Laine de bois, c’est le plus simple en biosourcé.
40 mm bien suffisant pour un atelier surtout avec un seul mur extérieur. L’important, techniquement parlant, c’est que colles, huiles, vernis puissent sécher. Et en terme de sécurité, que l’on puisse travailler aux machines sans être emmitouflés.
La lame d’air, on s’en fiche dans ce cas précis.
De plus, tu gagneras sur le plan acoustique.
Après, si tu sais poser des tasseaux de 60 voire traiter le plafond, c’est byzance.
Leboncoin fourmille de tuyaux métalliques.
Chercher « aspiration «.
Pour le raccordement machine, en effet le plus court possible.
Et prendre du tuyau avec fil cuivre intégré, c’est pas si cher pour 1 m ou 2. (Exemple
Il y a quand même des constantes. L’industrie européenne est calée sur la largeur brute de 600mm externe, soit 564mm interne avec des panneaux de 18mm.
En encastrable : Réfrigérateurs, fours, cafetières, lave-vaisselles, nécessitent cette largeur.
En pose libre (donc sans côtés), les appareils nécessitent aussi 600mm.
Attention, la mode des frigos larges nous gagne : on trouve des largeurs > 600 non standardisées.
La hauteur n’est standardisée que pour les fours et fours compacts encastrés (590 et 475mm).
Si la hauteur du plan de travail est environ 900 à 950 (selon la morphologie des gens), la hauteur du meuble bas lui-même n’est pas figée. On a des pieds de meuble de 60 à 150 mm.
La profondeur n’est pas standardisée (même si la largeur standard d’un plan de travail de GSB de 650 te contraint souvent sur cette dimension) et méfie-toi des circulations de tuyaux, et câbles électriques indispensables à l’arrière si tu colles trop ton mur du fond. Ça coince souvent sur ce point.
Le plus rationnel est de choisir ses appareils avant de tracer ses meubles et de les implanter. Une cuisine « dure » entre 10 et 20 ans. Un appareil rarement plus de 10, donc conserver la possibilité de renouvellement en gardant ses meubles me paraît raisonnable.
Bon courage.
Sur les cuisines fabriquées en usine, je ne connais pas d’autre matériau. C‘est un panneau industriel qui alimente la chaîne automatisée.
En revanche, on trouve des artisans réalisant en contreplaqué (replaqué ou non), en mdf ou agglo replaqué bois. C’est bien plus beau et cher.
Attention, la qualité du mélaminé est très variable entre fabricants de panneaux (qualité et nature de l’âme, qualité et épaisseur de la surface en mélamine, nature des chants si posés en usine, etc.).
Ça part au maillet normalement.
Utilise les tels quels sur un bout de bois martyr. Ça devrait sauter rapidement sans abîmer le tranchant.
Si résidu gênant, ça part au papier de verre fin, le même que pour dresser la planche d’un ciseau. (1000, humide, posée sur un plan, etc.)
Mes Narex avaient ça, en plus d’un capuchon plastique. L’affutage n’était pas parfait donc papier de verre obligatoire d’emblée.
Je ne sais pas calculer la section nécessaire mais je sais les vérifier par ce calculateur eurocode 5 : calculs-euroco...n_rectangulaire
Dans ton cas, tu peux essayer les dimensions disponibles en GSB.
Boris Beaulant , si le plus important est de conserver une série d’arcs jointifs, tu n’as pas d’autre choix dans la « méthode des 3 points » que de choisir les deux extrémités sur l’ellipse.
Nécessairement, le 3ème point ne pourra pas s’y trouver.
C’est là qu’il faut choisir le taux d’erreur acceptable pour se donner ce 3ème point. Non pas en distance absolue comme 0,1 mm mais peut-être en % d’une dimension donnée représentant le caractère elliptique de ton ellipse. En effet, plus ton ellipse est circulaire, moins d’arcs seront nécessaires.
Le caractère elliptique s’apprécie par le ratio grand axe/petit axe. Si égal à 1, ton ellipse est un cercle exact. Si tendant vers l’infini, ton ellipse est allongée au point de ressembler à un segment de droite.
D’ailleurs ce ratio peut être utilisé pour choisir les points : plus il est grand, plus les points choisis doivent être nombreux. (Dans la limite du raisonnable car non seulement ce serait long à calculer mais faux aux limites : une ellipse plate s’approxime par un seul arc de cercle de rayon infini).
La méthode qui consiste à vérifier l’écart entre un point de l’ellipse et son équivalent sur l’arc de cercle me paraît bonne.
En utilisant la propriété des foyers de l’ellipse (la somme des distances d’un point quelconque à chaque foyer est constante et vaut 2 fois la longueur du grand axe), l’erreur en chaque point reconstitué est assez rapide à calculer.
Sinon, autre méthode très différente, on trace tout au compas : peinturemamanl...tus.fr/?p=25052
Puis on vérifier le taux d’erreur sur les points de raccordement (4 tous symétrique donc un seul calcul).
Je me souviens qu’en cours de dessin technique on traçait avec 8 points, dont les 4 donnés par grand axe et petit axe et 4 autres fournis par deux cercles centrés sur les foyers.
Houla, c’est très chouette. Joli ET fonctionnel.
Juste une question mineure : est-ce que la partie basse du « pied de table » (qui abrite les 4 roulettes) ne pouvait pas être réduit en largeur, pour ne pas gêner les pieds de votre compagne ? (Seulement 2 roulettes suffisaient sans doute ?)
Bravo en tout cas.
Paires de FSZ120 et MFT-SP et boîte SYS-MFT sont toujours en vente.
Les benchdogs sont à chercher ailleurs.