Sans traverse horizontale au centre, tu perds de la rigidité sur ta porte, tu risques d'avoir un "fruit" important avec le temps. Sinon tu renforces par des équerres métalliques dans les angles. Une section de 35x100 serait suffisante à mon avis. Sinon tu as une solution pour faire des cadres très rigides, un peu sur le principe du contreplaqué, je te fais un dessin.
Salut, les elipse de chez willyVanhoutte sont vraiment très confortable. willyvanhoutte...lipse-p3-r/2403
Mais clairement, un masque ça se sent toujours, malheureusement.
Tu as un article que j'ai écrit sur l'utilisation des rabots dans la gazette lutherie amateur, c'est plus axé lutherie, mais ça donne déjà des infos sur l'utilisation de tel ou tel rabot. C'est en téléchargement libre.
Une boîte assemblée à queue d'aronde, avec un fond monté sur rainure, c'est déjà très solide sans utiliser des épaisseur de dingue. Vu tes dimensions une épaisseur 10-12 mm serait suffisante je pense. Il sufit de molletoner l'intérieur ensuite, de faire un petit couvercle sur charnière, et monter une sangle ou une poignée. Tu peux limiter sans problème le poids de la boîte à quelques kilos à mon avis.
Ces rabots là ont de toute manières des joues très faiblardes au niveau du dégagement des copeaux. Là ce que je ferai personnellement, c'est coller deux feuilles de 2 mm d'épaisseur de chaque côté du rabot (un bon raclage sera de rigueur pour avoir un joint correct), ça va calmer la fissure, et redonner de la rigidité au rabot.
Déjà arrête toi au 400, ça suffira, pas besoin de monter en grain sur un chant de racloir. Pour l'affiler, il faut appuer vraiment fort aussi. Et le racloir droit, faut pousser dessus fort aussi quand tu t'en sers si tu veux qu'il morde. j'ai déjà vu des racloirs finalement très bien affilés, où c'est l'utilisation de celui ci qui pêchait.
Le cuir ne sert pas à affûter, mais à polir un tranchant, faire la finition de celui ci (passer de coupe rasoir, à scalpel). Il faudra toujours faire un maximum de pierre avant. Pour l'épaisseur tu t'en fiches un peu, surtout une fois que c'est collé sur un morceau de bois. Et les pâtes à polir, c'est pas utile. Quand ton affûtage est bien préparé, cuir brut (qui est déjà légèrement abrasif, comme le jean), et zou ça suffit. perso je ne m'ennuie pas avec des strop, je prends le dos de ma ceinture, posé sur l'établi (certains sur cette plateforme pourront l'attester 
)
La grande question, comment tu stockes ton panneau une fois collé ? A plat par terre, c'est mortel. Moindre variation d'hygrométrie ambiante, une seule face se prend tout dans la tronche et ça fait exactement ce qui t'arrives (dilatation différente sur chaque face, ça va bomber avec un excès d'humidité, et creuser avec un excés de sec). Vaut mieux les stocker debout contre un mur, avec un peu de pied, qu'à plat, ou alors prendre ses précautions avec des baguettes et lame d'air égale entre chaque face.
Tu en as probablement appliqué beaucoup trop. Il faut vraiment travaillé en couche très fine avec les huiles, et les laisser polymériser avant d'en remettre (elle polymérise sous l'action de l'oxygène). Idéalement pour l'application, il faut la faire chauffer, (au bain marie c'est bien), ça la fluidifie. Ensuite, après application (temps variable, c'est suivant ce que tu as mis), il faut vraiment essuyer le surplus. Et quand je dis surplus, c'est vraiment tout, faut pas hésiter à frotter gaiement. Sinon tu peux faire des passes rapides au décapeur thermique, pour faire exsuder tous les surplus, après application.
Comme les autres, c'est bien du chêne vert, aussi appelé "yeuse". Et pour la finition, on essaie de laisser brutes toutes les surfaces de contact avec le bois que tu travailles (semelle, guide etc). Le reste tu peux faire une finition si tu veux. Idéalement avant de s'en servir, il faudra probablement réaplanir toutes les surfaces guide du rabot.
