As-tu réellement besoin que l’espace additionnel soit au même niveau que le plan fixe ?
Car en général, on place son clavier 5 cm plus bas que la hauteur standard afin de soulager ses épaules.
Le cas échéant, un simple tiroir à clavier suffirait. Quitte à changer la répartition des profondeurs : tu indiques 56 fixe + 14 mobile. Tu pourrais avoir 56 fixe + 50 mobile avec des glissières à sortie totale qui supportent 30 kg et sont verrouillables en position ouverte.
Pareil. Foussier a l’essentiel à son catalogue.
Je regarde aussi chez Hafele qui est distributeur mais aussi fabricant de quincailleries.
Non,
En général, je lui demande d’abord quel style il souhaite afin de réduire la palette de propositions.
Ensuite, je vérifie si la gamme est adaptée (différentes tailles selon la taille des façades) et fonctionnelle (on a besoin d’une bonne prise de main pour un réfrigérateur ou un gros tiroir bien lourd) et si elle est cohérente du style de sa cuisine.
Puis son budget est primordial. Une poignée en zamak ou en inox, ce n’est pas du tout le même tarif.
Je n’imprime rien, le temps c’est de l’argent. J’apporte mes catalogues et plaquettes commerciales et on feuillette ensemble.
Je fais un montage photo succinct seulement s’il a besoin de mieux voir le résultat.
Les deux caractéristiques importantes sont capacité (en microfarads) et tension de claquage (en V).
La valeur de capacité peut être légèrement différente en + ou -
La valeur de tension doit toujours être supérieure ou égale à celle d’origine.
C’est 5 à 6 € neuf ou gratuit en récupération.
S’il n’y a pas de fil, on soude une rallonge sur les cosses. Rien de difficile.
Je comprends qu’il s’agit de calepinage.
En général, si on ne veut pas/peut pas couper de lames, on s’arrange pour mettre les lames entières à l’extrémité la plus visible par les visiteurs, afin de planquer loin des yeux la dernière lame. Qui, elle, sera nécessairement mise à la bonne dimension.
Cette méthode peut rester esthétique si la coupe finale ne laisse pas un moignon tout fin.
Sinon, pour être propre, on prend sa calculette et on divise la (largeur façade à couvrir - largeur lame) par (largeur lame + espace).
Par dichotomie, on ajuste la valeur de l’espace pour tomber sur un nombre entier.
Ensuite, on se fabrique des cales d’espacement de la valeur trouvée. Et comme dit Oak, on s’en sert pour poser.
Attention :
- à bien mesurer la largeur des lames à poser, il est courant qu’elles soient inégales. 0,5mm x 20 = ça finit par ne plus tomber juste.
Placer 4 dominos de 12 sur deux rangées parallèles, ça respecte la règle du 1/3.
L’important est de fraiser sans jeu, ce qui exige un traçage soigné et une maîtrise suffisante de l’outil (s’entraîner avant).
C’est cette absence de jeu qui va assurer la rigidité maximale de l’assemblage. Toute colle blanche à bois fera l’affaire, une colle lente est préférable pour débuter car … on travaille plus lentement quand on débute.
Enfin, pour la longueur de fraisage, le minimum c’est 3 fois l’épaisseur d’un domino. Donc 36 mm pour un 12. Le maximum utile c’est 5 fois donc 60 mm. Attention aux fraisages perpendiculaires qui ne doivent pas interférer entre eux.
Ce n’est pas le bois qui glisse, ce sont les mousses et lichens qui y poussent. Et leur implantation est favorisée pas les rainures présentes sur les lames posées.
Donc, afin de réduire ces mousses et de faciliter un nettoyage régulier ou de favoriser la fixation de structures anti-dérapantes, placer les lames avec la face lisse au-dessus.
C’est contre-intuitif je sais mais j’y peux rien.