Bonjour,
La largeur ne me paraît pas rédhibitoire. J’ai démarré en ville dans 18m2 dont 3m de large pour ma première année. Et un autre box pour stocker mon bois.
Fallait régulièrement déplacer chaque machine. Ça t’oblige à bien réfléchir à tes phases de travail.
Et en effet, difficile de faire attendre tes meubles après montage. Faut aller les installer pour libérer la place.
Le vrai souci que j’ai eu concernait le bruit généré par les machines. Impossible de faire tourner une machine après l’heure mentionnée dans le décret préfectoral. Donc, si tu as du voisinage, tes soirées seront nécessairement silencieuses : outils à main, finitions.
Chaque bâton comporte un aimant à son extrémité supérieure.
Celui-ci colle à une zone métallique placée sur sa tirette.
En actionnant la tirette horizontale, on force le décrochage de l’aimant.
Il suffit en fin de jeu de repousser toutes les tirettes en butée pour remettre et faire tenir les bâtons.
Bon jeu !
Bonjour,
Beaucoup de plateaux de tables en verre tiennent sans perçage mais soit.
Rien de compliqué : forêt pointe ogive carbure voire diamant, un bout de scotch pour éviter le glissement à l’entame, petite vitesse et patience, refroidissement à l’eau du foret.
Bien sûr, ne pas tenter dans du verre trempé.
Bonjour,
Il n’y a plus de serveur de téléchargement officiel (Trimble).
Tu peux probablement encore le trouver sur des serveurs tiers, à tes risques.
Rien de cher dans l’outillage nécessaire : deux bras, deux yeux, une scie à main pour l’embrèvement, une chignole à main et une longue mèche à spirale.
Pour le guidage, on peut éventuellement se fabriquer un canon de perçage maison : un tube en métal/plastique rigide enfermé dans du bois et dont une extrémité est biseautée à l’angle souhaité.
Ton idée est viable et réclame de bien réfléchir.
Toutefois, il va te falloir maîtriser la géométrie pour que le coulissement soit pérenne, compte tenu des grandes dimensions et du poids total.
- Utilise le sol comme appui, deux glissières « charge lourde » sous le meuble par exemple. Si c’est possible, ça simplifie beaucoup la partie murale.
- Il est crucial que s’il y a deux (ou plus) glissières murales, celles-ci soient coplanaires. Or, fixer directement dans le mur sans précaution, c’est prendre le risque qu’il ne soit pas plan. Va falloir prévoir des cales d’épaisseur et bien mesurer au laser.
Par ailleurs, les coulisses que tu montres en lien ne sont que très peu réglables. Il va falloir procéder par étapes : fixer coulisses au mur et ajuster planéité puis fixer par dessus un panneau simple, puis désassembler pour construire les tiroirs sur ce panneau. Or, le désassemblage de ces coulisses se fait par un levier accessible latéralement : dans ton cas, il va se retrouver coincé contre le mur ! - Je te déconseille le pin car il va sévèrement se déformer en séchant (un frigo moderne chauffe continuellement). Selon ton budget, préfère des panneaux (MDF à peindre, CP, agglo mélaminé)
- Si ton mur est bien en parpaing habillé de placoplatre, des chevilles standard en nylon suffisent. De nombreux modèles conviennent mais j’aime bien celles très souples qui se déforment au vissage. L’important est de faire un trou propre.
Si tu chauffes ton atelier ou si tu y stockes du bois sec, je te déconseillerais ce type de montage.
En effet, tu vas créer un appel d’air extérieur équivalent à l’air que tu rejettes, faisant entrer air froid et/ou humide.
Les efforts à faire pour maîtriser cette entrée d’air extérieur compensent ils les bénéfices de faire sortir tes copeaux ?
Certains pros utilisent des cyclones (ou systèmes assimilés) pour nettoyer l’air et le réinjecter dans leur bâtiment après filtrage.