Je vais essayer de rester dans le sujet, je risque de ne pas être si objectif que ça, je me suis installé dans les années 90 et comment dire j’ai tout fais, de la menuiserie de la charpente, du pvc, de la résine, de la restauration de meuble, de la fabrication de mobilier régional en fait j’ai survécu
Je suis issu de la filière bois depuis toujours, pas de reconversion, sortie des écoles je me suis formé sur les chantiers puis j’ai enfin réussi à intégrer l’atelier, 4 années après avoir intégré cette entreprise je prends le poste de chef d’atelier, j’étais le seul à l’époque à avoir une maîtrise, à 25 ans j’ai 25 personnes à diriger des chantiers de grosse ampleur à gérer les commandes à faire bref de l’expérience je m’installe a 30 ans mais pas sans contrats mon bosse de l’époque avais besoin de personnes hyper compétentes le jour de mon installation j’avais suffisamment de factures pour pouvoir me payer quelques machines.
Mes dernières armoires lorraines, mes cuisines tout en massifs, les escaliers, 2 ans de boulots d’avance, tout s’écroule il a 10 ans et aujourd’hui je me suis séparé de mon personnels j’ai investi dans des machines pour le traitement des produits semis finis et je dois dire que pour un boulot moins chronophage plus rapide en exécution je vends le mobilier au même prix avec moins de stock une rentabilité de 70 % mais attention cela grâce a des architectes des collègues qui ne trouvent pas de personnel et pour qui je vends souvent ma main d’œuvre et là la rentabilité et encore meilleur puisque je n’utilise pas de matières premières tout est fournis par les collègues.
Conclusion la conjoncture et les tendances ne sont plus du tout comme avant les années 2000 il faut se réinventer travailler différemment je pense que si vous souhaitez changer de direction il ne fait pas vous limiter à vos seules envies mais prendre ce qu’il y a à prendre, ce qui permet de quelques fois avoir quelques retombés plus intéressantes il en vas de la survie d’une entreprise.
Bon courage à vous dans votre nouveau métier.
Encore une fois je n’expose que mon vécu et celui de quelques-uns de mes collègues avec qui je partage les mêmes analyses .
j'en ai pas mal bouffé et comme Sylvain a la brosse métallique, maintenant ce que je faisais ,un ancien m'avait montré pour des panneaux cérusés, c'est de prendre une éponge et de l'eau très chaude l'action sera de faire remonter le fil du bois ( attention je mouille généreusement même sur du panneaux plaqué il faut trouver la quantité d'eau a laisser en surface) il ne te reste plus alors qu'a passer la brosse métallique et de frotter sans excès puis de re-poncé pour supprimer les micros rayures présente sur le bois dur et laissé par la brosse les machines c'est bien si l'aspect peu resté brut voilà mon mode opératoire qui ne coûte rien sauf a tester.
pores ouverts sur placard frêne laqué blanc pas sur que l'on voit bien les veines sur la photo.
Je suis pour, même si le temps me manque pour pouvoir relever quelques défis, je peut également proposer des idées, pour ce qui est du politiquement correct et de la philosophie à 2 balles j'ajouterais que si ça ne nous intéresse pas il suffit de passer son chemin je suis aussi contre le carton rouge ou vert mais chacun fait comme il veut .
dans cette configuration mélaminé de 22 mm pour la flèche si porté supérieure a 600 mm, si tu tiens au médium applique de la colle blanche dilué sur les chants et surtout pour gagner du temps utilise un medium a laquer tous ne le sont pas, applique ta première couche sur le panneau avant de débiter tu gagnera un temps fou.
un menuisier de village.
perso je n'utilise que du PU + catalyseur depuis 30 piges et je n'ais jamais de retour même sur de l'escalier a fort trafique, mat ou satiné cela dépend de la charge de base a mater le gloss ravit, 5 ultra mat, attention sensible au crayonnage, 80 ultra brillant et non jaunissant pour ces produits.
le seul problème c'est que je rentre ces produit en bidon de 25 litre pour la marque milesi.fr/fr/
Avant j'utilisais un gabarit de chez Wu Rth qui faisait bien le job il y avait la mèche de 35 et les 2 forets pour les inserts ceux-là étaient réglables, un autre gabarit pour le percement de la cale distant de 37 mm du chant était livré avec.
Aujourd'hui j'utilise la multi broche, du coup toutes les perforations sont réalisées avant le montage des caissons et la quincaillerie est montée aussi avant assemblage du caisson cela évite de se contorsionner et un gain de temps non négligeable.
Comme etiennedesthuilliers je ne vois pas la nécessité de disposer de cette arbre il faut être pragmatique et finir par de petites passe de finition plutot que de taper 2 ou 3 mm a chaque passe,
pour moi arbre 4 fers hautes qualités engager les bois un peu oblique et le tour est joué.
un ancien menuisier.
alors comment dire chez les aģenceuceurs que j'ai côtoyé on utilisais tous le même langage
pour le caisson, les montants ce nomment joues le dessus le dessous parquet plafond, tablettes pour les pièces horizontales fixe, rayons pour un rayon, cloison pour les montants intermédiaires et un fond un fond voilà si j'ai pu t'éclairer.
j'allais oublier pour les demis plafonds dans les caissons de cuisine on les nomment rails.