Toutes les infos sont là !
Mais dis donc Ara c'est quoi cet angle prononcé de queue d'aronde ? 
Tonton Heurtematte a dit de pas faire si pentu !!
archive.org/de...ge/n39/mode/2up
non, je ne sais pas.
Intuitivement, je dirais qu'un angle trop prononcé conduit à quelque chose de trop fragile, sans bien me l'expliquer.
Et trop faible, ben ça marche pas car y'a plus de coin.
Franchement, avant d'user complètement une semelle en Azobé, il faut y aller !!
Et puis il n'y a pas que l'usure en vérité: il y a aussi la glisse.
Ce qui joue sur le confort et la fatigue de la personne qui pousse le rabot.
Tu préfère sun rabot qui ne s'use pas du tout ou un rabot plus facile à pousser ?
Mettre une semelle en acier sur un rabot en bois, je vois cela comme un handicap que l'on rajouterait au rabot bois !!
"Provenance" ne donne que deux essences pour la France... Il faudrait beaucoup améliorer cette xylothèque, mais comment faire ?
Rajouter les infos nécessaires dans les fiches, elles sont remplies de manière collaborative !
J'ai répondu à la question de la flexibilité, c'est à dire -dans le cas d'une poutre en flexion comme c'est le cas d'une tablette d'étagère- que cela caractérise de combien se déforme la tablette pour une charge donnée.
La question de la charge maximale admissible est autre et indépendante de la flexion: la tablette peut beaucoup fléchir et supporter une grade charge ou au contraire supporter une petite charge et donc peu fléchir puisque casser rapidement.
C'est là que l'essence de bois va déterminer la charge maximale admissible, via la résistance en traction/flexion.
Quel est l'instrument métallique en forme de petit marteau ?
Non, désolé, ce n'est pas de l'iroko
Comparez bien les photos en bout et sur dosse, ça ne colle pas.
delta-intkey.c...ww/mormiexc.htm
delta-intkey.c...mages/iroko.jpg
peut être, mais sur dosse et sur quartier, ce n'est pas du tout ressemblant à l'iroko...
Est ce que tu as préparé la surface du bout avec un ciseau parfaitement aiguisé ? ça aide bien voir la structure fine.
Amaury74 ah non non non, je maintiens, ce n'est pas de l'iroko !
et même avec un vilebrequin ce qui permet d'adapter le bras de levier (autrement dit la course du vilebrequin) au diamètre de la mèche.
C'est fou 
Ou alors de rester sur de l'outillage à main
Et pourquoi le peuplier aurait moins de "portance" quele chêne ?
C'est un bon début.
Le mieux pour les manche c'est de prendre un bois dur, frêne ou robinier faux accacia.
Et le plus simple, à mon sens, c'est de tout faire à la plane et les finitions éventuelles au racloir (si on veut parfaire le côté lisse, mais brut de plane c'est très bien aussi).
Enfin, je mettrais les coins dans l'autre sens, mais j'ai du mal à expliquer pourquoi...
tu peux corriger dans le titre de la publication ("éditer"), ce qui la rendra plus facile à retrouver !
Honey locust et Black locust ne sont pas les mêmes essences.
Mais la différence me paraity pas évidente. Le bois du faux acccia (=black locust) est peut être plus doré et le honey locust plus brun rouge
Source de ce qui suit:
Robinia pseudoacacia L.
Common name
English: Black locust
Italian: Robinia
French: Robinier
German: Robinie
Gleditsia triacanthos L.
Common name
English: Honey locust
Italian: Honey locust
French: Honey locust
German: Honey locust
Merci beaucoup.
A vrai dire, je n'avais pas beaucoup de temps pour choisir le bout de bois.
Mais une des raisons principales de ce choix est le fait que du CP aura, il me semble, plus de chances de rester bien plan quelles que soient les conditions hygrométriques, ce qui est important pour assurer une pression uniforme.
Et il me fallait quelque chose de relativement mince.
Pour les gravures, faudra attendre les essais d'ici une semaine. Patience !
Héhé, c'est l'idée, de monter en gamme
héhé, merci, j'y suis z'aussi, on avait causé cuillères à Noël !
Les trous carrés tiennent bien les billes, là ça va.
L'idéal serait d'avoir des trous ronds ou hexagonaux, avec une répartition hexagonale pour avoir une disposition plus compacte des billes, maison, on peut pas tout avoir ! Faut trouver la bonne combinaison avec ce qu'on a sous la main !!
Pour la feuille de plastique, je note l'idée. En vrai, je pourrais essayer sans, c'est sûrement pas indispensable.
Si je mets des billes plus grosses, alors il y en aura moins, ce qui signifie moins de points de contact et donc plus de mouvements nécessaires à la couverture complete de la surface à imprimer.
J'ai essayé avec un rouleau en acier, de 15mm de diamètre environ, mais cela nécessite d'avoir un bloc de bois parfaitement plan, sans aucun défaut, sinon la pression n'est pas bien répartie et certaines zones peuvent être mal imprimées.
La particularité de l'impression avec cette encre grasse est qu'elle répclame une pression importante. Plus importante que pour la linogravure par exemple.
Mais je vais quand même réessayer le rouleau, maintenant que j'humidifie le papier...
Si, sûrement, mais c'est lourd et encombrant, j'aime bien l'idée d'un instrument petit et transportable pour l'impression. J'avais pensé aussi détourner un étau à tubes !!
J'avais envisagé un moment de me faire une presse à double levier, en bois, un peu similaire aux presses lino mais j'ai peur de passer beaucoup de temps et d'énergie à faire une presse pour un résultat pas garanti.
dBPs ce système plafonne à 1bar de pression, ce qui correspond à la différence de pression entre le vide et la pression atmosphérique.
Or 1bar c'est 10e5 Pa, 10e5 N/m², soit 0.1 MPa, soit 0.1 N/mm², soit l'équivalent de 10g/mm² ou 1kg/cm²: c'est peu.
voilà c'est corrigé ! merci
ou ça
Génial, beau boulot. C'est plus agréable à lire que la version scannée.
(qui pour info contient déjà une couche OCR et permet la recherche dans le texte).