Non, le tube principal est en 250, il aspire rabo/dégau/ponceuse.
La scie est derrière un Y, qui réduit à 150 (puis à nouveau 120 et 80).
La question porte sur une « trappe avant ». Là, je sèche.
Moi, je me demande déjà s’il y a des guillotines, qui coupent le flux d’air des machines inutilisées quand la scie tourne.
Beaucoup plus sympa qu’une simple paire de coulissants en effet !
L’éclairage fait toute la différence.
N’était-il pas possible d’inverser gauche-droite, c.-à-d. placer la colonne à gauche, près de la porte d’entrée ? Ceci afin de réduire encore l’aspect massif et accessoirement de mettre la niche ailleurs que derrière l’arrêtoir de porte ? (Est-ce un arrêtoir car il n’est pas sur toutes les photos).
Voire, supprimer le bout de cloison de droite, pour faire la liaison avec le couloir ?
Pas besoin d’outillage électrique. La main te permettra d’appréhender les traçages et surtout de les respecter (laisser le trait, ça voudrait rien dire avec des gabarits).
Et puis commencer avec des queues droites c’est bien aussi.
C’est très gratifiant quand tu arrives à faire de beaux joints.
francoisB30 Tu as sans doute raison.
Il y a un questionnaire sur ce site permettant de savoir si on est concerné. Me concernant, leur réponse est oui
Toutefois, j’ai passé un peu de temps à essayer de retrouver le texte de loi dans ce sens, sans succès.
Je reste donc dubitatif.
Je vais soumettre cette question à la chambre des métiers.
Question posée à la CMA Bretagne, en attente d’un retour.
Toutefois, ma lecture des différents guides et tarifs sur le site ecomaison laisse de moins en moins de doutes. Nous serions concernés depuis 2013 !
Va falloir penser à s’adapter dès à présent.
A suivre.
Alors, retour d’infos de la CMA Bretagne :
Oui, nous sommes TOUS bien concernés par la loi AGEC, que l’on fabrique sans connaître le client final ou que l’on fabrique sur-mesure pour un client identifié, SANS minimum de chiffre d’affaires :
- contractualisation avec un éco-organisme à choisir ;
- facturation au client d’une éco-participation (barèmes selon les éco-organismes) ;
- reversement de celle-ci à cet éco-organisme (chargé de fournir un service de recyclage/réemploi en fin de vie des produits) ;
- démarche bien distincte de celle d’élimination des déchets créés lors de la production/installation.
- obligation d’information du client (catalogue, site web ou juste le devis et la facture).
Me reste à vérifier auprès de mon comptable la neutralité fiscale de ce dispositif car il ne faudrait pas que l’on paye un impôt sur les sommes collectées. Je vous dis ici si j’ai cette info.
Bon courage !
Comme dit auparavant, regarder et analyser ce qui existe autour de chez toi.
Sinon :
Chaque lame doit rester libre, sans collage entre elles. En général, l’assemblage du panneau est fait par rainure/languette, sans colle. Une réalisation sur bois sec verra peu de rétreint, mais ça bouge forcément. Dans certaines régions, j’ai vu l’insertion d’une tige filetée dans l’épaisseur des lames, pour serrer celles-ci.
La fixation des traverses sur le panneau se fait à chaque lame, par vis depuis l’intérieur, ou par boulon traversant s’il y a une penture métallique.
La protection du bois de bout en haut de volet est ici réalisée par l’arc de cercle qui va augmenter l’écoulement de l’eau et par l’encadrement du volet dans son cadre lorsqu’il est fermé. Tu peux ajouter une coupe en biais léger pour encore faciliter l’écoulement.
Ok, bien vu la traverse en queue d’aronde.
Tu as regardé aussi pour une éventuelle rainure/languette ?
En revanche, cette traverse est à l’extérieur et empêche l’eau de parfaitement s’écouler. Étrange, sauf si ces volets n’étaient jamais fermés…
Tu as aussi prévu de la mettre à l’extérieur ? Auquel cas, crée une pente légère pour l’eau.
JeanA bonne chance avec ce type d’enture.
C’est splendide.