Tiens, simple curiosité, c'est quoi la "fausse equerre" alpha-beta sous le mètre ruban dans le couvercle ??
6LV1 ok, merci. Quelle est la marque, par curiosité ?
Je suis d'accord.
Je me contente de décrasser mes limes avec une carde.
Mais sinon, je ne me casse pas la tête avec un quelconque bain chimique. D'autant plus que je crains que l'attaque chimique ne vienne réduire le mordant de mes outils. Et puis pas besoin de le sfaire briller !!
En effet, je le consulte très régulièrement.
S'il t'a plu, alors jette un coup d'oeil à ces ouvrages, il pourraient également de plaire:
Et j'en ai mis d'autres sur mon site...
La règle générale est de prendre un tiers point dont le côté de la section (triangulaire) est au moins deux fois plus grand que la hauteur de dents à affûter. De sorte que l'on pourra utiliser et user les trois côtés du tiers point.
Ensuite, plus le tiers point est grand, plus le rayon de l’arrondi des angles est grand, ce qui n'est pas compatible avec des dents trop petites. Donc il ne doit pas être trop grand non plus.
Enfin, je ne sais pas si entre 3.5 et 4 il y a une grosse différence. Je dirais de prendre celui que tu trouves le plus facilement pour commencer.
Sympa. Tu peux mettre de la paraffine sur les cames, les axes et les glissières pour réduire le frottement, cela gagnera sûrement en fluidité !
Erebor pour le jeu dans les glissières, je pense qu'il faudrait que la longueur des glissières soit proportionnelle à la longueur de la tige vertical. Car pour les plus grandes tiges, le jeu est amplifié en haut au niveau de la bille. Bref, des "côtés" triangulaires permettraient d'y remédier, à la place des deux "ceinture" de largeur fixe actuelle.
L'outil est dans la planche 12 du Roubo. Voir également le texte associé.
En effet, c'est très rare d'occasion : cela ressemble tellement à un bout de bois quelconque (vu l'absence de pièce métallique) que cela finit à la poubelle ou au feu...
J'ai creusé un peu.
On retrouve l'entaille dans le livre d'apprentissage de Heurtematte, figure 569 et l'étau est également décrit dans le dictionnaire de Justin Storck, à entaille, page 242.
Enfin, l'entaille figure également dans
benjams ebay et LBC.
J'ai acheté les premiers suite aux messages de sanglier qui mettait quelques photos de livres plus ou moins anciens.
Celui de Gaillard et Muron est vraiment bien. Compact mais bien fourni sur l'outillage. Sinon, je furette beaucoup en ligne, et j'essaie de voir les tables de matières pour me faire une idée du contenu.
Bon, au bout d'un moment, les contenus sont tous quasi identiques. Une fois que tu en as lu deux ou trois.
En vérité, il y a beaucoup de livres de menuiserie, mais peu qui traitent de l'apprentissage en détail.
J'ai quand même trouvé (par hasard dans un vide-atelier):
et sur LBC
Je les ai numérisés.
Les Lémonon étaient une bonne trouvaille.
lairdubois.fr/..."E.-H. Lémonon"
C'est etiennedesthuilliers qui m'a fait découvrir le premier.
Sinon, sur le site de la BnF, on trouve beaucoup de livres charpente et menusierie.
Celui ci vaut le coup pour commencer. A mon avis tu en sais déjà pas mal, mais je pense qu'on peut y trouver quelques petits trucs.
Je suis en train de faire une version pdf du Jamin, mais je n'ai pas terminé. si ça t'intéresse, je peux partager les travaux en cours.
Si tu jettes un oeil à mon site, tu y trouveras une selection pas mal à mon goût. A suivre !...
PS:
DinoJC bande de soudure = grande baguette + contorsion !
Si tu veux un coup de main pour faire un joli pdf, je peux t'aider.
(jette un coup d'oeil à mon site)
Il est important de bien comprendre le retrait du bois pour en éviter les désagréments. Le bois n'a pas le même retrait dans les directions longitudinales, radiales et tangentielles. Quasi nul en longi, et deux fois plus important en tangentiel qu'en radial (en général, ça dépend des essences). C'est pourquoi au séchage on observe des fentes radiales.
En général on peut souvent ravoir le fût s'il n'est pas vermoulu.
Soit on colle une semelle rapportée, soit une pièce devant le fer pour compenser la lumière devenue trop grande suite à l'usure de la semelle.
Naiade l'idéal est de prendre une essence bien dure et qui glisse bien pour la semelle. Le top c'est cormier ou chêne vert pour les essences indigènes. Ensuite vient le fruitier (pommier) et le charme. Et enfin le hêtre.
Si on bascule du côté des bois exotiques, gaïac c'est la rolls, azobé c'est bien dur mais ça glisse moins. Sinon, essayer un bois exotique bien dense, type lame de terrasse: ipé, cumaru, massaranduba, ...
benjams plus facile à dire qu'à faire
J'ai essayé, ça prend quand même beaucoup de temps de tailler à la main une lumière dans une tôle de 3mm. Bon, c'est sûr que ça limite l'usure !
La semelle en bois c'est plus rapide, et une fois usée on peut la changer.
Je rejoins tous les avis qui vont vers l'occasion.
A quoi bon produire ce qui est déjà disponible et non utilisé.
Sinon, tes rabots bois m'ont l'air en bon état. Pourquoi ne pas restaurer la semelle si c'est ce qui pose problème ? Soit une pièce devant la lumière, soit carrément une nouvelle semelle rapportée en bois dur.