Le design global est sympa.
En revanche, j'ai peur que si l'on charge les tablettes, cela ne conduise à la fente de ces dernières avec l'effet coin des montants insérés dans lesdites tablettes...
Je cherche la petite bête: en quoi est-ce satisfaisant de ne pas utiliser de quincaillerie/clou/vis ?
A vrai dire, pour tous les perçages de diamètres inférieurs ou égaux à 6mm, je ne me pose plus la questions, c'est forets à métaux. D'autant plus que j'ai une boîte avec les mèches tous les 0.5mm. Ce qui permet de prendre au mieux pour les perçages en vue de mettre des vis.
La bonne raison, c'est que mes mèches à bois sont nulles (enfin, celle qui ne vont pas sur vilebrequin) et en plus on peut affûter les mèches à métaux.
Enfin, il ne faut pas se leurrer. La plupart des produits des produits que nous utilisons sont manufacturés, et donc industrialisés. Que ce soit pour assouvir notre passion ou métier de travail du bois: outillage manuel, machines électroportatives, machines, quincaillerie, colles, panneaux dérivés du bois, ...
Et c'est la même chose pour les produits du quotidien: vêtements, téléphones, ordinateurs, voitures, vélos, etc. Et j'en passe.
Alors à quoi bon s'indigner de cette grosse usine dont l'objectif est de rationaliser la transformation du bois. Si cette usine tourne, c'est qu'il y a une demande de volume derrière.
Ou alors, il faudrait se fournir chez le maraîcher du coin, aller chez le tailleur, faire faire son vélo sur mesure par un cadreur artisanal et n'aller que dans des boutiques d'artisans... Personnellement je fais du mieux que je peux, je suis pour le réemploi et l'occasion, mais des fois on n'a pas l'choix (ou les économies qui le permettent).
Chouette !
Il y a cet artisan anglais dont j'aime beaucoup la vidéo, tu as déjà dû la voir.
Il utilise un "entraineur" avec trois pointes, pas coincé. J'imagine que c'est plus simple à mettre en place.
Pour le prochain, tu feras trois bols gigognes
Ils sont toujours édité visiblement.
dependancesbois disons que Hachette livre propose des impressions des livres (ou d'une partie) qui sont en ligne sur Gallica. Je ne dirais pas à proprement parler qu'ils sont toujours édités... Car il n'y a pas de travail d'édition, c'est une copie/impression brute de ce qui est numérisé par la BnF.
Cela m'a permis de mettre à jour ma bibliogrpahie.
Voici les liens:
Berthaux, L. (1844). Le parfait charron-carrossier, ou Traité complet des ouvrages faits en charronnage et ferrure.. gallica.bnf.fr...8/bpt6k97863278
Berthaux, L. (1863). Le parfait charron, ou Traité complet des ouvrages faits en charronnage et ferrure.. gallica.bnf.fr...8/bpt6k57101573
Évrard, C. (s. d.). Bibliothèque des professions et des ménages.... Manuel du charron / par Cl. Évrard. gallica.bnf.fr...8/bpt6k9792125s
Malepeyre, F. (1794-1877) (1851). Nouveau manuel complet du charron et du carrossier : Contenant l’art de fabriquer toutes les grosses voitures.... Tome 1 / par M. Lebrun. gallica.bnf.fr...8/bpt6k6273669m
Voir aussi, au USA, Engel Coach Shop
youtube.com/c/...ngelsCoachShop1
dependancesbois à vrai dire, je n'en sais rien, je n'en ai jamais eu sous la main.
Il me semble que Glorfindelrb a déjà eu un bouquin Hachette Livres / BnF entre les mains. Mais sont-ils tous de la même qualité ??
Après, je peux te faire un pdf propre qui s'imprime correctement en A4 à la photocopieuse
2m de long, avec des planches de 50mm et un renfort, ça devrait aller selon moi. Parce que 50mm ça fait quand même pas mal !
Il y a deux choses:
- la résistance de l'assise à la flexion, que l'on peut aisément tester en se mettant debout au milieu de la planche reposant sur des tasseaux à ses extrémités, afin d'avoir une expérience sensible de la chose;
- la résistance de l'assemblage des pieds, notamment à l'effet "chateau de cartes". Si tu veux quelque chose d'invisible, alors il faudra un renfort métallique. Sinon, la proposition de traverse sous l'assise de benjam est une très bonne idée.
En effet, l'assemblage à queues d'aronde n'est pas prévu pour résister à la flexion, qui plus est alternée dans le cas d'un banc (car ce sera un coup à droite, un coup à gauche). Il est uniquement destiné à résister à une traction dans l'axe de la planche qui est perpendiculaire aux tenons.
Introduction
Il y a 4 ans, l'ATIBT publiait une Nomenclature Générale des Bois
Tropicaux entièrement revisée. Le succès de cette publication sur le plan
international et l'élargissement des actions de notre Association ont
amené son Conseil d'Administration à décider de franchir une nouvelle
étape dans le domaine des publications.
L'ensemble des pays producteurs de Bois Tropicaux recherche par
diverses mesures à mieux valoriser leurs produits ligneux et à assurer
une plus grande diversification du marché des essences tropicales de
bois d'œuvre.
La toute nouvelle organisation internationale des Bois tropicaux va
se mettre très prochainement au travail pour aider tous les pays
producteurs et consommateurs à aller dans ce sens.
C'est dans ce contexte que l'ATIBT. a décidé de contribuer à cet
effort en publiant le premier volume de l'Atlas des Bois Tropicaux
consacré à l'Afrique. Cet Atlas destiné à un très large public, allant de
l'exploitant forestier au négociant, à l'industriel, à l'artisan et à l'ébéniste, a
pour principal objectif de mieux faire connaître les essences tropicales
pour qu'elles soient mieux utilisées. Nous publierons dans les prochaines
années les deuxième et troisième volumes consacrés à l'Asie et à
l'Amérique du Sud.
Je veux tout particulièrement remercier tous ceux qui ont participé à
la conception et à la réalisation de cet ouvrage et en particulier le
Président de la Commission VI, Mr K.G. Dahms, et M. P.Y. Durand du
Centre Technique Forestier Tropical.
Je souhaite vivement que cet Atlas devienne l'outil de travail
indispensable de tous les professionnels des Bois Tropicaux, membres
ou non de l'AT.BT., et ceci dans le but final d'un développement
harmonieux de la forêt tropicale.
Le Président
Gérard Lemaignen
Préface
L'utilisation de bois tropicaux dans l'industrie du bois ne cesse de prendre de
l'importance, l'Afrique étant le principal fournisseur de la C.E.E. avec 97 % des
importations de bois en grumes, 70% des importations de bois débités pro-
venant d'Asie du Sud-Est.
Grâce à l'introduction d'essences africaines inconnues dans les dix derniè-
res années, environ 50 essences africaines différentes sont régulièrement
transformées en quantités significatives par l'industrie du bois en Europe,
alors que seulement environ 20 essences africaines différentes étaient utili-
sées avant la seconde guerre mondiale. La fabrication de meubles a connu
différentes modes, de nouvelles techniques de fabrication exigeaient l'intro-
duction d'autres essences plus compétitives. L'introduction de nouvelles
essences inconnues continue à prendre de l'ampleur puisque leur exploita-
tion forestière assure la compétitivité des producteurs dans les pays en voie
de développement. En raison des noms vernaculaires différents en usage
dans les différentes régions géographiques. pour les mêmes essences, il
s'imposait d'établir une Nomenclature internationale afin d'éviter toute con-
fusion possible sur le marché international. Cette Nomenclature sera com-
plétée parles descriptions techniques sur les caractéristiques, les utilisations
et les possibilités de substitution dans le présent ouvrage. Une telle source
d'informations techniques pourra donc être utile à toutes les professions
liées au bois. Les bois tropicaux connaissent des utilisations très variées
grâce à leur poids différent, soit en bois débités massifs, soit en placages
tranchés (en face), soit en placages déroulés (contreplaqué).
Les bois tropicaux aussi ont été remplacés dans de nombreux domaines par
d'autres matériaux ou par des imitations en placages en raison de nouvelles
technologies, par exemple dans la construction de fenêtres par l'aluminium
et le plastique. A l'aide du présent Atlas les éditeurs tiennent en même temps
à ouvrir de nouveaux domaines d'utilisations aux bois tropicaux.
La première édition d'un tel ouvrage ne pouvant jamais être parfaite, lorsque
les lecteurs trouveraient des fautes, des erreurs, etc... les éditeurs sauraient
gré de bien vouloir les leur transmettre.
K.G. Dahms
Introduction
L'ATIBT est à présent en mesure de présenter le deuxième volume
de l'Atlas des Bois Tropicaux consacré au détail et à la description de
100 bois d'Asie, d'Australie et d'Océanie. Nous avons repris le format
efficace de notre publication du premier volume relatif aux essences de
bois africain. Ce premier volume a eu un grand succès auprès du public
international à qui il était destiné, c.à.d. le monde du bois entre forestiers
et industriels d'un côté et utilisateurs, chercheurs et botanistes de l'autre.
Le moment de parution de cette publication, suivant le tome Afrique,
est plus que signifiant. Actuellement, l'attention du monde entier est attiré
sur l'avenir de la conservation et l'exploitation de la forêt humide
tropicale. L'instruction de ceux à qui cette tâche est confiée, a
maintenant atteint un degré d'importance primordiale. Pour atteindre
but, les deux Atlas vont être d'une utilité accrue.
Je veux particulièrement remercier tous lesmembres et collègues
de l'ATIBT qui ont durement travaillé à la conception et à la réalisation
rapide de cet ouvrage et en particulier notre auteur principal, M.Klaus-
Günther Dahms, ainsi que M.W.Bouchard et M.G.Schreiber,
responsables de la traduction en français et en anglais.
A mon avis, cet Atlas sont un outil précieux pour l'économie du
bois, œuvres que des spécialistes de l'ATIBT, profitant de leurs grands
savoir et expérience, ont l'honneur de présenter à la communité mondiale
du bois.
Michael Latham
Président
Préface
L'utilisation de bois d'Asie, notamment du Sud-Est Asiatique, s'est sensible-
ment accrue Sur le Marché Commun. Dans les années 1986 et 1987 plus de
70 % des importations de Sciages provenaient de ce continent. Le pays
exportateur le plus important est la Malaisie, suivi de près par l'Indonésie pour
Ce qui concerne le secteur contreplaqués. Les importations en provenance
des Philippines méritent d'être mentionnées. Actuellement, les quantités four-
nies par l'Australie et l'Océanie sont très limitées, mais il est toujours pensable
qu'avec des changements politique ou économique ces régions se présen-
tent subitement avec une offre accrue, comme p.e. de Papouasie-Nouvelle-
Guinée ou des Iles Andaman.
Pour le moment, la consommation de bois tropicaux d'Asie est concentrée
sur Un nombre restreint de groupes d'essences, soit :
- DARK RED MERANTI / SERAYA / LAUAN, recherchés notamment en
avivés pour la fabrication de fenêtres. - RAMIN, en avivés, spécialement utilisé pour la fabrication de moulures.
- TEAK, en grumes, demandé en premier lieu par l'industrie du placage.
- Il n'y a pas longtemps, d'autres bois, en partie inconnus jusqu'alors, ont
conquis rapidement le marché, tels que le KERUING et le MERBAU
depuis quelques années déjà et le BANGKIRAI naguère. - Des essences connues et approuvées depuis des dixaines d'années
continuent à être demandées, comme p.e.le PALISSANDRE DE L'INDE ou
le LAUREL.
Il y a environ 100 essences de bois qui sont régulièrement importées de cette
vaste région. Cependant, des modifications de prix ou des interventions poli-
tiques aboutissant p.e. à des interdictions partielles d'exportation (exemple :
Philippines et Indonésie) peuvent amener la nécessité de rechercher des
succédanés, comme c'est le cas actuellement pour le RAMIN. I! semble
donc utile de disposer d'une documentation descriptive sur des bois incon-
nus permettant de procéder à des essais suffisamment à temps. De plus,
l'éventail des noms vulgaires pour une même essence est plus large en Asie
que p.e. en Afrique, d'où un besoin accru de connaître les coordonnées bota-
niques. Dans le Sud-Est Asiatique, il est souvent usuel ou utile de grouper cer-
taines essences, d'autant plus que la majorité des réserves de la région se
composent de DIPTEROCARPACEAE. 100 essences différentes sont docu-
mentés dans cet Atlas Tome II, mais, en réalité, un nombre pratiquement trois
fois plus grand y est caché. Contrairement à l'Afrique où un nom commercial
couvre seulement un genre avec une ou, exceptionnellement, plusieurs
espèces, en Asie, un nom commercial peut comprendre deux ou même trois
genres comme p.e. le BERANGAN ou le DURIAN. La série des SHOREA
incorpore déjà plus de 80 espèces, sans le BALAU, Ces donnée particulé-
res favorisent la formation de groupes en Asie. Quoique pas tropicaux, quel-
ques bois d'importation du Japon se trouvent enregistrés dans cet Atlas, ceci
dans le but d'avoir une documentation complète sur les bois d'exportation de
cette vaste région d'Extrême-Orient. Dans ces circonstances, il n'est guére
étonnant que les descriptions de bois sont plutôt volumineuses, les varia-
tions surtout des valeurs numériques pour les indications physiques et méca-
niques étant sensiblement plus élevées. Il était du reste opportun d'opter
pour une rigueur certaine dans l'arrangement du texte, quelques qualités
technologiques n'étant plus exprimés en chiffres, mais en termes globaux,
p.e. le retrait volumétrique pour 1 % d'humidité par « peu nerveux-moyen-
nement nerveux-nerveux ».
Sous 5 mise en œuvre et transformation, la position cintrage à été éliminée, la
section 4 contenant déjà des informations à ce sujet. Sous assemblage ont
été réunies les informations sur le collage, le vissage et le clouage.
J'ose exprimer le souhait que chaque lecteur de ce deuxième tome d'Atlas :
ASIE/AUSTRALIE/OCEANIE puisse y trouver les informations qu'il cherche. ii
va de soi que les éditeurs sauraient gré à chaque lecteur leur signalant des
erreurs où proposant des améliorations où extensions.
Qu'il me soit permis à la fin de remercier vivement, au nom de l'ATIBT, ceux qui
ont contribué à la préparation de cet ouvrage, en premier lieu la Bundesfor-
schungsanstalit für Forst- und Holzwirtschaft à Hamburg-Lohbrügge. L'Insti-
tut für Holzbiologie s'est occupé, de façon admirable, de la préparation et de
la sélection des reproductions photographiques en vue naturelle et coupe
transversale des échantillons de bois. MM. Bouchard et Schreiber se sont
chargés de la traduction française et anglaise, et l'imprimerie Dereume qui.
de nouveau avec beaucoup de compréhension, s'est occupé de la mise
en impression.
K-G Dahms
Ara tu dis cela parce qu'ils sont plusieurs, à faire la même tâche répétitive ?
Mais finalement, si c'était un artisan français, tu dirais la même chose ?
Parce que pour couvrir une maison, il en faut un paquet de tavaillons de toute façon.
Il ne faut pas se leurrer, l'artisanat c'est pas forcément épanouissant...
Après, on a le droit de pas avoir envie de tailler des tavaillons
Dans mon ancien appart, je squattais le dessous de l'escalier qui menait à la cave pour y stocker du bois
Dans ma nouvelle copro, je cherche à me faire discret pour commencer sur de bonnes bases