
Cette ref est faite pour une grande largeur de coupe avec une "petite" lame (autour de 30cm je crois) du coup elle prend de la place.
Pour mettre contre un mur les systèmes façon Kappex Festool ou certaines Métabo plus compactes seront plus pratiques, faut voir les caractéristiques dont tu as besoin.

glaude , les bouchons d’oreilles marchent très bien et sont très largement utilisés dans l’industrie.
J’en ai des moulés sur mesure et ça marche aussi bien que mon 3M peltor. Je trouve les bouchons (moulés …) plus confortables et plus agréables par temps chaud. Après le coût est non négligeable, j’ai eu la chance de les faire faire au boulot.
Il s’agit de Cotral qeos orange filtre -33dB, c’est la protection maxi pour ce modèle.
Il y a des filtres différents suivant les environnements de travail.
Après casque ou bouchons il faut prendre celui que l’on met le plus car les dégâts du bruits des font en dose et pas seulement en niveau sonore…
Si on met la protection que pour les gros bruits et ben on néglige une bonne partie du problème.
Et il ne faut pas oublier que c’est pas parce qu’on a pas mal que l’oreille ne se dégrade pas, qd on devient sourd on peut penser qu’on a pas besoin de se protéger alors que c’est la qu’il faudrait faire le max pour pas perdre le reste de l’audition…
Voilà un résumé de ce que j’ai retenu de la formation bruit allant avec mes bouchons d’oreilles! Ah oui la soufflette c’est pas bon pour les machines, c’est pas bon pour les poumons mais ça flingue aussi les oreilles…
Brefs choisissez vos armes mais sortez couvert!

J’ai un casque Bose noise cancelling 700 et je pense qu’il marcherait très bien à l’atelier pour les bruits de machines, mais il serait inefficace face à des bruits de marteau par exemple. Cette techno n’est pas faites pour les bruits brefs ou variables (voix) mais est magique sur un bruit de fond.
Maintenant vu son coup j’ai jamais essayé, faudra qd même que je teste par curiosité.

Faut essayer les nappes transparentes… la table monastère cirée chez mes parents est très sympa, bon à l’époque on était plutôt sur une finition chêne foncé voire très très foncé.
Ma table de salon qui sert matin midi et soir est sous sur nappe pvc de 1mm d’épaisseur et ça protège des petits accident quotidiens mais on voit le joli plateau en chêne…

Ben après faut aussi se méfier de comment à été appliqué le produit. Si les préconisations du fabriquant ont pas été suivies, ça peut "mal finir".
A moment donné le "rubio" était l’huile magique mono couché à application facile et rapide.
Mais en fait pour un bon résultat on est loin du monocouche les produits de préparation et de "post finition" (je pense au métallisant). Ça reste facile à appliquer mais c’est moins rapide
Après des fois plutôt que de pendre pour argent comptant des commentaires internet un essai peut être instructif.

Eh ben ca va faire plaisir aux personnes ayant répondues ci dessous.
L’air du bois est un espace de partage, mais on obtient pas toujours la réponse que l’on souhaite avoir…
A priori pour un escalier il n’y a pas "une" méthode mais des règles empiriques qui permettent suivant l’expérience de celui qui les utilise de faire des choses plus ou moins confortable/joli/élégant…
Une conception en générale est une suite de choix et compromis ce qui fait qu’avec les mêmes données de départ on peut avoir plusieurs résultats… et aucun ne sera faux…
Je suis pas certain que ton commentaire t’aide à trouver la/une solution mais c’est sûr qu’il ne va pas t’aider à trouver de l’aide!

Avec un rabot à angle faible, j’ai un Lie Lielsen n164 (rabot a replanir de la taille d’un N4), l’angle et d’origine a 37deg, 12deg pour le lit du fer et 25deg pour le fer.
Après l’avantage (ou pas…) c’est qu’en changeant l’angle d’affutage on peut passer au classique 45deg ou plus si affinités pour des bois difficiles. Pas besoin de changer le chariot.
En revanche il n’y a pas de contre fer mais la lumière est réglable facilement.
Faut croire qu’on peut pas tout avoir!

Pareil que Glaude, rouge ou rien pour pas que ça fasse bizarre tendance moche avec la façade.
Si tu peux éviter les stries ce sera tout benef niveau entretien car c’est un nid à cochonneries (c’est la mousse des stries qui fait que ça glisse) c’est le départ rêvé pour les échardes (j’ai pas vu l’essence du bois choisi) en particulier pour du mélèze. Et puis si un jour tu veux refaire un beauté au platelage ben ça va être compliqué.

Willy74 Pour Holzprofi, il faut contacter directement Holzprofi france (M. Jully) car il y a (avait?) une remise systématique.
Un conseil, compare des devis et non pas des prix publics conseillés.
Et comme le dit justement Boisenformes, certaines options coutent un bras en accessoire au tarif pieces détachées. (je regrette de pas avoir pris la mortaiseuse et ses accessoires avec le combiné!)
L'idéal est de voir les machines et d'avoir un bon feeling avec le vendeur, c'est pas une assurance tout risque mais si deja a l'achat c'est tendu, j'ai pas envi de tester un SAV...
En parlant SAV regarde bien les conditions du SAV et de garantie, toutes ne se valent pas sur le papier.
Perso j'ai un combiné CU300 C et une SAR S45n en monophasé achetés chez Lomibois fin 2018 (pas loin de chez moi). Le propriétaire a changé depuis et je n'ai jamais eu a faire a lui.
Je suis très content du combiné meme si je l'utilise pas aussi souvent qu'il le mérite.
Pour la SAR, je m'en sert trop peu aussi, mais elle fait le taf, meme si ca demande un coup de main et de bonnes lames pour refendre proprement. Et qd je lis les commentaires sur l'AdB, manier la SAR est un art qui ne s'improvise pas!
C’est comme tu le sens… sur LBC on gagne pas à tous les coups, sur un achat seul c’est quit ou double, sur plusieurs on peut rendre à l’équilibre et sur beaucoup on peut gagner… ou pas!
Celui là ne paraît pas être l’affaire du siècle. Avec un peu de patience et beaucoup de réactivité on trouve plus engageant comme rabot.
Mais les beaux ou le doute est quasi inexistant partent dans l’heure de la parution de l’annonce voire moins.