Je comprends qu’il s’agit de calepinage.
En général, si on ne veut pas/peut pas couper de lames, on s’arrange pour mettre les lames entières à l’extrémité la plus visible par les visiteurs, afin de planquer loin des yeux la dernière lame. Qui, elle, sera nécessairement mise à la bonne dimension.
Cette méthode peut rester esthétique si la coupe finale ne laisse pas un moignon tout fin.
Sinon, pour être propre, on prend sa calculette et on divise la (largeur façade à couvrir - largeur lame) par (largeur lame + espace).
Par dichotomie, on ajuste la valeur de l’espace pour tomber sur un nombre entier.
Ensuite, on se fabrique des cales d’espacement de la valeur trouvée. Et comme dit Oak, on s’en sert pour poser.
Attention :
- à bien mesurer la largeur des lames à poser, il est courant qu’elles soient inégales. 0,5mm x 20 = ça finit par ne plus tomber juste.
Placer 4 dominos de 12 sur deux rangées parallèles, ça respecte la règle du 1/3.
L’important est de fraiser sans jeu, ce qui exige un traçage soigné et une maîtrise suffisante de l’outil (s’entraîner avant).
C’est cette absence de jeu qui va assurer la rigidité maximale de l’assemblage. Toute colle blanche à bois fera l’affaire, une colle lente est préférable pour débuter car … on travaille plus lentement quand on débute.
Enfin, pour la longueur de fraisage, le minimum c’est 3 fois l’épaisseur d’un domino. Donc 36 mm pour un 12. Le maximum utile c’est 5 fois donc 60 mm. Attention aux fraisages perpendiculaires qui ne doivent pas interférer entre eux.
Oui, le code NAF est en réalité le code APE, il est sur 4lettres-1chiffre et figurera dans le mémento fiscal. Source
On trouve d’autres codes (codes formation, activité, assureurs, etc.) dont la structure est proche mais qui sont bien distincts.
J’espère que tu y verras plus clair.
Oui, j’allais dire pareil, drôle d’emploi. Chaussettes obligatoires
Sur la question : tous les traitements pour escaliers foncent.
Donc, tant qu’à être peu orthodoxe, je passerais un fondur cellulosique pour bloquer les fibres qui ont tendance à pelucher. C’est incolore et mat. Sur du peuplier, ça a même tendance à le blanchir un peu.
Il n’y a pas de couteau diviseur sur une scie à onglets.
Une chute de bois peut cependant rester coincée et frotter contre la lame : démonter la lame et nettoyer.
Vérifier la lame : présence de toutes les dents, propreté des fentes anti-vibrations.
En profiter pour faire tourner sans lame pour confirmer que le sifflement venait de la lame.
Pareil.
Débuts dans un box de 18m2.
J’ai préféré deux machines : une vraie rabot/degau Hammer en 310 montée sur roulettes et une scie de chantier sous table Bosch avec son chariot pliable.
Et un bel établi de 2mx1m.
Beaucoup de déplacements et obligation de bien réfléchir aux phases mais ça passe.
L’enjeu est de pouvoir garder un espace au centre. Avec une combinée, c’est elle qui prendrait le centre.
En plus, celle que tu as vue n’a pas de chariot ras de lame ce qui fait tout l’intérêt d’une scie stationnaire.
Je préfère la Bosch pour l’avoir beaucoup utilisée avant d’avoir un grand atelier.
Le déplacement est facile avec son chariot à grandes roues. En plus, cela lui permet d’être pliée et rangée si la place vient à manquer.
Sur le fond, elle est stable et précise, même après moult déplacements dans les escaliers. Capacités de coupe toujours suffisantes à gauche comme à droite.
Ses seuls points faibles : un peu bruyante (important pour des chantiers en copropriété) et aspiration copeaux pas optimale y compris avec un aspirateur performant.
(Je peux prêter la mienne pour essai.)
Réflexion gratuite 1 : ce ne serait pas plus simple de sécuriser le local (fermeture, caméra, alarme) voire d’attacher les outils.
Mon Ancien faisait comme ça sur ses chantiers : gros coffre en bois cadenassé et attaché au sol.
Réflexion gratuite 2 : si tu as déjà une bonne scie portative sur rail, complète-la par des accessoires et conserve sa facilité de déplacement.
J’avais imaginé la même chose.
Se servir provisoirement du centre pour y planter son compas de défonceuse, laisser les tiges du compas reposer sur la circonférence de la table, usiner de l’extérieur vers l’intérieur, d’abord avec une fraise à chanfreiner pour réaliser la pente, puis fraise à surfacer.
Il est possible de faire plusieurs passes successives.
Deux difficultés : si les tiges de compas sont trop souples et s’affaissent, il faudra fixer une cale de compensation de hauteur sous la semelle. En fin d’usinage, il faudra faire sauter le centre et unifier la surface obtenue.
Les deux caractéristiques importantes sont capacité (en microfarads) et tension de claquage (en V).
La valeur de capacité peut être légèrement différente en + ou -
La valeur de tension doit toujours être supérieure ou égale à celle d’origine.
C’est 5 à 6 € neuf ou gratuit en récupération.
S’il n’y a pas de fil, on soude une rallonge sur les cosses. Rien de difficile.