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dneis

ça ne va pas être facile. Surtout avec du résineux...

dneis
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Bonjour,
La réponse dépend fortement du type de polymère.
PVC, PE, PP, PMMA, PC, ... ils sont nombreux et avec des propriétés parfois très différentes.
Mais il se peut que j'identifie mal ce que tu désignes par:

du polymère avec mff comme corps

dneis

J'oubliais de citer l'excellent pas-à-pas de sylvainlefrancomtois sur la charpente


Dans les ouvrages de charpente, on trouve souvent des tableaux de sections à utiliser pour les poteaux (compression) et les pannes et autres éléments travaillant en flexion.

dneis

Haha, bienvenu dans l'univers passionnant de André-Jacob Roubo 😉

dneis

Je ne vois pas la partie bombée dans l'entaille à laquelle tu fais allusion...

Oui, le repos mobile serait absent sur la photo.

dneis

La question revient très régulièrement

lairdubois.fr/...q=cerne panneau

et la réponse n'est jamais bien tranchée 😉

par tarpan il y a 3 ans
dneis
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Je ne suis pas d'accord

Non, les copeaux sont évacué par la lumière latérale de l'outil, juste au dessus de la planche du fer.
Voir par exemple ici:

par Ara il y a 3 ans
dneis
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Je ferais une entaille en V, c'est plus simple 😉
Que des segments de droite. Mais ce n'est pas la demande initiale...

dneis
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La fameuse questions des "bois alimentaires" revient régulièrement

lairdubois.fr/...ois alimentaire

dneis
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Est-tu gaucher ? Car tu as mis la presse verticale de l'établi à droite...

dneis

Romainstpaul étant gaucher également, je vois ce genre de détail.

dneis
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Ara cela s'appelle un niveau (de pente, de talus, de maçon, ...). Seulement il n'est pas à bulle mais avec un plomb pour l'indication de la verticale.

Armand-Rose Émy, dans son traité de l'art de la charpenterie, détaille la chose.
Texte (§ 2. Outils et instruments servant à déterminer les positions des lignes et des plans) et planche 2:
gallica.bnf.fr...774019/f84.item
gallica.bnf.fr...14023r/f14.item

dneis

Oak pour l'empreinte écologique, et pour l'autonomie infinie, rien ne vaut

et ça fait même visseuse avec un porte-embouts. 😉

dneis

benjams et de toutes les chignoles que j'ai vues, on n'est pas prêt de les user vu le module (=taille des dents) des engrenages. Seuls les ressorts du mandrin sont à surveiller (faut pas les coincer en travers entre les mors).

dneis

J'aurais mis le boulon décalé vers la pièce à serrer dans la cale réglable, pour avoir un ensemble plus rigide.
Si tu regarde la manière dont sont fait les anciens sergents, la cale est même triangulaire pour être bien solide et immobile.

dneis

Plus sérieusement, voici quelques réflexions sur le sujet des outils d'occasion.

Quasiment tous les outils que j'achète sont d'occasion, pour plusieurs raisons:

  1. l'outillage ancien est de bonne qualité et que cela me coûte moins cher que la même chose en neuf. Et comme je me fiche que cela brille et cherche avant tout la fonctionnalité, l'occasion me va alors très bien;
  2. à quoi acheter neuf, et donc pousser à la production de nouveaux objets, alors que ces outils existent et attendent d'être utilisés;
  3. et l'argument que je vois souvent "un outil neuf pour me faire plaisir", ben il me sort par les trous de nez, je me fais plaisir à restaurer des outils anciens, pas besoin d'y mettre des €€€€. Et je vais apprendre à l'affûter, m'en servir, comment il se règle ou fonctionne en le restaurant, ce qui n'est donc pas nécessairement une perte de temps. C'est un investissement.

Pour faire de la menuiserie de base, pas besoin de beaucoup d'outils: quelques rabots, ciseaux et scies suffisent. Ces outils sont suffisamment courants sur le marché de l'occasion pour qu'il soit relativement facile de les trouver sur LBC ou Ebay.

En revanche, se pose effectivement la question pour le novice de savoir s'il achète un outils en état correct de fonctionnement. D'où l'attrait pour le vendeur spécialisé qui offre -en principe- la garantie d'un outil fonctionnel.

Bon, pour les outils de base, ce n'est pas si compliqué:

  • ciseaux tant que la planche (face opposée au biseau) n'est pas piquée par la rouille, on pourra l'affûter et s'en servir. Pour peu que le fer comporte une marque, le risque d'avoir un mauvais outil est très très faible;
  • rabots: c'est pareil que les ciseaux, il faut que la planche du fer ne soit pas piquée. Pour le fût, le coin doit maintenir fermement le fer. Après, on trouve facilement des rabots en bois n'ayant pas ou très peu servi, le risque qu'il ne fonctionne pas est très faible. Et si vous voulez vraiment un rabot métallique, aller voir du côté de Darex.
  • **scies*: pas trop piquée, par tordue, un bon affûtage et c'est reparti. C'est l'occasion d'apprendre à affûter une scie. Et puis sinon, on scie neuve de GSB ça fait très bien l'affaire aussi (ce qu'on veut c'est couper non), prendre toutefois une marque connue et reconnue.

Pour finir:

  • Sur Ebay ou LBC, on finit par trouver des revendeurs spécialisés outillage. Mais ce sera un peu plus cher que les vendeurs non spécialisés.
  • les outils isolés sont souvent plus chers que les outils en lot. Bon, faut accepter de se farcir le lot, mais des fois on fait de bonnes surprises. Je vois régulièrement sur LBC des caisses de menuisier garnies, plus ou moins anciennes, qui valent le coup pour un premier équipement.

PS: 😉

dneis

Et pourquoi pas un petit chapeau en zinc sur l'extrémité en bois de bout verticale, pour limiter les infiltrations d'eau.

dneis

sylvainlefrancomtois L'usage du mot a évolué avec le temps.
Avant, on disait bien aiguiser et affiler, ce qui correspond à deux opérations différentes (avec le grès, puis avec la pierre à huile).

Armand-Rose Émy (1841) nous éclaire sur le sujet:

Les taillandiers livrent les outils qu’ils confectionnent en état de couper immédiatement le bois; mais les outils de fabrique sont vendus par les marchands sans qu’ils soient affilés; leur biseau est seulement préparé; il est donc indispensable qu’un ouvrier charpentier sache aiguiser et affiler ses outils, ou, comme quelques-uns disent, les affûter, expression qui doit plutôt s’entendre de l’opération par laquelle on ajuste les outils aux fûts en bois, qui servent à les maintenir dans la position la plus propre pour les faire couper, que de celle par laquelle on les rend coupants.