Petit retour après l’acquisition d’une Shaper :
- l’encastrement a été très facile. La précision obtenue et la répétabilité sont incroyables. 12 charnières soit 24 trous réalisés en moins de 2 heures.
- le plus compliqué fut de concevoir le gabarit avec les pastilles noires et blanches.
- ça fait beaucoup de copeaux qui ont tendance à chauffer/brûler si mal évacués du trou en raison de la profondeur —> un bon aspirateur est impératif.
- petit bémol sur la bibliothèque en ligne qui propose pas mal de quincaillerie. Les miennes n’y étaient pas. J’ai donc réalisé les plans 3D que j’ai fourni à Shaper : ils n’ont pas été publiés !
Merci à tous de m’avoir rassuré sur cette méthode.
Tout le monde passera à la facturation électronique obligatoire donc fini les logiciels anciens autonomes. Tout devra être connecté ET compatible avec les outils des impôts.
Deux solutions vont s’imposer : l’outil du comptable ou un logiciel connecté régulièrement mis à jour.
Une troisième voie est envisageable : que les impôts nous pondent un outil de facturation. J’y crois peu.
Perso, j’utilise pour l’instant INFAST (Intia, en ligne) car mon comptable actuel (COGEDIS) est « traditionnel » et n’a pas d’outils pour moi.
Je vais changer de comptable bientôt (CER France) et prendrai son outil.
Mon conseil serait donc de te choisir un outil qui ne t’empêchera pas d’évoluer dans un an ou deux, pour coller aux obligations fiscales.
Réponse alternative au plan en deux parties :
Un plan en plusieurs parties.
Si tu le peux selon tes moyens et capacité de transport, tu peux tenter de créer ton plan de travail sur place en assemblant une longueur à l’arrière (près de la crédence), des portions centrales (à gauche de la plaque, entre plaque et évier, à droite de l’évier) et une longueur avant.
Les jonctions doivent bien sûr être invisibles donc usinage soigné de système d’alignement (Lamello ou clamex ou domino ou ..).
Cela nécessite tout de même de pouvoir travailler sur place : collage, serrage, ponçage éventuel des joints et finition.
(Pour la fixation d’un plateau en bois, je fixe l’avant par des vis classiques et seulement l’arrière par des équerres à trou oblong. Donc, le joint entre plan et crédence doit permettre le déplacement horizontal du bois).
Fais une coupe dans un morceau de panneau bien plat le plus épais possible (MDF, méla, CP), et vérifie ta coupe avec ton équerre de précision, si tu en as une.
Sinon, retourne ton panneau sur l’autre face et refais une coupe sur le même chant de 5 à 6 mm d’épaisseur. Tu dois obtenir une fine chute, de 2 à 3 mm de largeur.
Examine ta chute : est-elle suffisamment rectangulaire ?
Si tu la juges trapézoïdale, ajuste ton angle de lame.
Comme a dit Kentaro, rarement besoin d’une précision du 1/10 de mm pour une coupe à 90°.
(Ce serait différent pour des coupes d’onglets à 45° pour des panneaux qui devront être bien jointifs.)
Tu vas « gagner » deux pieds. Mais combien tu vas perdre ?
Mon expérience est la suivante.
J’ai utilisé un gros établi dans une pièce trop petite pour tourner autour.
De ce fait, il était constamment collé au mur.
SAUF qu’au cours des évolutions de l’atelier (ajout d’une presse, arrivée d’une nouvelle scie, etc.), mon établi a régulièrement changé de place.
Aujourd’hui, je l’ai offert à un jeune qui débute … avec ses 4 pieds, ouf.
Oui, ça va condenser sur l’intérieur des pavés de verre.
En effet, les joints entre pavés sont poreux et laisseront toujours passer de la vapeur d’eau dans la lame d’air.
Et alors ? Est-ce grave pour toi ?
Perso, je persisterais en prévoyant un canal d’écoulement de cette eau au bas de la lame.
A défaut puisque tu sais faire un cadre, vire ces pavés et place d’emblée un double vitrage fixe.
Bonjour,
Pour le bois, le choix est techniquement large puisque ton local à vin devrait avoir hygrométrie et température assez constantes toute l’année.
Calcul du poids obligatoire car c’est vite lourd pour dimensionner la structure. Mais rien de compliqué.
Donc je dirais que c’est uniquement affaire de bon goût et de budget. (J’ai vu des meubles de cave en OSB ).
Les bouteilles fermées ne craignent pas grand-chose (à la condition que le bouchon de liège reste humidifié par le vin). C’est plutôt le bois qui pâtirait d’une bouteille cassée ou d’un verre renversé.
Je suis en train de terminer un commerce de vins : contreplaqué bouleau, intercalaires en CP peuplier, finition à l’huile-cire Osmo. Le peuplier est laissé brut.
Soit je perce à 3mm la pièce à serrer et je place un serre-joint avant d’y mettre la vis de 4.
Soit, si le serrage des deux pièces au serre-joint n’est pas possible, je perce à 3 et j’utilise des vis à filetage partiel.
Dans les 2 cas, un vissage solide s’obtient par le choix d’une vis adaptée en longueur : la longueur de la vis insérée dans la pièce « fixe » doit être supérieure à celle dans la pièce « serrée ».
Bonjour,
Sans schéma, je ne suis pas sûr d’avoir bien compris le phénomène (coupe à droite ou à gauche du guide ? Quelle largeur de CP est présentée devant la lame ? Où se situent les poins de poussée pendant la coupe ?)
En l’état, je fais l’hypothèse que les autres paramètres sont corrects et j’incrimine le couteau diviseur à placer dans le prolongement de la lame. Il n’y a jamais de réglage latéral. Regarder s’il est tordu, auquel cas le redresser.
Bonjour,
Personnellement, je n’aime pas mélanger des matériaux aussi différents. Le ba13 c’est pour des cloisons et doublages de propreté. « Construire » avec lui est une mode YouTube. Mon père était staffeur émérite (entre autres comme dirait Maître Etienne ).
Mais quelle est la nature de la difficulté à résoudre ?
Son opposition s’explique comment :
Tête de lit trop légère ou fragile ?
Fixation de charges lourdes impossible par des renforts internes ?
N’a t-il pas de compétences déclarées en menuiserie ce qui lui interdit juridiquement de le faire car il ne sera pas assuré par sa décennale ?
Réalisation trop coûteuse pour sa rentabilité ?
Dis-nous en plus stp.
Bonjour,
Je pense que tu te compliques la vie en essayant de lier directement les 2 demi-plateaux.
Car d’une part le compact n’a pas besoin de support bois. Sa rigidité et sa stabilité inciteraient à l’inverse à s’en servir comme référence.
Ensuite, le maintien d’une distance constante entre demi-plateaux bois peut être réalisé plus simplement.
Ainsi, je ferais sur chaque demi-plateau une feuillure de 10mm d’épaisseur et au moins 25mm de largeur pour accueillir le compact. Celui-ci fixé par vis par dessous.
Tu auras ainsi un plateau composite dont la partie centrale sera parfaitement stable.
Attention toutefois : quelle que soit ta solution d’assemblage, il subsistera un risque de désaffleur dans l’épaisseur entre la zone bois et celle en compact. Te conseille donc de pratiquer un micro chanfrein sur chaque arête de l’assemblage pour dissimuler tout mouvement ultérieur qui « accrocherait » la main.
Bonjour,
Texte mis à jour (détails plus bas) : les pros sont tous concernés.
~~Je vous souhaite sincèrement de facturer cette éco-participation.
En effet, je cite : « depuis le 1er janvier 2024, vous êtes concernés seulement si :
- Votre chiffre d’affaires annuel cumulé pour tous les produit vendus sur toutes les filières concernées dépasse 20 millions d’euros ;
- Et si vos mises en marchés annuelles sont de 10.000 unités de produits en cumulé sur toutes les filières concernées. »~~
Au boulot !