francoisB30 Tu as sans doute raison.
Il y a un questionnaire sur ce site permettant de savoir si on est concerné. Me concernant, leur réponse est oui
Toutefois, j’ai passé un peu de temps à essayer de retrouver le texte de loi dans ce sens, sans succès.
Je reste donc dubitatif.
Je vais soumettre cette question à la chambre des métiers.
Question posée à la CMA Bretagne, en attente d’un retour.
Toutefois, ma lecture des différents guides et tarifs sur le site ecomaison laisse de moins en moins de doutes. Nous serions concernés depuis 2013 !
Va falloir penser à s’adapter dès à présent.
A suivre.
Alors, retour d’infos de la CMA Bretagne :
Oui, nous sommes TOUS bien concernés par la loi AGEC, que l’on fabrique sans connaître le client final ou que l’on fabrique sur-mesure pour un client identifié, SANS minimum de chiffre d’affaires :
- contractualisation avec un éco-organisme à choisir ;
- facturation au client d’une éco-participation (barèmes selon les éco-organismes) ;
- reversement de celle-ci à cet éco-organisme (chargé de fournir un service de recyclage/réemploi en fin de vie des produits) ;
- démarche bien distincte de celle d’élimination des déchets créés lors de la production/installation.
- obligation d’information du client (catalogue, site web ou juste le devis et la facture).
Me reste à vérifier auprès de mon comptable la neutralité fiscale de ce dispositif car il ne faudrait pas que l’on paye un impôt sur les sommes collectées. Je vous dis ici si j’ai cette info.
Bon courage !
Comme dit auparavant, regarder et analyser ce qui existe autour de chez toi.
Sinon :
Chaque lame doit rester libre, sans collage entre elles. En général, l’assemblage du panneau est fait par rainure/languette, sans colle. Une réalisation sur bois sec verra peu de rétreint, mais ça bouge forcément. Dans certaines régions, j’ai vu l’insertion d’une tige filetée dans l’épaisseur des lames, pour serrer celles-ci.
La fixation des traverses sur le panneau se fait à chaque lame, par vis depuis l’intérieur, ou par boulon traversant s’il y a une penture métallique.
La protection du bois de bout en haut de volet est ici réalisée par l’arc de cercle qui va augmenter l’écoulement de l’eau et par l’encadrement du volet dans son cadre lorsqu’il est fermé. Tu peux ajouter une coupe en biais léger pour encore faciliter l’écoulement.
Ok, bien vu la traverse en queue d’aronde.
Tu as regardé aussi pour une éventuelle rainure/languette ?
En revanche, cette traverse est à l’extérieur et empêche l’eau de parfaitement s’écouler. Étrange, sauf si ces volets n’étaient jamais fermés…
Tu as aussi prévu de la mettre à l’extérieur ? Auquel cas, crée une pente légère pour l’eau.
JeanA bonne chance avec ce type d’enture.
Le genre de structure que j’apprécie : mise en valeur du bois, discrétion des fixations, mécanisme surprenant.
Bravo !
Pluvinel Je pense que tu confonds avec des coulisses placées à plat, sous un tiroir par exemple, qui de ce fait supportent une charge très réduite.
Ici, les glissières sont montées comme prévu par leur constructeur. Elles supporteront donc le poids indiqué par celui-ci.
Ce tandem de coulisses peut s’employer pour de plus grands et lourds panneaux sans souci.
Rabotage obligatoire pour créer un plan donc soin des affleurs pas indispensable au collage.
Serrage d’un ou deux collages à la fois car sinon, la force de tes serre-joints va littéralement s’évanouir devant l’effort à fournir. Tu peux faire des blocs de 3 et coller ensuite entre eux.
GabyLeBucheron la force de serrage est au mieux divisée par le nombre de plans de collage.
Mais comme la force n’est pas transmise perpendiculairement au plan de collage (on considère usuellement pour simplifier qu’elle se répartit sur un arc de -45° à +45°, et comme les bois sont partiellement compressibles (effet ressort intrinsèque + déformation de la lame si le plan de collage n’est pas parfaitement jointif), et comme la colle (même avec Lamello/domino) absorbe une partie de la pression (c’est ce qui l’a fait s’échapper du plan de collage) dans les faits, la force baisse très rapidement avec l’augmentation du nombre de plans de collage, l’épaisseur du bois à serrer et la surface du plan de collage.
Soit tu multiplies tes serre-joints (tous puissants et bien serrés sinon inutiles), soit tu utilises une presse hydraulique.
Soit (solution que je ne préconise pas), tu utilises une colle qui réclame peu ou pas de pression (pu ou epoxy).
Soit tu colles à la vinylique, petit à petit. CQFD
Sympa.
Le chanfrein est une vraie bonne idée qui permet de dissimuler un certain temps la nature du panneau aux observations attentives.
(Dans ce genre d’idées, on peut aussi conserver le fil du panneau entre les faces et le dessus).