Pour les pointes, préférer les pointes en acier trempé.
Attention, je trouve que la surface de la tête du trusquin est bien petite dans la direction des pointes, ça fait peut de surface d'appuis sur le champ de la pièce à tracer.
JPA33 je mets ci dessous l'image de la machine en question, pour la pérennité de l'information.
La machine sur le site du fabriquant.
dependancesbois Franchement, avec un pneu de type increvable (Schwalbe par exemple) faut y aller pour creuver. A moins de rouler sur un paquet de clou !
Et puis tu fais comme à vélo, tu prends un kit de rustines et si jamais tu crèves, ben tu répares la chambre à air
C'est un fil à plomb de charpentier, il permet de vérifier un aplomb en regardant par au dessus.
Voir les explications pages 26 et 27 d'Emy
gallica.bnf.fr...774019/f76.item
et la planche associée
gallica.bnf.fr...14023r/f11.item
On préfère la forme de ces plombs pour l'usage de la charpenterie à toute autre parce que le point de suspension se trouvant plus près du sol sur lequel les lignes des épures sont tracées, l'on juge mieux de sa coïncidence avec ces lignes, qu'on aperçoit au travers du jour ménagé autour du centre, et parce qu'en laissant poser le plomb un instant très-court sur le sol, il est immédiatement tranquillisé, avantage que ne présente aucune autre forme. Les charpentiers portent ce plomb dans la poche de la veste de travail.
Vraiment chouette.
Attention à laisser un jeu suffisant en largeur dans la mortaise du taquet, faut être certain que ça puisse jouer dans les deux sens, pour éliminer tout risque avec les variations éventuelles de largeur du plateau.
contreforme aller, ça l'fera
Le Dictionnaire Pratique de Menuiserie - Ebénisterie - Charpente Par J. Justin Storck, édition de 19
Notez que la version en ligne n'est pas complète, il n'y a pas toutes les entrées.
En revanche, sur Gallica ou dans l'pdf qu'on a fait, y'a tout
Je soupçonne l'auteur du site Storck en question d'être également à l'origine de ceux-ci (malheureusement non achevés):
Merci ! Comme je ne suis pas passé par la case apprentissage, il me manque certaines notions...
Il semblerait que cela serve aussi avec les bois difficiles:
fer à dents ECE
bernardrebout non, je n'ai jamais appris l'allemand à l'école. Je me dépatouille avec le vocabulaire, mais ça ce limite à du décryptage et avec l'aide de traducteurs...
Jesush dans le cas présent il s'agit d'un calcul statique de raideur.
Pour calculer des résonances, il faut utiliser des équations de mécanique dynamique, dans lesquelles intervient à la fois la masse et la raideur, pour déterminer des fréquences propres ou résonances, ce qui est la même chose.
Voir ce cours sur la vibration des poutres par exemple.
Raspitef franchement, je te suggérerais plutôt de chercher une bonne varlope en bois. On a la chance, en France, d'en trouver à la pelle et du coup ce n'est pas très difficile d'en trouver une en bon état. Quitte à être exigeant sur la qualité, privilégie un outil en chêne vert ou en cormier. Éventuellement une semelle rapportée en azobé.
Cela te coûtera quelques dizaines d'euros, et fera le travail aussi bien que son homologue métallique, voire mieux puisque la semelle glissera avec plus de facilité.
Et ça fait un bon bout de temps que les artisans utilisent traditionnellement ces outils montés en bois.
Par exemple:
leboncoin.fr/b.../2121038477.htm
leboncoin.fr/b.../1916965453.htm
...
Il est chouette.
Si je puis me permettre, je dirais que la répartition des queues sur le dessus n'est pas "harmonieuse". Critère uniquement esthétique, mais cela a son importance pour des queues apparentes.
Et je m'interroge sur le sens de cette tendance que j'observe du "sans colle". Pourquoi mettre de la colle dans un ouvrage en bois serait mal vu ?
La Goldenberg glisse super bien
Raspitef et encore, c'est une semelle en azobé et ça glisse moins bien qu'une semelle en chêne vert ou en cormier !! N'oublie pas le bloc de parafine pour lubrifier la semelle.
La Stanley permet des réglages beaucoup plus fins où on peut se rapprocher de la finition bien plus facilement.
Une varlope n'est pas destinée à la finition, on utilise pour cela un rabot.
FBang ?? Changer d'avis sur quoi ?
trente six seb +1. J'ai même trop de rabots, mais ils n'ont pas tous les mêmes réglages, je garde certains pour la finition (passe fine) et d'autres pour dégrossir (fer bien sorti). Ce qui évite avec les rabots bois de les régler tout le temps.
Je ne suis pas expert en rabotage des bois difficiles.
Mais je dirais, à la main, contrefer très rapproché du fer, angle de coupe plus élevé. A la machine, je ne sais pas...
Sinon, finition au racloir, ce qui permet également d'avoir moins d'arrachement qu'avec le rabot.
Là je parle des rabots acier ou bronze, on peut faire la même chose avec un rabot bois, mais la lumière n'est pas réglable sur ce dernier.
Elle n'est pas toujours réglable non plus sur un rabot en fonte
Sur un rabot bois, il est possible de mettre une pièce sur la semelle pour réduire la lumière (qui ne sera pas réglable pour autant).
Elles sont belles.
J'ai l'impression -mais je peux me tromper- qu'il y a de plus en plus de menuiseries intérieures et mobilier en frêne, alors qu'avant c'était chêne... ou chêne (et peut-être noyer pour le mobilier).
Tendance de fond ? Prix du bois ? Disponibilité ? Effet de mode, souhait de bois plus clair ??