Le panneau est recouvert d'un placage reconstitué.
Elle est bien cette vidéo.
D'autres ressources par ici 
lairdubois.fr/...dneis/pas-a-pas
J'adore, travail à main en plus !
Il pèse combien au final ?
Il est bien rigide quand tu rabotes de dessus ?
Je me suis aussi fait un banc de sciage, c'est indispensable si tu bosses à la main !
Je m'en sers aussi pour raboter des fois, assis à cheval sur les planches longues ou bien en utilisant une butée que je glisse dans la rainure centrale du banc.
Je réfléchis à faire un module qui le transformerait en banc d'âne pour utiliser planes et wastringues quand je fais des manches d'outils par exemple. Mais j'ai peur que le le banc ne soit trop court. A suivre...
Héhé, je réalise que tu as fait l'établi proposé par Roy Underhill dans son bouquin The Woodwright's Apprentice, Twenty Favorite Projects From The Woodwright's Shop.
C'est dans le premier chapitre du livre, qui est en consultation libre ici.
C'est la classe.
Si je puis me permettre, pour avoir utilisé des pierres diamant et ensuite des pierres à huile Norton India, je conseille vivement les pierres India. Une pierre double d'établi c'est le top. Ça plus une petite burette d'huile et un chiffon, et on peut affûter tout ce qu'on veut, où l'on veut.
Et c'est bien moins cher.
A vrai dire, j'ai le même mandrin, que je mets parfois sur mon tour Kity.
Effectivement, cela rajoute de l'inertie, ce qui est finalement un avantage car cela permet de gommer les a-coups liés aux irrégularités de l'effort de coupe. Et du coup c'est mieux que sans le mandrin car là on peut facilement stopper la pièce de bois si ça accroche.
Il n'est pas trop lourd. Il faut juste faire attention à lancer la rotation à la main avant d'allumer le moteur, pour limiter la surcharge transitoire au démarrage.
Et oui, le mandrin fait peur aux doigts avec ses angles vifs !
peu de cotes
Lemoulin79 En vérité toutes les planches comportent une échelle qui permet de remonter au dimensions de ce qui est dessiné. Et le texte donne souvent les dimensions caractéristiques ou importantes.
Je conseille également les vidéo de Marc Dubuc
Même si l'image diffère, je crois que c'est la même vidéo.
Intéressant. Ou est ce que tu trouves toutes ces idées/informations ?
Je m'interroge sur l'utilité du cuir après le coticule, surtout si -si j'ai bien compris- les deux utilisent de même abrasif (coticule) ?
Haha, j'ai trouvé la signification de ces petits trous en bout des coin !
Tu n'as pas un jeu de lettre à frapper ?
le contact prolongé avec le bois qui, même bien sec, contient toujours un peu d’humidité, ne risque-t-il pas de faire rouiller la lame
Pour répondre à ta question, est ce que la zone de la lame insérée dans le manche est rouillée ou non ?
En effet, l'objet paraît simple mais les assemblages sont très subtiles. Mélange bois vert/sec, orientation réfléchie des cernes pour que les assemblages se serrent correctement...
La littérature anglaise est plus complète sur le sujet. Un livre que j'avais bien apprécié:
Impressionnant, c'est la classe !
C'est quoi la prochaine maquette ?
Une surface en bois de bout est quand même plus conseillée pour la surface de frappe. Et j'aurais tout fait en frêne, c'est plus résistant que le noyer et plus traditionnel !
Faudra voir comment il vieillit.
Il est possible de tailler un racloir dans une lame de scie égoïne usée (épaisseur entre 0.8mm et 0.9mm en général). On en trouve à la pelle maintenant, avec les dentures en acier trempé qu'il n'est pas possible d'affûter...
si si, cela fait des cormes.
Simplement, dans la classification des outilleurs sur bois, fruitier = pommier ou poirier, et cormier = cormier