Il y a déjà eu des prises d'escalade sur le site.
lairdubois.fr/...=prise escalade
Je ne retrouve plus la recette du vernis pour la finition, recette permettant de maintenir l’adhérence avec le temps. Un truc du genre vernis + sucre devrait faire l'affaire. C'est utilisé pour les planches de surf artisanales il me semble.
Car avec le temps et surtout le contact répété avec les doigts, ton bois va se patiner, est cela va devenir glissant je pense. Dans mon club, on décape toutes les prises résine tous les ans, au décapeur à haute pression d'eau.
Je me permets de vous écrire pour vous demander la différence qu'il y a entre le chêne et le bois de tulipier Nord Américain.
Ben c'est pas l'même bois !
Faudrait chercher du coté de la taxonomie pour voir si c'est un parent proche ou pas... Mais peu importe probablement.
Les fiches essence permettent d'en soivoir plus sur les propriétés.
Comme le tulipier n'a pas encore sa fiche, il faut aller chercher des ressources externes. Des billes par ici:
Conscience
Le chiffon semble là pour maintenir la pièce métallique dans la conscience en bois.
De toute façon, l'axe pivote dans la pièce métallique. J'ai l'impression que ce modèle ne comporte pas de roulement/butée à bille. Ce n'est pas grave, si tu lubrifie la liaison et que cela tourne correctement c'est bon.
Poignée
La poignée bloquée, c'est curieux, car elle semble d'origine. Tu peux tenter de huiler un peu, pour voir si ça améliore les choses. Sinon, il faut effectivement en refaire une avec plus de jeu.
En vrai, l'essence on s'en fiche, pour peu que ce soit un bois dur.
Hêtre ou noyer font l'affaire, il sont tous deux employés pour la chose (quoique le noyer c'est quand la poignée comporte des paliers en bronze).
Rectitude du perçage
Pour voir si cela tourne rond, il faut bloquer la conscience sur ton front, et alors là tu verras immédiatement si ça tourne bien rond ou s'il y a un élément qui est désaxé.
Rouille
Je suis partisan de la restauration minimale. Si la rouille ne gêne pas, ben on peut la laisser. Sinon, léger décapage à la toile abrasive.
Et le plus important, lubrification des liaisons (huile). La différence de rendement sera sensible.
Comme j'aime bien trouver en local, je propose la marque Darex, qui faisait des copies des rabots Stanley.
Il faut aller chercher dans les plus anciens Darex, le moulage et l'usinage en seront meilleurs. Donc privilégier ceux avec poignée en bois.
Éviter tous ceux en tôle, en général ils sont rouges. Écarter également ceux avec un fer réglable par deux vis dans l'axe du fer. Bref, prendre un design semblable en tout point à un Staneley.
J'ai un peu de documentation sur le sujet Darex, je n'ai pas encore trouvé sous quelle forme la partager... Édition: pour commencer, une brochure avec tous les modèles de rabots Darex.
On trouve également parfois un rabot portant la marque Peugeot qui est plutôt bien. Il ne cote pas cher et fait bien le travail. En revanche, pas de choixp our la taille, il n'y en a qu'un
Sinon, les rabots bois, c'est très bien aussi, mais c'est moins à la mode...
Et ça ne coûte que 10€.
Demande à dependancesbois , il est presque convaincu maintenant
Pour le petit oiseau mystère
Petit tour sur le très bon site www.holzwerken.de
à la page de la liste des marques
On cherche la cigogne: storch me dit le traducteur automatique.
Ce qui donne, dans la longue liste:
Storch = Wilhelm Hembeck Söhne G.m.b.H., Gevelsberg, Westf.
Le second est du chêne.
Le premier ressemble fort à du peuplier. Les traces de clous laissent penser à de la récupération (palette ?), ce qui conforterait le peuplier.
Je n'ai pas bien compris l'histoire du pommier.
En tout cas, ce qui est assemblé avec le peuplier n'en est pas.
Les pores/vaisseaux ne sont pas visibles dans le pommier (qui pour moi est très proche du poirier)
On dirait plutôt du noyer (ellipse orange)
ou alors sapelli, sipo, ...
Oulala, les fers de bouvet, j'en ai aussi bien bavé et il y en a certain que je n'ai pas encore réussi à refaire fonctionner.
L'idéal est de mesurer les largeurs près du biseau, car les fers sont rarement bien droits (surtout l'entaille du fer à languette) et parfois retouchés au bout par l'affûtage (souvent le fer à rainure qui a pu être aminci).
La largeur de la rainure dans le fût, qui doit laisser passer la languette en cours de création, doit simplement être plus grande que la languette à créer, sinon ça va trop frotter. Qu'il y ait beaucoup de jeu on s'en fiche, ce n'est pas cette rainure qui sert de référence mais le conduit central du bouvet à joindre.
Ton fer à rainure est plus étroit que ton fer à languette: la languette va être trop grasse. Au pire, si tu ne parviens pas à resserrer ton fer à rainure comme le suggère sylvainlefrancomtois (j'aurais peur de le casser...) tu peux amaigrir ta languette au guillaume pour parfaire l'ajustage.
Et ensuite, il faut que rainure et languette tombent en face l'une de l'autre, sans créer de décalage au niveau du parement.
PS: j'ai déjà acheté des fers à ce vendeur, ils sont parfait. Seulement acheter des fers pour les monter dans un fût me paraît maintenant délicat, car il faut que le fer à languette ait la bonne largeur, la bonne position de languette (par rapport à la largeur), et enfin (mais là ils sont appairés) la largeur de languette correspondante avec la rainure.
Les utilisations sont notamment indiquées dans les fiches essences de la base de donnée Tropix (voir fiches externes de l'okoumé):
(je viens de créer l'Okoumé, il n'était pas dans la Xylothèque !!)
PS: les photo ne me paraissent pas suffisantes pour une identification précise. Il faudrait que l'on voit mieux le grain (dosse, quartier et bout). La densité peut aider, ainsi qu'une odeur notable le cas échéant.
Sur la question des portes de grange, quelques éléments de réponse par ici (voir ma réponse, j'ai mis un peu de bibliographie):
Et regarder les porte de grange.