Tendre ne veut pas dire flexible.
La flexibilité est liée au module élastique (ou module de Young) du matériaux, qui caractérise la raideur intrinsèque du matériau, or il n'y a pas de grandes différences entre les différentes essences de bois européens.
Et je ne sais pas s'il y a une corrélation dureté/module élastique.
Epicéa : 12000MPa
Chêne: 13300MPa
Pin maritime: 8800MPa
Peuplier: 9800MPa
Douglas: 16800MPa
(source fiche Tropix 7)
Donc finalement, du chêne est plus flexible que du douglas !
Bref, pas de grandes variations, on est entre 9000MPa et 15000MPa à la louche, donc c'est même pas du simple au double et donc c'est la section qui va vraiment réduire la flexibilité.
On est dans du gros bédane, ce ne doit pas être courant.
Par exemple, dans le catalogue Peugeot et Cie, les plus gros sont 20, 22 et 25mm.
archive.org/de...e/n117/mode/2up
Après, tu peux chercher des ciseaux-bédanes, qui sont bien plus épais que ces ciseaux ordinaires, et qui pourraient convenir
archive.org/de...e/n123/mode/2up
ps: on en trouve sur LBC, pourquoi acheter neuf un outil qui existe déjà et cherhce utilisateur ? 
leboncoin.fr/a...lage/2679505194
leboncoin.fr/a...lage/2360550568
leboncoin.fr/a...lage/2486622912
en prime, un bédane de 19 (on n'est pas à 1mm près)
leboncoin.fr/a...lage/2626853100
et lui il doit en avoir
Tu peux aussi, pour la partie charpente traditionnelle, aller faire un tour dans les livres un peu plus anciens.
Un bon livre pour commencer, pas si vieux (années 50):
Ensuite, j'aime beaucoup Oslet
J'ai aussi un faible plur Emy, avec ses belles planches
Enfin, pour aller plus dans le détail du trait, tu peux aller voir Cabanié ou Delataille (!)
PS: tous ces ouvrages sont disponibles en pdf
Franchement, pour 3 x 20€ tu peux trouver :
- un rabot bois d'occasion de bonne facture (Goldenberg par exemple)
- une varlope qui va bien
- une pierre india deux faces (pas besoin de guide, à la main ça ira)
Y'a pas besoin de plus pour raboter.
Si, peut être un cuir et de la pâte verte pour terminer l'affûtage.
Il manque la longueur de l'entrait,
alors je vais essayer de l'estimer àla louche en fonction de la taille du Billon Frères posé dessus !
Un Billon = 245mm x 345mm.
Disons qu'on peut en mettre 8 cote à cote : 8 x 250 = 2m pour un demi entrait.
Ensuite, le poids du livre au mètre:
Ce lien donne les poids en fonction du format des livres:
Livres Hauteur (cm) : Profondeur (cm) : Masse (kg/m2) :
In octavo: 25 15 105
In quarto: 34 30 220
In folio: 48 30 350
Ce lien donne 60kg/m pour des périodiques format A4.
Sinon, un carton de 5 ramettes de 500 feuilles A4 80g/m2 pèse 12.5kg
(0.21x0.297x0.080 x 500 x 5)
Bref, pour le poids des livres, on est à quelques centaines de kg.
Est ce que l'entrait supporterait 100kg ou 200kg ?
Ben je pense que oui, on n'est pas à ça près.
Le double entrait en chêne lui même pèse: 5m x 0.20m x 0.12m x 2 x 740kg/m³ = 177kg
Je vous laisse donc imagine le poids de l'ensemble de la charpente. Le poids de la couverture. Donc rajouter 200kg à tout cela me semble tout à fait restant dans les marges de sécurité.
Et je ne suis pas inquiet, une poutre en chêne de cette section peut supporter une bonne charge avant de fléchir sensiblement.
Sinon, tu invites 3 potes, et vous vous mettez tous debout sur l'entrait, pour voir si ça bouge ou pas. L'expérience sensible du monde aide aussi parfois
En fait, ce sont des porte outils spécifiques qui permettent de faire des bols "gigognes". Ainsi on utilise au mieux de bloc de bois de départ, avec un minimum de copeaux entre deux bols successifs.
On peut aussi faire cela avec des outils droits, mais alors on serait limité à des bols conique, là ça permet de faire des bols hémisphériques 
Tout cela peut s'expliquer avec la théorie de la résitance des matériaux, ou RDM, ce qui est la même chose.
La résistance en flexion s'exprime comme une contrainte (en méga Pascal, ou MPa).
Elle n'a rien à voir avec la flèche (ou déformation), qui elle est proportionnelle au module élastique du matériau considéré et à la charge. Module élastique qui s'exprime en Pascal également. Effectivement, si le module élastique est deux fois plus grand, alors la flèche sera deux fois moindre. Mais cela ne nous renseigne aucunement sur la capacité de ladite poutre à supporter son chargement.
Pour cela, il faut s'intéresser à sa résistance en flexion, que l'on doit comparer à la contrainte dans toute la poutre et voir si la contrainte interne reste inférieure (auquel cas cela ne casse pas) ou atteind/dépasse la résistance en flexion (là ça casse).
La contrainte est proportionnelle à la charge. Une charge deux fois plus grande entraine une contrainte deux fois plus importante. La contrainte est indépendante du module élastique (cf ici), elle dépend uniquement des propriétés de section de poutre considérée, du point de la section considéré et du chargement.
Et donc,
- si tu as la charge maxi admissible sur une poutre en résineux, avec une contrainte admissible en flexion de 24 MPa:
- alors la charge maxi admissible pour une poutre de résistance 12 MPa sera deux fois moindre;
- ou alors la charge maxi admissible pour une poutre de résistance 48MPa sera deux fois supérieure.
- sinon, faut faire une règle de trois
J'ai regroupé pas mal de ressources par ici, avec une section affûtage à la fin;
Un étau d'affûtage peut aider mais n'est pas indispensable. On peut s'en sortir avec un étau ou une presse d'établi et des tasseaux.
la pièce est un cylindre creux, collage de plusieurs morceaux.
Avec la force centrifuge liée à la rotation, la chose de demande qu'à aller vers l'extérieur or toute la cohésion repose sur le collage préalable.
J'ai l'impression que la rupture à lieu au moment où il arrive à l'extrémité gauche de sa pièce, précisément là ou la surface cylindrique fait la jonction avec le disque bouchant le bout. C'est là que tout tient et c'est là que j'imagine que ça commence à céder.
Avec une pièce pleine, saine c'est à dire sans fissures, il n'y aurait pas ce problème, bien entendu.
Gaspard Hasenclever & Fils, c'est écrit dessus
Plus sérieusement.
J'ai cherché un peu sur holzwerken.de mais comme je parle pas allemand, ce n'est pas évident. Mais je crois qu'il n'y a pas grand chose sur le site à ce sujet.
Sinon, dans
il y a la réponse:
le poignard est la marque de l'antique famille Hasenclever. Originaire d'Allemagne où elle fabriquait des lames depuis le XVIIIe siecle, elle s'installa en Alsace au début du XIXe siècle avec G. Goldenberg avec lequel elle avait des liens familliaux et commerciaux. Elle fonda une maison à Strasbourg, travaillant ainsi des deux côtés du Rhin
Et voilà !