En effet, l'objet paraît simple mais les assemblages sont très subtiles. Mélange bois vert/sec, orientation réfléchie des cernes pour que les assemblages se serrent correctement...
La littérature anglaise est plus complète sur le sujet. Un livre que j'avais bien apprécié:
Impressionnant, c'est la classe !
C'est quoi la prochaine maquette ? 
Une surface en bois de bout est quand même plus conseillée pour la surface de frappe. Et j'aurais tout fait en frêne, c'est plus résistant que le noyer et plus traditionnel !
Faudra voir comment il vieillit.
Il est possible de tailler un racloir dans une lame de scie égoïne usée (épaisseur entre 0.8mm et 0.9mm en général). On en trouve à la pelle maintenant, avec les dentures en acier trempé qu'il n'est pas possible d'affûter...
D'autant plus que la durée de vie d'un couteau en inox est quasi infinie (à l'aiguisage près).
Et c'est facilement et complètement recyclable...
Ah lala, mes amis, c'est bien beau de sortir des chiffres, encore faut il savoir à quoi ils correspondent !
C'est bien 10% de retrait tangentiel total pour le chêne, on trouve le même chiffre dans la fiche Tropix de l'essence (voir lien dans la fiche).
Le retrait total est le pourcentage de variation dimensionnelle du bois, dans une direction donnée, entre le point de saturation des fibres et l’état anhydre.
Source: Comprendre le retrait du bois
C'est le coefficient de rétractabilité qu'il faut regarder. Il fait moins peur.
Les coefficients de rétractabilité moyens expriment, en pourcentage, la variation dimensionnelle du bois pour une différence d’humidité de 1 % en dessous du point de saturation des fibres.
Bon, la Source ci-dessus est très bien expliquée, je vous laisse la lire. Ils expliquent même le calcul du retrait.
Il y aurait intérêt à coupler la scie à la roue du vélo, et à lester la roue, de sorte que l'inertie de l'ensemble serait plus important, réduisant ainsi les a-coups !
La première vidéo est vraiment bien, c'est suite à celle là que j'ai "enlevé les petites roulettes" et depuis j'affûte à main levée et le guide est resté dans la boîte.
J'utilise de l'huile de paraffine et ça marche bien aussi.
11€ le litre en pharmacie, avec ça il y a de quoi faire !
J'aime bien la méthode de benjams . En effet, en tapant dessus, si de la poudre sort par tous les trous et que ça sonne "mat" ce n'est pas bon signe. Il faut se dire que le nombre de galleries est généralement bien bien plus important que le nombre de trous apparents en surface.
J'en profite pour mettre le lien de cet ouvrage, probablement un peu vieux maintenant... (on peut le trouver en pdf, je sais, c'est mal !)
Merci pour les détails. C'est un pas à pas caché !
Pour le piquage, j'ai regroupé quelques ressources papier/pdf qui m'avaient été utiles dans cet article
Je dirais même plus: Génial !
Belle initiative de partage.
Je peux filer un coup de main ou des conseils en ce qui concerne la numérisation, dans le but d'avoir de beaux fichiers, à la fois lisibles et pas trop lourds...
J'ai un peu pratiqué, voir mon site
fred76 si tu as accès a un photocopieur, je trouve que c'est une solution relativement rapide avec surtout le meilleur rendu.
Sinon, dans le même genre de revue il y a sur Gallica:
Les Travaux de l'amateur : revue mensuelle illustrée vulgarisant tous les travaux manuels et les mettant à la portée de tous les bricoleurs
On y retrouve d'ailleurs les écrits de Lémnon, publiés également dans des petits livrets fort intéressant (voir dans la section livres).
Chercher sur Gallica "Travaux de l'Amateur"
Il faut préciser un peu le type de pièces qui seront usinées.
Cela dépend de la masse, et surtout du diamètre tourné.
Parce que faire des stylo ou des pieds de table type médiéval, ce n'est pas la même chose et ne réclame pas les mêmes machines...
Chatongris ah non désolé, je n'y connais pas grand chose en marques anglaises..
Un peu de doc sur les positions des chevilles :
archive.org/de...ge/n51/mode/2up
Pour répondre à ta question, est ce que la zone de la lame insérée dans le manche est rouillée ou non ?