Bonjour,
En ce qui me concerne, je prends toujours environ 30 % supplémentaire.
Mais c'est très aléatoire. Des fois il m'en reste et des fois il m'en manque. Alors j'essaie de voir avec la scierie s'il va rester du bois du lot que je prends, en quelle quantité, si c'est du bois qu'ils ont régulièrement, etc. Et s'il en manque j'essaie de passer rapidement dans la semaine ou la semaine suivante. Quand c'est possible, que le bois est prêt à mettre en œuvre.
Beaucoup de paramètres et un peu de hasard et de chance.
Les chutes trouveront bien un usage à un moment ou à un autre si elles ne sont pas oubliées sous d'autres chutes.
Bon courage.
Moi j'arrête quand je veux.
Et je recommence quand je veux aussi parce que j'aime bien.
Mince alors je vais pas culpabiliser de piquer des idées super, de rêver devant ce que je suis incapable de faire, et de chercher à trouver des stratégies pour réaliser quelque chose de nouveau pour moi.
En vrai un moment le matin et un bon moment le soir. Et ici "bon" est synonyme d'"agréable".
Longue vie à l'adb
Bonjour,
Pour la quincaillerie je ne savais pas que ça existait. Je suis curieux des réponses des uns et des autres.
Pour ce système d'assemblage je l'ai déjà utilisé sur des caissons ou des étagères et ça marche impeccable... jusqu'à maintenant aucun retour négatif. Je suis moi-même étonné de la solidité de ce type d'assemblage. Là aussi je suis curieux de l'avis des pros.
Attenant à mon atelier je me suis fais des toilettes sèches. Je me suis servi des copeaux pour remplir l'espace entre les deux parements (extérieur et intérieur) distants de l'épaisseur d'un chevron. Les parements sont en planches de peuplier de récup non dégauchies. En fait les copeaux servent plus pour couper les courants d'air entre les planches disjointes que pour isoler. Ça marche très bien. Je n'ai jamais remarqué (depuis 4 ans) de campagnols, musaraignes et autres souris. Les araignées s'y plaisent mais elles me régulent la présence des moustiques en été. Les bestioles sont discrètes et on se supporte sans problème notoire.
Bonjour,
Je dis ça, je dis rien :
Et si tu ne fixais pas les marches aux limons, mais fixais les deux limons entre eux par une tige filetée(peut-être plusieurs à deux ou trois endroits) discrètement derrière ou sous une marche (ou deux ou trois). La tige filetée peut se situer entre les limons, les boulons aux extrémités venant serrés deux sortes de brides vissées à l'intérieur des limons. Bon si je suis pas clair je peux faire un dessin
Bonjour,
Pour ce genre de problème, les poteaux n'auront pas de grosses contraintes. J'utilise des supports de poteaux que l'on trouve dans toutes les GSB. Par ex : "ici".
La difficulté relative est qu'il est difficile de les enfoncer directement à la masse (avec une cale de protection bien sûr !) car ça ne part jamais à la verticale et d'équerre. Un trou est souvent nécessaire.
Je trouve que les colles maintenant sont plutôt efficaces.
Par habitude, pour les colles blanches je ne ponce pas, je laisse brut de rabotage. Et quand j’utilise une colle PU (de moins en moins en fait), je gratte les champs car la colle s'incruste et se dilate dans tous les interstices possible.
Mais je fais ça à l'instinct et je suis curieux des us et coutumes en la matière
Pour commencer avec des outils à main :
marteau et/ou maillet
ciseau à bois
scie égoïne
rabot
râpe et lime
double-mettre
Pour commencer avec de l'électro portatif :
perceuse-visseuse
scie
ponceuse
Avec tout ça on peut commencer à y prendre goût et compléter à la demande en fonction des réalisations souhaitées.
Si je comprend bien tu voudrais faire un plateau de table de 2 m de long avec des lames de 1,7 m ? Je n'oserais pas. Même en les assemblant comme un parquet avec des vraies ou fausses languettes, il faudrait les soutenir dessous par des traverses tous le 40 ou 50 cm. Peut-être avec un cadre, comme tu le proposes, et en croisant les lames du panneau central avec les plus grands cotés du cadre, ce serait possible. Mais il faudra quand même au moins deux lames entières pour la longueur totale de la table.
Enfin ce n'est qu'un conseil à valider (ou pas) par d'autres avis.
Bonjour,
C'est sûr que posé au sol, du bois finira par pourrir, c'est un processus naturel. Le traiter ne fait que retarder l'évolution. Du chêne en bois brut à l'extérieur résiste longtemps, d'autant plus si le sol est bien drainé par du sable ou de petits graviers.
Pour en avoir fait l'expérience, le béton est la pire des solutions. Je ne sais pas pourquoi, et quelle est la réaction d'"antipathie" il existe entre les deux, mais le chêne pourrit aussi vite que du sapin mou lorsqu'il est plongé dans du béton. À mon avis à éviter absolument.
Je me demande si le couvercle est vraiment nécessaire pour un composteur. Un peu d'eau naturelle de temps en temps ne lui fait pas de mal. Chez moi ils n'ont pas de couvercle. Je dis ça je dis rien car le jardinage n'est pas trop mon truc, et ça n'a pas l'air de gêner mon épouse qui s'en sert...
Sinon je remettrais des charnières sans trop me poser de questions, avec des clous comme le suggère "trente six seb". Le bois a bougé, s'est sans doute chargé d'eau. Il a peut-être pris sa place et en donnant du jeu aux lames ça devrait le faire. C'est pas une table de salon, les tolérance ne sont pas les mêmes.
Bonjour,
Pareil que Kwood. Vois aussi les scieries mobiles de ton coin.
Et tu verras, en consultant régulièrement l'Air du Bois, tu vas voir des tas d'exemples de tous les niveaux et sans se prendre la tête. C'est un site très bienveillant où il n'y a pas de mauvaise question. Il y a toujours des réponses.