse et sous table ne sont pas un bon mariage.
Je ne comprends pas l’intérêt d’aligner ton steico au nu extérieur de ton bloc à bancher, puisque ensuite, ils seront décalés par la latte et l’épaisseur de ton bardage à claire voie. Serait ce pour que ton ossature a l’intérieur soit alignée avec ton rang de blocs?
De plus, il me semble que le DTU indique que la base du bardage doit être distante d’au moins 15cm par rapport au sol extérieur.
Je pense que c’est une histoire de profondeur de passe insuffisante. Si ta fraise creuse plus profondément, l’interqueue sera plus étroite , du fait de la forme conique de la fraise.
D’ailleurs, on discerne un joint régulier ouvert indiquant que la profondeur n’est pas suffisante.
N’hésites pas à revenir vers moi si ce n’est pas clair.
Pour ma part, mon expérience remonte à lorsque j’avais une dizaine d’années. A cet âge la, on teste sans cesse sa capacité de détente. Dans une ancienne ferme, j’ai sauté et frappé le linteau en bois de ma main, et une écharde s’est logée pile à la pliure de la dernière phalange de mon majeur. J’imagine qu’on a réussi à m’extraire l’écharde, néanmoins, j’ai toujours conservé un trou à son emplacement.
Vu que ça fait presque trente ans, j’imagine qu’il y a prescription sur le risque d’infection, mais tu devrais consulter.
Pour moi, ç est sur, c’est du chêne. La maille est caractéristique. Contrairement à mes camarades, je pense que c’est le vernis qui est griffé, et qu’il n’y a pas à utiliser le fer à repasser puisque les fibres du bois ne sont pas écrasées.
Il sera difficile de savoir comment corriger sans savoir quel type de vernis a été utilisé, et j’imagine, si tu es en location, qu’il te sera impossible d’obtenir la réponse.
Bonjour,
Concernant la méthodologie, il y a plusieurs manières de faire:
Dans tous les cas, il faudra fixer une lisse basse faisant la périphérie de ton bâtiment, qui sera protégée des remontées capillaires. Ensuite, soit, tu créés tes panneaux déjà contreventés en fixant tes montants d’ossature dessus, puis tu assembles tous les panneaux entre eux, et fixés sur la lisse basse deja en place.
L’autre solution consiste à créer une armature ouverte, que tu viendras contreventer ensuite. Cette solution te permet d’économiser quelques montants d’ossature, puisqu’ils n’auront pas besoin d’être doublés comme pour des panneaux individuels jointés par la suite.
Enfin, concernant le contreventement, il y a plusieurs manières de faire aussi. Tu peux contreventer en intérieur, ceci te permettra d’avoir une surface de mur lisse pour y fixer tes étagères ou outils. Il suffira de déterminer comment tu veux finir la face extérieure de ton atelier.
En contreventant à l’extérieur, tu créés naturellement de la place pour un éventuel isolant à l’avenir, et ceci te permet le cas échéant de le poser tout en étant abrité. Restera toujours à déterminer la finition extérieure que tu souhaites.
Concernant la charpente, d’autres auront plus de maîtrise que moi à ce sujet, et je leur laisse le soin d’exprimer leurs idées.
Il me semblait bien avoir vu passer cette question dernièrement. Je t’invite aller voir la dernière réalisation de fatalcaca. Il pourra certainement t’aider:
Je ne connais pas le terme, mais je souhaite faire avancer le schmilblick, et faire sourire etiennedesthuilliers par ma réponse saugrenue.
Ne serait ce pas une noue, pour laquelle les deux versants ne seraient pas égaux et ne tomberaient pas directement dans une équerre intérieure de chêneau, comme ceci:
Hello,
Je pense qu’à ta place, j’irai sur une colle polyuréthane en cartouche, type sikaflex ou fixall flex de chez soudal. Elles acceptent les variations de températures et colleront immédiatement si le panneau et sous le carrelage.
Si ton idée était de partir sur une colle à carrelage flex, cela t’obligerait a mettre un primaire sur le panneau bois, et acheter au minimum un sac de 5kg de colle, qui serait beaucoup trop pour coller deux carreaux.
A défaut de répondre à côté, et de te donner un troisième choix, je possède la bosch bleue GOF 1600 CE. Je l’ai choisie parce qu’elle permet la plus grande capacité de plongée de chez bosch, et je n’ai jamais atteint ses limites. Le réglage micrométrique est plutôt efficace, et je trouve que c’est une bonne alternative à une FESTOOL pour un premier achat.
Pour la compléter, j’ai acheté la petite affleureuse bosch bleue GKF 600 tout aussi efficace, mais ne permettant pas une plongée en plein bois, mais ce n’est pas la fonction que l’on demande à une affleureuse.
En synthèse, du coup, je n’irai pas sur la dewalt qui ne me parait pas être un fournisseur ideal pour le travail, et la makita, à la limite, pourquoi pas. Pour ma part je suis très content de ma bosch!