Bonjour ! J'arrive un peu tard … Personnellement j'utilise des forets à métal et je soigne leur affutage. Elle sont plus raides que les hélicoïdales et c'est sécuritaire lors du charriotage de finition. Le problème est la forme conique du bout du foret. Je finis la mortaise au bédane pour obtenir un fond à peu près plat et bien sûr pour lui donner sa section rectangulaire. Il existe des mèches spéciales mais je n'en ai pas trouvées et suis preneur d'info.
La notice de la C210b préconise d'utiliser la petite poulie du moteur, ça évite l'échauffement et le noircissement. Cordialement.
Merci erredubois de ta réponse rapide !
La doc Lurem n'est pas explicite sur le sujet. Une photo gros plan serait appréciée. Sur la photo ci-dessus, l'anti retour est positionné sur l'axe du bas, avec des boulons Allen ayant une pointe conique servant de pivot. Le chasse copeau est sur l'axe du haut, le plus proche de l'arbre. Quand on bascule le tout vers le haut, position rabo, tout va bien, chacune des pièces est à sa place normale. Mais ça coince quand on bascule vers le bas pour être en position dégau. Mystère !
Merci de ton aide. Cordialement
Merci de tes efforts pour m'aider je file à l'atelier pour essayer de mettre ça en œuvre. A très vite.
Merci pour tes photos et la peine que tu prends pour moi.
J'ai posé mon PC sur la Lurem et comparé tes photos et la position de mes pièces, posé également la notice Lurem à côté. Il me semble que je fais comme toi et comme Lurem, apparemment, mais il y a un hic, en rabattant le chasse copeaux puis l'anti-retour, ces deux éléments ne s'emboitent pas comme il faudrait et ne descendent pas assez pour permettre à la table de dégau de redescendre à sa place. Je n'arrive pas à voir la faille. Ci-jointes 3 photos montrant : 1- les deux éléments en position raboteuse ; 2- le chasse copeaux rabattu mais l'anti-retour encore en place ; 3- tentative de rabattre aussi l'anti-retour. Si tu trouves la faute, ce serait génial. Merci encore. Cordialement
Je vais tenter d'être plus précis. Tout semble aller bien en mode rabo, bien que la fonction anti retour ne fonctionne plus aussi bien. Pour repasser en mode dégau, la table de rabo est d'abord descendue pour ne pas gêner. On bascule ensuite le chasse copeaux vers soi. Sa course est limitée par l'axe de l'anti-retour sur lequel ses bras se posent. Enfin on rabat l'anti-retour pour l'emboiter plus ou moins dans le chasse copeaux, mais il bute tout de suite sur ce chasse copeaux et reste en position trop haute pour permettre à la table de sortie de la dégau de se placer sur ses cales. J'en déduis que je fais une erreur de montage, mais laquelle ?
Un ami vient de récupérer en forêt privée une vieille grume, sèche depuis longtemps, et il en a fait une belle poutre. Dommage d'abandonner ça aux flammes. En charpenterie, il faut quant même de la longueur. A toi de voir. Une difficulté sera de manipuler ces grosses bêtes. Un manitou ou équivalent est indispensable.
Merci pour ta réaction et ta suggestion qui est correcte techniquement. Cela dit à l'expérience, ça me convient bien comme ça. Probablement parce que l'effort principal reste dans le sens axial de la perceuse, sauf si on pousse fort une pièce à meuler en restant sur le bord du plateau, là ça commencerait à être litigieux. Cordialement.
J'ajoute point délicat qui est la hauteur correcte du support arrière pour avoir un plateau bien vertical. J'y suis allé en 3 étapes :
- 1- on réalise un gabarit en carton, la perceuse ayant été fixée sur le support avant;
- 2- on usine une pièce de bois avec la scie à ruban pour obtenir le support arrière en le laissant volontairement un peu haut;
- 3- on place la bonne pige sous le support avant en choisissant un foret de diamètre adéquat par tâtonnement jusqu'à l'obtention d'une parfaite orthogonalité. On creuse le support arrière d'autant.
Et c'est joué.
Merci Boisenformes pour ta réaction rapide ! Croyant bien faire j'avais nettoyé et sablé (400 puis 800) l'arbre de dégau, support de cette fameuse bague. Cette bague est bi-composant, intérieur acier et extérieur en composite, ces deux composants sont liés solidement. La crasse et la rouille limitaient la glisse acier-acier, arbre-bague .
De là à mettre de la colle sur l'arbre, ça me parait aller au delà de ce que le constructeur a prévu. J'ai saupoudré l'arbre de calc, ce qui semble (en rotation manuelle) fortement limiter le dérapage de la bague. Pour combien de temps ? Reste à tester avec le moteur mais j'attendais les conseils précieux des internautes sur le sujet. Bien cordialement.
Merci Boisenformes pour ta réaction rapide ! Croyant bien faire j'avais nettoyé et sablé (400 puis 800) l'arbre de dégau, support de cette fameuse bague. Cette bague est bi-composant, intérieur acier et extérieur en composite, ces deux composants sont liés solidement. La crasse et la rouille limitaient la glisse acier-acier, arbre-bague .
De là à mettre de la colle sur l'arbre, ça me parait aller au delà de ce que le constructeur a prévu. J'ai saupoudré l'arbre de calc, ce qui semble (en rotation manuelle) fortement limiter le dérapage de la bague. Pour combien de temps ? Reste à tester avec le moteur mais j'attendais les conseils précieux des internautes sur le sujet. Bien cordialement.
L'outil de gauche est un rogne-pied pour couper la corne qui pousse comme un ongle et qu'il faut rogner toutes les six semaines environ. La présence du fer limite en effet l'usure naturelle, il faut donc compenser manuellement. Le maréchal tape sur le rogne-pied avec un marteau appelé brochoir. Ici le rogne-pied a un manche en bois, ce qui est inhabituel.
Merci pour le partage.
Pour les mortaisage en série, avec butée donc, j'ai opté pour une solution très simple : le presseur retient non plus la pièce à usiner mais une pièce de bois (chute) placée derrière la pièce à usiner. Deux sauterelles fixées sur la chute maintiennent cette pièce. Une petite butée est vissée sur la chute. Pour le changement de pièce, lever les sauterelles (et non la presse !) et le tour est joué. Cordialement.
Salut Titimaster
Ton banc est beau et j'aime beaucoup le chêne massif . Personnellement, pour les meubles de jardin, j'utilise un mélange maison de saturateur à base de Térébenthine-huile de lin à 50/50, plus un chouïa de siccatif. Si besoin, foncer avec un peu de brou de noix avant le saturateur. A remettre chaque 2 ans.
Pour un banc en sapin peint en blanc dont les pieds pourrissaient, j'ai coupé proprement au dessus du pourrissement et collé à plat joint des pieds en acacia (Robinia pseudo-acacia). Prévoir un poil plus large puis rabotage-ponçage-peinture. C'est imputrescible. Cordialement.
Merci Titimaster pour ta réponse super sympa. Cette idée de clé Allen me parait très judicieuse et je regrette bien de n'en avoir pris connaissance qu'un peu trop tard, car ma solution (qui a marché) est moins technique avec un effort latéral et non axial.
Maintenant je commence à galérer au remontage tans les pièces sont montées à serre. Malgré le papier de verre 400 puis 800 et la lubrification, il faut taper comme un sourd et ça me déplait. As-tu eu la même sensation ? cordialement.
Merci pour ta réponse ! ça fait du bien de ne pas se sentir trop seul dans la détresse technique Effectivement j'aurais dû penser à regarder la notice ! Cela dit, il est impossible de taper derrière le mandrin lorsque le palier et son roulement côté mortaiseuse sont encore en place ...
Il fallait donc trouver autre chose. D'où l'idée de taper sur un bout de rond de D6 mm inséré dans un des 3 trous où l'on insère la clé. Une autre idée que j'ai découverte (après coup) vient de Titimaster qui avait soulevé le même problème il y a 2 ans : serrer dans le mandrin une grosse clé Allen et taper dessus, dans le bon sens bien sûr.
Maintenant je démarre le remontage et ça me semble aussi difficile que le démontage tant les pièces (les roulement et les paliers) sont montés à serre. Pas très marrant. Cordialement.
Salut ! J'ai vérifié sur SketchUp : ça s'emboite bien, bravo et merci de partager ! Mais au fond, quel est l'intérêt réel du tenon oblique (que tu as dessiné avec un angle de 80,3°, est-ce le hasard ?), et du tenon double, et de la queue d'aronde, sinon de suivre le grand André-Jacob Roubo qui effectivement concevait ses établis au XVIII° s. avec double tenons sortant. J'ai bien vu aussi l'établi de Samuel, surtout ses pieds obliques qui me donnent le tournis, le creux central, nid à bazar peu convaincant, et son BENCHCRAFTED Glide Crisscross bien luxueux pour moi. je ne l'ai pas suivi. Pour mon modeste établi (voir plan publié), j'ai préféré des tenons droits, simples et non sortant, c'était déjà suffisamment source de boulettes, une de mes spécialités ! Cordialement.