Que veux-tu savoir de plus ?
Ce sont des rabots de marque Stanley, no5.
Il y en a un avec une nouvelle poignée Record.
Des sites permettant de dater les rabots Stanley sont facilement trouvables.
Et même si certains prêchent pour des rabots de telle époque, tu peux choisir puisque tu en as deux.
Poignées
Es tu sûr de ton coup pour les poignées en plastique ?? j'ai l'impression que toutes sont en bois...
Lequel choisir?
C'est à toi de te faire une opinion, et surtout de les utiliser pour savoir lequel te convient le mieux.
Ils ont probablement des différences qui te permettront de faire ton choix:
- planéité de la semelle;
- perpendicularité des côtés;
- ergonomie de la poignée si elles sont différentes;
- facilité de réglage de la saillie du fr si l'un des deux présente moins de jeu;
- longueur du fer qui donnera la plus longue utilisation avec les affûtages successifs;
- esthétique de la chose qui te plaît plus...
Ça reste un outil
Tu va apprendre à t'en servir, ils sont tous les deux bien fichus, donc ils feront tous les deux le travail correctement. Il faut arrêter de croire que c'est l'outil qui fait tout. C'est l'utilisateur qui utilise l'outil qui fait tout !
Un rabot, ça reste un fer bien affûté, solidement fixé dans un fût (qu'il soit métallique ou en bois), avec l'angle adapté. Le reste n'est que détails, ergonomie, marketing et préférence
Ce que tu souhaites faire se dénomme appentis. C'est une toiture à un seul égout collée d'un côté à un mur.
Cela occupe en général peu de place dans les ouvrages de charpente, pour la bonne raison que ce sont des charpentes relativement simples.
En revanche, le reste de l'ouvrage sera intéressant pour toi car il traitera des assemblages et des sections à utiliser en fonction des charges que va supporter ta charpente (qui est un paramètre important).
Voici des ressources accessibles:
(une bonne base pour commencer)
(plus long et plus complet)
(plus complet également)
Sinon, cet ouvrage est intéressant, mais il faut trouver le vrai bouquin
Un plan ou schéma aiderait à répondre plus précisément, notamment avec les hauteurs des murs et pente souhaitée. Préciser la masse surfacique de la couverture (en verre ?).
Beaucoup de traités de menuiserie un peu anciens que j'ai lus parlent des lambris.
Pour creuser le sujet, voici des ressources disponibles en ligne:
Roubo, seconde partie, chapitre 2
roubo.art/tabl...p2.htm#partie_2
page 41
page B65. "Fonction d'isolation et fonction esthétique"
à partir de la page 346
Les "rabots" à moulure se nomme outils à moulure.
Quelques ressources sur le sujet dans les catalogues listés en début de ce pas-à-pas:
Ce que tu appelles "coupe fil" se nomme grain d'orge. Je ne pense pas que ce soit cela, car l'entaille pour insérer le grain d'orge est verticale, et le fer du grain d'orge fait moins de 5mm de large.
En revanche, je penche éventuellement pour une entaille permettant d'y glisser un repos mobile, permettant ainsi de régler la profondeur de la moulure.Je dis éventuellement car l'entaille est peu profonde, et je vois mal comment tiendrait ce repos mobile (en bois). Pas si peu profonde.
Peut-être que l'origine du lot (le métier de l'utilisateur initial) aiderait à deviner...
Après examen de la photo (fût élégit dans sa moitié supérieure, creux sur le dessus du fût devant le coin, sculpture du nez), je penche pour un rabot d'origine néerlandaise:
je vais replonger dans ce livre...
Les vrais bons étaux de mécanicien sont coulés en acier.
Pour moi, le top ce sont les étaux Dolex.
Sinon, il y a Caiman, Record...
En vérité, peu importe la marque. Prends un étau d'occasion, qui a servi mais qui n'a pas trop de jeu dans les glissières, cela signifie qu'il est de bonne qualité.
Il faut qu'il ait l'air costaud. Les mâchoires doivent comporter des pièces rapportées (qui sont traitées, plus dures, striées) en bon état.
Pour que ça tienne dans le temps, je prendrais effectivement du mélèze, mais en massif. Je n'aurais pas confiance dans la tenue dans le temps des collages avec les cycles chaud/froid et humide/sec qui vont nécessairement entraîner des déformations ou des contraintes.
Assemblage à mi-bois.
Pas de finition, car elle ne va pas tenir longtemps.
Amis du mouvement circulaire et musculaire permettant le perçage, bonjour !
Oui, les mèches à queue cylindrique vont "passer" dans le mandrin du vilebrequin. Certains mandrins sont d'ailleurs fait à la fois pour les mèches à queue carrée et les mèches à queues cylindriques. Seulement, le risque est que la prise ne soit pas suffisante, faut essayer. A mon avis pour les petits diamètres cela fonctionne.
Mais quitte à utiliser des mèches à queue cylindrique, autant les employer avec un porte-mèches. Ce sera plus efficace.
Il se peut que la mèche 6 pans tienne dans le mandrin du vilebrequin. En revanche, si tu parles d'une mèche plate moderne à trois pointes, je pense que ce sera moins efficace que les mèches dédiées.
Pour commencer l'incontournable de Heurtematte (disponible en ligne)
mais il y a aussi
Gallica
Je farfouille beaucoup sur Gallica depuis quelques mois, et du coup j'ai pu trouver un certain nombre d'ouvrages de menuiserie et charpente.
Quand un ouvrage me plaît bien, j'ai à coeur d'en faire un pdf facilement consultable (avec texte OCR pour recherche en plein texte, et table des matières pour navigation rapide). Ensuite, je les partage sur mon site et je mets le lien dans le champ catalogue de la fiche du livre sur l'ADB.
Pour débuter, je conseille donc
A venir...
Je suis aussi en train de faire une version numérique du Léon Jamin. Les planches c'est fait, il me reste deux trois améliorations à faire pour les tomes de texte. A suivre.
Et j'ai quasi fini le pdf de
Je pense que le pas à pas serait le plus adapté à ce genre de publication longue.
Et cela te permet de gérer par morceaux = par articles.
En revanche, je pense que cela existe déjà. J'en avais trouvé deux français-allemand, je pense que le français-anglais doit également exister...
Mais quid de l'italien et de l'espagnol ? Et les autres langues... Où s'arrêter ?
A quoi bon savoir plus précisément le nom de la scie ?
Scie à dos ça ne suffit pas ?
J'ai l'impression que cette distinction des scies à dos est toute anglo-saxonne, car ils semblent avoir plein de modèles différents par leur taille. Des petites, des moyennes et même des grandes.
Traditionnellement, en France les scies à dos sont moins utilisée, au profit des scies montées ou scies à cadre. Et on trouve effectivement ici aussi plusieurs modèles: les scies à tenons, les scies à araser, les scies à débiter...
En revanche, peu de modèles de scies à dos (voir par ici):
- la scie à dos de menuisier;
- la scie à dos d'ébéniste (équivalente à la gent saw anglaise).
Ensuite, il faut effectivement utiliser une scie adaptée au travail à effectuer.
C'est avant tout une question de denture (grosse pour aller vite, au prix d'un découpe grossière; fine pour les travaux fins). Et pour aller vite, une grande scie permet d'utiliser pleinement la course offerte par le bras. En revanche, pour des découpes fines, on va y aller plus doucement et la scie est donc plus courte.
Ensuite, la denture est adaptée au type de découpe: tronçonner ou déligner.
Donc finalement, est-ce qu'on peut découper des tenons avec une scie à dos à queues ? Peu importe. Seul le résultat compte et l'adéquation entre l'ouvrier, l'outil et l'ouvrage.