
Personnellement, je suis droitier et je préfère donc couper à droite du guide. Ça me permet de rester entièrement à gauche de la lame, sans passer mes mains au-dessus.
Es-tu gaucher ? Si oui, pas de souci.
Par ailleurs, le guide est normalement légèrement divergent et NON parallèle à la lame, justement pour empêcher le coincement du bois coupé entre lame et guide. Ce qui se termine parfois en rejet dangereux vers l’opérateur.
Tu disais avoir vérifié les 5 coupes. As-tu réglé ton guide à cette occasion pour le rendre parallèle ?
Si oui, c’est ça le souci.

Cette comparaison a peu de sens.
Comme dit Oak, le transport joue énormément car le bois est lourd et donc cher à transporter.
(Seuls les Chinois sont capables d'acheter du brut en Europe pour nous le revendre transformé....)
Bref, rapproche-toi soit d'un grossiste/scierie pour obtenir des prix intéressants près de chez toi.
Soit d'un menuisier qui voudra bien te revendre quelques planches depuis son stock. C'est comme ça que j'ai débuté dans ma jeunesse.

Compte tenu de la nature en béton de mes parois et sol au contact de la terre, je ne sais pas encore comment agir le plus efficacement : en chauffant l’air ou en l’asséchant.
Ce sera probablement en mixant les deux, la proportion restant à définir par l’expérience.
Je vais déjà placer des appareils de mesure pour enregistrer ce qui se passe dans différentes zones.
Merci.

Merci infiniment etiennedesthuilliers d’avoir pris de ton temps pour une réponse aussi exhaustive que possible !

Je suis curieux de cette pratique.
Quelle est l’utilité de réduire le passage de lame ?
Travail des petites pièces ?
Ma machine dispose d’un passage large, bien utile pour l’aspiration des copeaux.
Et accessoirement indispensable pour l’inclinaison de lame. Je ne me vois pas changer cette pièce à chaque inclinaison.
Merci.
xyloweb heu si, le kick back va se produire avec du CP s’il est coincé entre guide et lame. C’est le cas si le guide n’est pas divergent. Ce guide qu’on nomme parallèle ne doit pas justement pas l’être. C’est d’autant plus sensible que les coupes sont longues.