Pression probablement trop forte devant.
La force se règle usuellement par la compression des ressorts.
Mais je ne connais pas ta machine.
Bon, je viens de lire la notice.
Mon beau-père disait toujours « quand rien ne va plus, lire le mode d’emploi »
Il y a un réglage à faire de la table auxiliaire qui la réhausse de 0,1 à 0,3 mm.
En plaçant une planche bien plane pour rallonger la table, tu l’as rendue horizontale, ce qui est incorrect.
Donc, essaie un rabotage dans la configuration usine, avec l’entrée plus courte et surélevée et dis-nous.
La raison exacte a été trouvée ci-dessous. La pression des rouleaux n’est pas en cause et le souci n’en est pas un en réalité.
J’ai visionné la vidéo de ton usinage : ce relevé très temporaire est usuel et sans gravité.
Je l’ai aussi parfois chez moi sur une Hammer. Il est dû au rouleau qui démarre sa pression sur l’angle haut de ton bout de bois. Si ton bois est haut et que sa face avant est à peu près verticale, la rotation du rouleau crée un couple de rotation du bois autour du point avant bas.
Dès que la face avant du bois a avancé et dépassé l’axe du rouleau, le couple de rotation disparaît et la planche retombe.
Heu, je vais faire un croquis, ce sera plus clair. 
Tu peux vérifier mes dires en rabotant une planche plus fine que sur ta vidéo , de ce fait le couple de rotation créé sera faible et incapable de soulever ta planche.
Ou bien en rabotant un bois haut dont la face avant est inclinée.
Sapelli plaqué sur un panneau d’agglo fin (intermédiaire entre agglo et MDF).
Pour ton apprentissage, ce n’est guère mieux que du pin.
Essaie de te trouver du vrai bois massif (une palette même si je ne suis pas fan peut servir à apprendre pour peu cher).
Bon courage
J’ai ça aussi mais seulement en 2 teintes à mélanger.
Faut une main d’artiste (que je n’ai pas) pour recréer un faux veinage en trompe-l’œil.
À faire après un ponçage léger au grain fin.
Justement, je souhaite éviter l’achat de matériels spécialisés.
(Pas facile à trouver en France d’ailleurs les gabarits Koblenz)
Merci pour ton retour.
Je ne cherchais pas la rapidité mais j’avais dû abandonner cette méthode pour plusieurs raisons :
- J’ai posé pour ce chantier plusieurs dimensions de charnières Unika ;
- Je n’avais pas alors de quoi faire un gabarit défonceuse précis, ni bague à copier ni fraise adaptée pour plonger ;
- Le plateau shaper est très polyvalent et m’a resservi et resservira encore.
Et l’insonorisation finalement ? Suffisante avec cette épaisseur ?
Un joli dessin (merci au client exigeant), beaucoup de travail et une immense satisfaction à l’arrivée : bravo, tu as tous les symptômes du malade du bois.
(Déjà faire deux pièces identiques dont la première juste pour se faire la main..pfiou)
Sacré et beau challenge !
Attention toutefois, vivre ses rêves et vivre de ses rêves n’est pas la même chose.
On ne peut pas changer ses dimensions certes, mais on peut changer la perception qu’on en a si tu la trouves « grasse ».
(Moi j’aime bien ses proportions compte tenu de son emplacement.)
Essaie de fractionner en vertical comme s’il y avait deux vantaux asymétriques. Je dirais de 75/25 mini à 70/30 max, à tester.
25 ou 30 entièrement vitré de haut en bas. C’est ça qui va l’étirer visuellement.
75 ou 70 en 4 petits carreaux comme sur ta 2 ème porte en partant de la gauche. Ça fera des carreaux plus étroits que haut, renforçant encore l’étirement visuel en hauteur.
Quand l’angle de la niche est défavorable, on peut toujours fixer par tasseau encastré. Il suffit de faire une feuillure non débouchante, sous les côtés de l’étagère. Une vis dans le tasseau suffit à verrouiller. Bien sûr, plus c’est ajusté, plus c’est discret.
C’est chouette.
Je suis en train de terminer un bardage métal sur un ex-container frigorifique devenu local technique panneaux solaires.
Comment as-tu fixer tes chevrons sur les Algéco ?
Merci.
Une coupe au rail exige que la lame soit parallèle à celui-ci, ce qui n’est pas garanti avec une sauteuse. En effet, la fixation de la lame est peut-être imparfaite ou le bras peut avoir un jeu en rotation axiale.
En général, j’obtiens de bien meilleurs résultats à main levée, avec une lame large (pas les étroites à réserver au chantournage), en avançant légèrement en crabe si besoin. Je guide précisément la scie par sa base avec ma main gauche (je suis droitier).
Aïe. Première expérience à poursuivre.
En effet, une lame inversée a besoin d’être pressée pour ne pas faire sauter/tressauter la scie. Et puis, il faut avancer plus lentement et régler l’oscillation de la lame à 0 usuellement.
Ne lâche pas l’affaire.
Bombé à l’extérieur sur la penture, collet carré … dans le trou carré de penture.
A l’intérieur, j’ai l’habitude de meuler les vis au ras de l’écrou. Ponçage et peinture obligatoire sinon rouille de la vis.
C’est « assez » propre volets ouverts.
Fraise négative (carbure massif chez CMT par exemple) et attention à la prise de passe puisque l’évacuation des copeaux vers le bas est contrariée.
Ça marche nickel.
J’ai utilisé aussi ce type de chant par le passé. Trop chaud et ça ramollit non seulement la colle mais aussi le chant lui-même.
Si ta température n’est pas réglable, essaie de travailler plus vite pour moins chauffer au même endroit.
Bonne chance ! ( moi, j’ai arrêté ce type de chant)