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140 réponses
Fof
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Si tes rouleaux tournent avec le bois engagé, et qu'ils tournent encore quand le bois bloque, rien à voir avec l'entraînement des rouleaux.
Les problèmes possibles :
-Ressorts de rouleau tendus trop fort, ceux appuient trop sur le bois. Tu as normalement 4 réglages pour tendre ou détendre ces ressort, un à chaque extrémité de chaque rouleau (les 4 tiges que l'on voit à l'intérieur).
-Table pas assez lisse, le bois coince dessus : un coup de cul de bougie ou de paraffine sur la table, c'est radical. La clairement sur les photos que je vois de ta table, passe déjà un bon gros coup de laine d'acier dessus.
-Bois avec un taux hygro trop fort : le bois fait un espèce d'effet ventouse sur la table et ça coince. C'est pour ça que les raboteuse de charpente ont une paire de rouleau libre dans la table pour éviter ce phénomène avec des bois trop humides.

Le rouleau d'entrée cranté, faut le nettoyer de temps en temps, surtout quand on rabote du résineux.

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par SebD il y a 4 ans
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Pour le placage au fer à repasser, je conseillerai plus du 6/10. Et pour le fer à repasser, c'est pas utile de rayer la surface au rabot à dent si utilisation de colle vinyllique (ne pas prendre de prise rapide en général pour la colle, la colle standard). Des bonnes adresses ont été fournies, j'aime bien Placage-bois, il a des belles choses.

Fof

Aucun problème d'utiliser ces bois, c'est juste que l'approvisionnement est archi compliqué. Souvent des petits diamètres, et aucune reproductibilité sur les quantités. Si tu commences un meuble en oranger, s'il t'en manque pour terminer, bon courage pour en retrouver. Souvent c'est utilisé en petites touches, poignée de tiroir, filets, etc.

par Simon Lacroix il y a 4 ans
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Salut, là pour commencer tu as trop de fer. De deux, le coin, il faut le tailler en pointe, de même que l'embouchure, pour que ça rejette le copeau sur le côté du rabot.

par AurelVty il y a 4 ans
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Vu le boulot de nettoyage, et probablement de contrôle de l'intégralité de la machine, 500-600 balles, pas plus. Néanmoins, Utis ce sont de bonnes machines, et là c'est encore la période "tank" des machines à bois.

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Fof

Salut, tu peux déjà commencer par potasser les fiches du CIRAD, il n'y a pas tout, mais elles sont plutôt complètes pour chaque essence. Pour les produits modifiant les apparences, les bouquins de menuiserie/ébénisterie axés finition.
tropix.cirad.f...hes-disponibles

Fof
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Oh si, vu la maille et l'écorce, c'est bien du charme, m'est avis. Et les ondulations ressemblent bien à celles du charme. Mais il n'est pas sec là ?

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Fof

Salut, sur les rouleaux entraîneurs de raboteuse, il y a des réglages, c'est des ressorts à tendre ou détendre, qui font que ça presse plus ou moins ta pièce de bois. Pour la sortie des fers, ça dépend des machines et du type de fixation, mais souvent le départ du biseau de coupe est souvent rapproché de l'arbre, à 1 ou 2 mm.

Fof

Salut, au rabot c'est rapide à faire Vu les dimensions. Encore plus quand tu amorces au riflard. Et pour terminer au racloir pour raccorder les facettes et faire un bel arrondi. Tu peux coller le couvercle en 3 pièces, avec les deux pièces extérieur de couvercle plus fine que celle centrale, ça amorce bien le travail, et les marches te servent de guide.

Fof
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Quelques fois, les arbres sont ondés partout, sans que ce soit du à de la compression de pied ou de fourche. A dire vrai, il n'y a pas de raison scientifique prouvé concernant ces ondes, mais plusieurs hypothèses, les conditions climatiques, la génétique de l'arbre, ou bien le réseau Hartmann des sols, ou plusieurs actions combinées. C'est très beau, et très prisé en menuiserie/ébénisterie de luxe et lutherie. Certaines essences y sont plus susceptibles que d'autre. Sur les sycomores, on a l'habitude de dire qu'un arbre sur 20 est ondé. Mais c'est difficile à vérifier, et ça dépend des endroits.
Le travail est plus compliqué comme tu as pu le constaster, normal, étant donné que le fil est ondulé, avec une alternance de fil et de contrefil (ce qui donne l'onde et ces reflets incomparables dès que l'on bouge la pièce à la lumière). Pour travailler ces bois en machine, c'est affûtage aux petits oignons, petites passes, et pour aider passer les pièce de biais en machine, pour ne pas attaquer l'onde frontalement, mais en travers, elles s'arrachent moins.
Si tu sais pas quoi en faire, je veux bien te l'échanger contre du frêne normal 😃
C'est rigolo que tu parles de défauts, pour ceux qui apprécient ce genre de figures sur le bois, c'est un cadeau de la nature (comme moi par exemple). On peut faire des choses superbes avec des teintes sur ce genre de bois ondé, ici de l'alisier :

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par Chriseime il y a 5 ans
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J'ai envie de dire, avant de chercher à modifier les angles d'attaques, d'affûtage, de dépouille, il faut raboter quelques kilomètres de copeaux dans différents bois pour voir déjà comment ça fonctionne. en attendant, l'angle d'affûtage indiqué, 25°, il est très bien.

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Fof

Si ils ont une couche d'acier doux soudé par dessus la planche (pour vérifier, un coup de lime pour voir si elle mord), tu peux les redresser à l'enclume.

Fof
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Si tu as un carter englobant le côté de lame hors table, pas trop de risque. Cependant, chose que personne ne fait avant de se servir d'un ruban, une fois tendu (on détend dès qu'on ne s'en sers plus), c'est vérifier l'intégralité du ruban avec un tour à vide, à la main. La moindre crique sur le ruban se voit en faux jour. Avec ce petit truc de vérification, je n'ai jamais cassé un seul ruban, et pourtant c'est une machine que j'utilise énormément. Cela me permet de les mettre au rebus avant la casse.

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Fof

Normalement sur des épaisseurs telles, tu devraient arriver à faire quelque chose de parfaitement plan. Mais si flèche de quelques mm, tu peux inverser les flèches au collage comme le dit sylvainlefrancomtois , elle vont se compenser. Faut pas hésiter à s'aider de lamellos pour gérer les alignements au collage. Après moi je suis plus partisan de bois sur quartier pour les grandes tables. C'est beaucoup plus stable.

Fof

Salut, personnellement, je ferai plus un plateau avec ceinture, c'est beaucoup plus simple. Tu fais l'âme en épaisseur 25 à 30 mm, tu colles ensuite deux traverses longues en 45 mm d'épaisseur, et pour les bouts, soit alèse en 45 mm d'épaisseur tenonnée. Ou pour les bouts, tu prévois une surcote en longueur, tu coupes une bande de 5 cm à chaque bout, et tu la recolle par le dessous. Et ensuite tu colles tes traverses externes plus épaisses.

Fof

Les scies Pax/thomas Flinn sont de très bonne facture. Pour l'affûtage, c'est toujours à reprendre chez soi, tout comme les fers de rabot. Mais quelques coups de tiers point, ce n'est pas très sorcier à donner. Et ces scies sont à affûter régulièrement, tout dépend de ton contentement quand à la vitesse de coupe. certains se contentent d'un affûtage rincé, quitte à passer 2 fois plus de temps pour scier les morceaux de bois, alors qu'une série de coupe de tiers point sur une denture à déligner, c'est pas bien long à faire (moins de 5 minutes). Les dentures à araser/tronçonner sont un peu plus longue à affûter.
Après si tu n'as pas encore de scie, je te conseillerai plus une scie à tenon, c'est plus polyvalent qu'une scie à queues d'aronde, et ne t'empêche en rien de faire des queues d'arondes avec.