Cela expliquerait le prix prohibitif, qui est d'ailleurs complètement en contradiction avec ce que je crois comprendre de la philosophie du designer.
Mais si c'est le cas, j'ai une pensée pour l'artisan qui doit passer son année sur sa scie à chantourner à couper du chêne aussi épais...
Merci Jean Galmot Kentaro et andrefy pour vos réponses.
Trois propositions différentes, mais aucun signe de l'existence de la "scie à chantourner numérique" que j'avais imaginée.
Je repars sans certitude, mais moins bête.
Je suis dubitatif sur le laser.
Je n'ai jamais vu une découpe laser laisser des bords aussi propres. De plus, le cône de focalisation doit être assez large à proximité des faces de la planche, ce qui complique la coupe verticale d'une telle épaisseur.
Cependant, je me base sur ce que j'ai pu voir dans le fablab que je fréquente, qui a je crois un laser CO2 de 130W. Il existe peut-être d'autres technologies et des machines plus industrielles.
Le patère noster semble être une meilleure proposition que ma solution
J'ai fait un petit guide pour percer mes patères bien d'équerre, mais je n'ai pas anticipé que si la cheville dans le mur n'était pas, elle aussi, parfaitement d'équerre, ça ne servait à rien
Au final, j'ai utilisé un peu de persuasion en jouant sur la flexibilité de la vis pour visser à fond.
Je ne suis pas du tout inquiet.
La cheville est donnée pour 20kg. La vis, bien que n'étant pas de super qualité, doit aussi résister à cette charge, d'autant que l'effort est surtout à l'arrachement.
Mais surtout la finalité est d'accrocher une serviette pour celles qui sont dans la salle de bain, et un manteau ou au pire un sac à main pour celles placées dans l'entrée. A moins d'avoir le sac à main aussi rempli que celui de Mary Poppins, ça devrait le faire, même sur le long terme.
C'est vrai. De plus qu'on a dans le collège une partie du bâtiment qui est quasi-circulaire, et que la prof d'Arts plastiques avait proposé qu'on en tire parti, avec la notion de devoir se déplacer pour voir l’œuvre dans son ensemble (car elle aurait été côté extérieur).
De mon côté, j'aime bien l'idée de découvrir les décimales en marchant, en cherchant éventuellement des motifs intéressants, et le fait qu'on comprend qu'on s'est arrêtés car c'était le bout du couloir (80m quand même) mais que la suite est infinie.
Dans une disposition circulaire, soit on revient au point de départ, ce qui laisse entendre un cycle qui se répéterait, soit comme au palais de la découverte, on fait un léger angle pour écrire les nombres en spirale, mais dans ce cas, pourquoi s'arrêter après seulement 2 ou 3 tours ?
Merci !
Je pense effectivement que quelques uns vont se mettre comme défi de les apprendre en passant dans le couloir.
En tout cas, ton fils connaît plus de décimales que moi
Héhé, merci !
Je ne garantis pas que tous mes élèves sachent faire une mise à l'échelle ou calculer une quantité de peinture en fonction de son rendement à l'issue du projet, mais une chose est sûre : on a passé de bons moments et les élèves étaient motivés.
Et ils ont bricolé un peu de bois, ce que je trouve hyper positif (mais je ne suis peut-être pas très objectif )
En fait, la toile qui déborde offre une protection supplémentaire, mais dans mon cas, le contact devrait se faire en amont (voir photo ci-jointe).
Pour être tout à fait honnête, la qualité de la coupe de la moustiquaire est dû au fait que j'ai commencé le chantier à 17h, et qu'il devait être en place avant l'arrivée d'amis qui venaient dîner (et à qui je ne voulais pas imposer une maison-sauna).
C'est vraiment un super ensemble.
J'ai deux questions, avec en tête l'idée d'en faire un aussi :
- Le site dont tu parles as-t-il des plans tout prêts ?
- Où as-tu trouvé les roues ? On en trouve super facilement sur les sites nord-américains, mais je n'ai pas réussi à en trouver en quantité et prix raisonnable en France.
Je n'ai pas le souvenir de ces réserves, mais je n'ai plus accès aux articles (à quand les résultats de la recherche consultables par n'importe quel citoyen ? )
Par contre, dans le résumé que j'avais posté, il disait avoir testé 10 essences de bois durs, sans trouver de différence notable, et que les planches en bois usées et portant de nombreuses entailles de couteaux se comportaient presque comme les neuves, au contraire de celles en plastique, qui sont impossible à nettoyer à la main une fois rayées.
Cela dit, effectivement, les fentes dont on discute ici sont plus importantes que des entailles de couteau.
En tout cas, la recommandation d'utiliser une planche par type d'aliment reste imparable. Si on fait cuire tout ce qui passe sur la même planche que la viande crue, on n'a plus aucun risque bactériologique. (Enfin, sauf si on considère qu'on peut trouver Escherischia Coli sur un légume qui serait tombé par terre sur un sol d’entrepôt contaminé, mais là on ne s'en sort plus)
Ah oui, ça donne un bon coup de neuf !
J'en profite pour poser une question intéressée, car j'ai un chantier du même genre qui m'attend dans quelques années, sur un escalier béton.
Avec cette technique de recouvrement, on perd forcément la régularité des hauteurs de marche, au moins sur la première et dernière. (A moins qu'il n'y ait une méga-astuce, autre que rehausser les sols de l'étage de départ et d'arrivée)
Ma question est : est-ce que cela se ressent à l'utilisation ?
Très chouette ! J'aime bien le contraste entre le plateau et les pieds.