Merci de ton retour. Non, je n'ai pas pensé à ça ! ça parait astucieux : as-tu de l'expérience sur le sujet ? Toutefois, ça marche bien avec les roulettes en ligne, soit avec le presseur latéral (plan précédent) si la pièce est étroite (tasseau par exemple), soit avec un pousseur manuel comme celui présenté par Samuel Mamias si elle est plus large, soit carrément à la main si elle est très large et sans risque pour les doigts. Cordialement
Effectivement tu as raison . Que faire ? Que proposes tu ?
Pas mal 
Elégante réalisation. Pourrais-tu en dire plus sur le cintrage des éléments ?
Belle réalisation, accompagnée d’une excellente vidéo. Merci
Bonjour, si tu privilégies les circuits courts et le bilan carbone mini, il existe du peuplier français et des usines de CP en France. C'est ce que j'ai choisi notamment pour les couvre-cadres de mes ruches. Cordialement
Bonjour, il me semble que le classement de ce projet dans "création" est légèrement inapproprié, car j'a publié le plan de cette lunette et la photo de sa réalisation il y a quatre mois sur l'Air du Bois. Cela dit tu réalises de très beaux projets que j'apprécie. Cordialement.
Bravo pour ta belle réalisation et ç'eut été dommage de ne pas la publier, quel qu'en soit le lieu. La question de méthodologie est au fond assez secondaire. Le plan que j'ai publié de mon côté était proposé dans une toute autre optique : mettre sous format SketchUp le modèle présenté par le tourneur sur bois John Rander, cet excellent pédagogue Youtubeur, pour le rendre plus accessible à tous. La photo jointe prouvait simplement que ça pouvait bien fonctionner. Bien cordialement.
PS : inutile de répondre à ceux qui n'appliquent pas la philosophie bienveillante de l'Air du Bois et qui de plus se lancent à corps perdu dans un hors sujet fâcheux.
Personnellement je me place côté mortaiseuse, après avoir déplacé son plateau au plus loin
La main droite maintient la pièce tout en glissant sur le guide parallèle et la main gauche plaque la pièce verticalement sur ce guide
La jambe droite doit être aussi loin que possible pour que le dos soit bien d’aplomb
Ça me convient comme ça
Cordialement
PS je suis gaucher (des deux mains) 
Plus difficile à réaliser, moins beau (tarabiscoté) et moins solide, le bilan est vite tiré.
Merci, voilà qui est fort clair 
, je vais dorénavant y prêter attention car ça parait plus important que je ne le pensais ! Quelle propreté dans ton atelier, vraiment impressionnant ! Plaisant aussi ta petite pointe d'accent, qui vient de Belgique je crois. Cordialement
Merci de votre réponse. Comme vous pouvez le constater sur la photo jointe, les tourillons ont bien été arrondis, en forme légèrement conique. Je pense que cela a été fait à la machine. Et le processus a laissé une curieuse marque de chaque côté du tenon, marque qui mange nettement sur l'épaulement, sans raison compréhensible. Ceci est vrai pour le 5 lames qui sont tombées de mes persiennes. Cordialement
Il semble que la forme légèrement conique :
1- facilite l'introduction dans la mortaise cylindrique
2- au serrage, assure la rigidité
Merci pour cette réponse précieuse. Je ne connaissais pas la mèche à bouchonner, je pense que c'est cet élément qui me manquait. Bon, ça vaut quand-même près de 50 € ! mais ça pourra resservir pour faire des tourillons plus rapidement que sur mon tour à bois.
Pour le montage d'usinage, je n'ai pas de perceuse à colonne, j'envisage de travailler en horizontal sur la mortaiseuse à mèche.
Je pense ainsi être au plus près du processus utilisé en 1848 pour mes persiennes. Bien cordialement.
Merci pour l'info ! je suis un peu paumé dans la cambrousse et suis contraint d'acheter sur le Net. AliExpress propose un kit (8, 10, 12, 15) pas bien cher et avec de bons retours, je vais le tester et réaliser mes montages d'usinage pour fiabiliser le processus. Cordialement
Merci de ta réponse je suis allé voir ta question et les réponses correspondantes. Sur ta photo, on voit exactement les mêmes traces d'usinage que sur la mienne. J'en déduis que le même processus a été utilisé pour rendre ce tenon, carré au départ, cylindrique ou plutôt légèrement conique. Ce travail devait être déjà mécanisé pour répondre à un marché important, car j'imagine que ces persiennes étaient à la mode. Je vais donc chercher la mèche adéquate, l'idée étant de l'installer sur la mortaiseuse à mèche de la combinée et de faire le travail en série. Ce n'est pas trop ta philosophie si j'ai bien compris, mais 102 tenons et mortaises par vantail, ça fait beaucoup à la main !
Un conseil d'ancien : attends un peu avant de vendre ta raboteuse, ça rend tellement de service ! Bien cordialement
Au lieu d'une Forstner (chère) tu peux utiliser une mèche plate, plus abordable. Comme dit plus haut, il y a nécessité pour le guidage correct d'avoir usiné au préalable un avant-trou dans une planchette qui sera fixée au serre-joint. Bien affuter la mèche plate sur le touret avant le travail. Cordialement
Bonjour, effectivement il est nécessaire de dresser sa meule à eau de temps en temps, surtout si l'on affute des gouges de tourneur. Pour ma Scheppach, j'ai opté pour le redresse-meule de Tormek et j'en suis satisfait. J'ai bien peur qu'avec votre dispositif, tout ingénieux qu'il soit, votre meule ne tienne pas bien longtemps. Penser au coût de remplacement de la meule ! Cordialement.
Pour l'affutage de tes gouges, je te suggère un dispositif assez simple à réaliser soi-même, que j'ai posté sur l'Air du Bois. Là encore l'amateur de FLTM (fais-le toi-même) peut faire des économies substantielles. Si tu vas sur ma page, tu verras aussi divers outils à réaliser soi-même et même un compas forestier. C'est très agréable de partager plutôt que de rester isolé dans son coin. Cordialement.
Photo du "crabe" lève-hausse ou lève-corps (pour les dos fragiles)
Merci pour vos remarques La pince telle quelle marche bien et c’est un plaisir de voir s’élever en l’air une hausse pleine sans effort
Mettre la chaîne sous légère tension avec la télécommande du palan électrique et décoller la hausse à l’aide d’un lève cadre américain et ça part tout seul 
Placer une petite remorque d’autoportee par exemple immédiatement derrière le crabe que vous reculerez
Il n’y a plus qu’à descendre la hausse dans la remorque et à vous rendre à la miellerie
je n’ai pas eu besoin de frein de roue mais s’il y a une pente ce sera nécessaire
La principale difficulté est de faire rouler l’engin sur un terrain non aplani donc penser à l’avance à la préparation du sol
Si le terrain est boisé il faut aussi penser à élaguer car l’engin est haut
Bonne récolte de printemps c’est le moment
Amicalement
J’aurais dû commencer par le commencement
Placer l’engin à cheval au dessus d’une ruche
Descendre la pince de sorte que les sabots puissent se placer dans les poignées creuses de la hausse
Remonter la pince par petites touches jusqu’à la mise en tension de la corde ou chaîne de la pince
Suite: lire ci-dessus
Bonjour, comme vous je mets des chasse-abeilles. Cela implique de soulever une ou deux hausses pleines pour pouvoir glisser le chasse abeilles dessous. C'est trop lourd pour moi (hernie discale ...). Le crabe devient alors indispensable.
Ce matin, j'ai transféré une ruchette déjà bien lourde dans une ruche, là aussi le "crabe" aide bien, sa pince étant orienté à 90°. Et cet après-midi je fais ma récolte de printemps. Le crabe est déjà en position de travail prêt à œuvrer.
Le seul vrai inconvénient du crabe est sa mobilité un peu délicate. Cordialement
Les tonneaux de vins sont en chêne ! Certains pays autorisent même l’apport de tannins dans le vin !