Bonjour,
Mon réflexe d'industriel serait de partir sur une base la plus standard possible (moins de personnalisation = moins de réglages et de temps) c'est à dire partir sur une forme classique avec une taille de vitrage standard et j'utiliserai mon budget pour personnaliser la porte avec une surcouche type grille de ferronnier un peu comme dans l'exemple. Un autre moyen d'avoir un bon rendu c'est de trouver une quincaillerie dans le style et de qualité.
Pour le vitrail le soucis c'est que c'est en majorité fait à la main et coûte un bras et pour la performance thermique c'est là aussi compliqué.
Le choix de l'exemple n'est pas anodin une droite coûtera toujours moins cher qu'une courbe.
Bref je travaillerai avec mon menuisier pour voir ce qu' il peut faire pour la base avec un coût moindre et ensuite à partir de cette base je créerai l'habillage qui masquera le côté standard.
A vu de nez (j'ai collé mon nez sur mon téléphone pour bien voir) il y a des pointes et du mastic de vitrier donc je ne pense pas qu'il y ait de colle. Après sur les vieilles portes c'est un peu la roulette il peut y avoir tout un historique de réparations avec des techniques plus ou moins sérieuses.
Bonjour et bienvenue !
Ça fait de la belle niche !
Pour les caisses de vin bien souvent l'intérêt se trouve sur le côté du coup j'en ferai des tiroirs.
Pour le reste je ferai des niches dans la niche avec un petit coin bar / rangement /service et un niche de lecture entourée de livres avec 60cm il y a de quoi s'assoir.
Salut,
J'ai pas de référence mais j'utilise pour ça du double face de scrapbooking comme toi mais en 5mm et j'en répartis bien sur toute la largeur à intervalles régulier.
Après effectivement il faut pas faire des passes de bourrin mais pour le moment que ce soit pour défoncer ou découper j'ai jamais eut de problème.
Son avantage comme son inconvénient c'est de s'enlever...
Je sais que ce n'est pas le but recherché mais perso je jouerai le contraste quitte à l'accentuer. Le pin et le chêne ne se ressemblent pas et même si le jour de l'application de la finition ils vont se ressembler au final quelque temps après ils n'auront pas vieilli de manière identique. Donc autant donner à cette différence un air volontaire.
Je réponds mais avec absolument aucune certitude...
Dans le process décrit le seul truc qui m'interpelle c'est le dépoussiérage au compresseur. Ça a comme effet de vaporiser la poussière dans l'atmosphère et elle peut y rester plusieurs heures est-ce qu'il ne serait pas possible que cette poussière ne se redepose ensuite sur la finition fraîchement passée et en détérioré la qualité ? Chronologiquement les premiers panneaux auraient profité d'un environnement sains mais les autres auraient bénéficié de toute la poussière de leurs prédécesseurs...
Je ne sais pas comment font les autres mais j'ai appris à dépoussiérer au chiffon à peint humide.
Bonjour,
Je ne pense pas qu'il s'agisse d'un problème de corroyage mais un soucis de préparation du bois plus amont : tu n'as pas purgé le coeur. Or si tu regardes bien les parties contenant le coeur (dur) se sont moins rétractées que les autres parties (moins dures) a chauque fois la fente est apparue à l'opposé du coeur.
Le mélange d'essences est également toujours risqué vu qu'elles ne bougent pas de la même manière.
Pour la question de l'esthétique avant toute reprise il faut être bien sur qu'elle a arrêté de bouger. une solution pourrait être de mettre des flipos (en prenant soin de l'orientation des fibres) dans les fentes mais il est pas non plus impossible qu'en ajoutant du bois la planche autre part si le bois venait à gonfler.
La méthode préconisée par etiennedesthuilliers a fait des merveilles pendant des générations.
Sinon tu as l'option trou + vis + bouchon dans l'essence de l'étagère ça peut être très discret.
Mais le clou non je n'y crois absolument pas.
Je pense que je n'oserai pas. Les endroits où l'acier à bleui ont changé au niveau moléculaire et il est très probable que les interfaces entre les zones qui ont chauffé et celles qui ne l'ont pas sont devenues des zone de stress. Qui dit stress dit fragilités et à 3000 tours minutes j'ai pas envie d'assister à la rupture d'une de ces zones. En plus de ça la lame est devenue hétérogène ces zone ne vont plus chauffer ni se comporter comme le reste de la lame et si à froid elle semble bonne rien ne garanti qu'en chauffant elle le restera or une fois lancé difficile de s'en rendre compte.
l'outil de metabo a plaquettes pour remise à nu du bois.
gros ponçage puis finition.
L'ebonisation est pas une mauvaise idée
Si c'est pour une ligne droite je le coupe pas je le casse.
Je fait une rayure le long de la découpe puis je le serre le long du bord de mon etabli avec un tasseau ou une règle bien rigide le long de la rayure puis j'appuie dessus un coup sec (on peut aussi serrer entre 2 tasseaux la partie à enlever si la découpe est longue) ça casse très proprement.