J’aurais dit aussi à la scie. Pourquoi défoncer ?
L’assemblage du plan vasque de la photo est joliment fait mais ce n’est pas un bloc massif, ce sont des panneaux (8) assemblés en angles.
L’arrière et l’avant sont faciles à faire : assemblage à plat joint à 135°
Les côtés sont soignés pour conserver la conduite du veinage. Assemblage en onglet à 135°, découpe des bords avant et arrière à la scie à 45°. Collage des 4 parties.
Si ce n’est pas clair, je fais un dessin.
Choix 1 : tu économises sur le bois mais pas sur le vernis. Purger les zones malades identifiées par cette absorption de vernis :
Tu ne débites pas tes pièces, tu vernis pour révéler les zones très malades, tu purges.
Choix 2 : tu trouves du bois sain et tu économises non seulement sur le vernis mais sur refaire tes pièces quand elles auront cassé. Choix prudent.
Que oui.
Mon premier rabot : un bois donné par un voisin menuisier au gamin curieux que j’étais. J’ai mis quelques années pour comprendre et apprivoiser la bestiole. Ça se règle en tapotant de-ci de-là. Et ça coupe en lui murmurant des mots doux.
50 ans après, je l’ai et l’utilise toujours.
Et bien, en première approche, ce serait un cadre rectangulaire à poser dans une entrée par exemple, plus haut que large (au hasard si aucun défaut, 1200 x 740) feuilluré à l’arrière pour accueillir un miroir et son support en CP. Larges bords de 100 à 120 mm, large chanfrein sur l’intérieur. Assemblage par coupe d’onglets. Voire quelques moulures contemporaines car avec 50mm d’épaisseur, on peut se faire plaisir.
Pareil. Peu de place = éviter les combinées qui réclament d’être au centre de l’atelier.
Privilégier quelques outils individuels à placer contre les murs.
Et identifier les plus utiles pour ton activité.