Le traitement chimique à l’ammoniac n’est pas neutre dans cette affaire. Sa compatibilité avec un produit de finition pose aussi question.
J’aimerais savoir comment sont apparues ces taches.
Toutes seules ?
Après utilisation de produits sur la table ?
Après nettoyage de la table ?
Tâches présentes aussi sous la table ?
C’est la définition même d’une plateforme : c’est un outil uniquement informatique pour mettre en relation acheteurs et vendeurs.
Pour ma part, je fais l’effort d’aller rechercher de vrais fournisseurs voire le fabricant en direct.
C’est ce temps de recherche que ces plateformes facturent.
Le lamellé-collé a déjà supprimé beaucoup de tensions internes. C’est pas garanti mais ça devrait très peu bouger sans structure de renfort.
D’ailleurs, c’est la teinte à l’eau qui pourrait lui ramener de l’humidité et donc le faire bouger temporairement.
Seule précaution pour moi : la fixation au tasseau mural doit laisser le plateau jouer en largeur. Pour ça on utilise des trous oblongs.
Magnifique !
Très belle simplicité en effet. Le beau bois n’a pas besoin de plus.
(Ce qui me chagrine toujours, c’est le passage dans la vie quotidienne : accord avec les chaises, utilisation de nappes qui cachent tout, etc. C’est difficile de conserver cette beauté qui s’exprime bien toute seule.)
Oak D’accord avec l’idée importante de faire supporter ce joint par un montant de caisson. Car, si le joint est « dans le vide », même en le renforçant par faux tenon/structure métallique/etc. ça ne restera pas dans le temps (c’est du vécu hélas).
Déjà que le joint sera de toute façon visible, autant qu’il reste solide et discret.
C’est assez pénible à l’usage car on se salit facilement et c’est difficile voire impossible à nettoyer mais colle PU, c’est bien pour ça.
Attention, ça craint vraiment l’humidité : un pot mal fermé et la colle « sèche » en un rien de temps. Y compris sur les rayons des magasins —> bien s’assurer que la colle est encore liquide avant d’ouvrir sinon c’est mort.
Purée la claque !