La surface à traiter compte.
Mettre un revêtement pour 20m2 ou 200m2 c’est pas le même prix n’est-ce pas ?
J’ai la chance d’avoir une dalle béton très lisse et plane. Je l’ai donc gardée et je confirme pester à chaque chute d’outil ou de pièce de bois.
Mais c’est très costaud, j’y rentre sans précaution des véhicules, chariots élévateurs et chariots télescopiques lors des livraisons de bois.
Je réfléchis à traiter la zone des établis avec une couche de bois.
Une dalle brute peut se lisser par un ragréage fibré.
Je ne suis pas expert en toupillage mais l’arbre tournant très vite, tu auras probablement des vibrations car la masse ne sera plus concentrique à l’axe de rotation. Est-ce le cas à vide ?
Ces vibrations pourront être destructrices.
En outre, un passage chez un usineur pour réaliser une rectification cylindrique ne permettra pas de conserver le diamètre de 30 nécessaire aux fraises. Chez moi, le jeu entre arbre et fraises est très faible.
En fait, rabot électrique et à main fonctionnent selon des principes différents pour couper le bois.
Celui électrique utilise un cylindre en rotation qui porte les tranchants : les copeaux ne sont pas créés parallèlement à la surface. Il en résulte un état de surface quelconque.
Le rabot à main coupe parallèlement. Dans de bonnes conditions d’emploi, on obtient une surface remarquable.
Aucun outil électrique n’a su remplacer un rabot à main.
Comme dit auparavant, les deux peuvent être complémentaires, l’électrique permettant d’enlever facilement beaucoup de matière.
Oui, c’est possible.
Ma toute première table en amateur était faite ainsi.
Bon, faut resserrer les vis des pieds régulièrement mais elle a 30 ans et sert tous les jours.
L’important dans ce montage est de biseauter l’angle intérieur du pied, de façon à que la ferrure ne touche pas le pied. Cela permet d’avoir le cadre parfaitement en contact avec le pied.
Si pas clair, je ferai un schéma.
Ensuite, le plateau de table est fixé au cadre de manière traditionnelle, pour accompagner ses mouvements.
Bonjour,
Je n’ai pas saisi le « finalement ». As-tu déjà posé une question concernant ces caissons ?
Sinon, si tu as un peu de place latéralement, tu peux assembler directement sur place un seul grand caisson qui monte presque au plafond.
On place le fond sur ses pieds, puis le montant près du mur, puis le fond, puis le haut en appui sur le fond, puis le dernier montant. On peut s’aider d’un long étai type 3eme main.
Deux précautions s’imposent :
- prévoir un filler au dessus car la jonction caisson-plafond risque d’être disgracieuse.
- prévoir un système de réglage de hauteur accessible depuis l’intérieur du caisson, voire l’avant si la plinthe est amovible.
Le fond peut être fixé par rainures, sur place. Ou vissé par l’arrière si tu as l’opportunité de passer derrière le caisson.
En effet, une longue porte est lourde et se dérègle facilement. Il te faudra une ou plusieurs étagères fixes pour rigidifier les montants du caisson et ainsi minimiser leur gauchissement et 5 charnières au moins. Les charnières participent à éviter que la porte ne gauchisse. Deux aimants de fermeture, un en haut et l’autre en bas, peuvent contribuer à maintenir la porte plane.
Avec ta scie sur table : fabrique toi un gabarit incliné et passe le en biais en appui sur ta règle. Tu auras ton biseau que tu pourras ajuster finement grâce à ta règle pour qu’il vienne « mourir » sur le haut du pied.
Pareil à la plongeante avec une fixation en biais adéquate mais c’est plus long et moins précis je trouve.
Dans les deux cas, fais ton biseau avant d’effiler le pied. Ça te permet d’avoir deux paires de rectangles symétriques que tu pourras biseauter par retournement. Je ne sais pas si je suis clair là
Bonjour,
Comme placo de 2 à 3 cm d’épaisseur, je ne connais que le BA25 qui est un sandwich carton-plâtre-carton de 25 mm d’épaisseur.
Les clous ne tiennent pas dans ce matériau, même plantés en diagonale.
Ceci dit, je ne te conseille pas de fixer du lambris directement sur une surface, en général, on laisse une lame d’air derrière un lambris bois, indispensable à sa bonne ventilation.
On place des tasseaux, fixés au mur par collage (mastic polyuréthane ou polymère voire même silicone si le mur est non-gras et que l’on peut patienter au séchage). Ces tasseaux, perpendiculaires aux lames de lambris, peuvent ensuite recevoir des clous ou des agrafes pour fixer ces lames.
Ni l’un ni l’autre. Je n’utilise plus la semelle pour me guider.
Ce n’est ni la géométrie ni la concentricité qui me gêne mais le fait que ce soit difficilement réglable ou long à régler et variable bien sûr selon la défonceuse utilisée.
C’est donc soit par une bague à copier, soit par un roulement de fraise, soit par un guide parallèle soit enfin par un guide qui vient coulisser sur un rail.