Ce n’est pas le bois qui glisse, ce sont les mousses et lichens qui y poussent. Et leur implantation est favorisée pas les rainures présentes sur les lames posées.
Donc, afin de réduire ces mousses et de faciliter un nettoyage régulier ou de favoriser la fixation de structures anti-dérapantes, placer les lames avec la face lisse au-dessus.
C’est contre-intuitif je sais mais j’y peux rien.
As-tu réellement besoin que l’espace additionnel soit au même niveau que le plan fixe ?
Car en général, on place son clavier 5 cm plus bas que la hauteur standard afin de soulager ses épaules.
Le cas échéant, un simple tiroir à clavier suffirait. Quitte à changer la répartition des profondeurs : tu indiques 56 fixe + 14 mobile. Tu pourrais avoir 56 fixe + 50 mobile avec des glissières à sortie totale qui supportent 30 kg et sont verrouillables en position ouverte.
Pareil. Foussier a l’essentiel à son catalogue.
Je regarde aussi chez Hafele qui est distributeur mais aussi fabricant de quincailleries.
Non,
En général, je lui demande d’abord quel style il souhaite afin de réduire la palette de propositions.
Ensuite, je vérifie si la gamme est adaptée (différentes tailles selon la taille des façades) et fonctionnelle (on a besoin d’une bonne prise de main pour un réfrigérateur ou un gros tiroir bien lourd) et si elle est cohérente du style de sa cuisine.
Puis son budget est primordial. Une poignée en zamak ou en inox, ce n’est pas du tout le même tarif.
Je n’imprime rien, le temps c’est de l’argent. J’apporte mes catalogues et plaquettes commerciales et on feuillette ensemble.
Je fais un montage photo succinct seulement s’il a besoin de mieux voir le résultat.
Du vrai acétone (pas son remplaçant que l’on trouve de plus en plus) est un solvant qui n’agresse que les fibres synthétiques. Donc, coton, pure laine et lin ressortent indemnes.
Mais acétone sur colle vinylique ça marche pas terrible.