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458 commentaires
Jean-Claude Di Fazio

Es-tu sûr d’avoir bien regardé ? Je connais bien d’autres scies avec couteau diviseur.
Adaptées à un usage sur rail, beaucoup de plongeantes ont un couteau (et sont d’ailleurs plus polyvalentes que les scies circulaires).

Jean-Claude Di Fazio
Je suis d'accord

Hammer A3_31 avec plaquettes en 220V. Aucun souci sur du chêne sur toute la largeur.

Jean-Claude Di Fazio

Doc de référence Ikea

Si j’en crois la doc ci-dessus, on peut mettre à profit cet accordéon pour faire sa découpe : on laisse plié, on coupe les 4 plis, on ouvre et on fixe un nouveau panneau de fond seulement sur le haut de l’armoire.

C’est simple, sans décollage/recollage mais il faut rajouter un peu de matière en plus de l’armoire elle-même.

Jean-Claude Di Fazio
Je suis d'accord

Contrebalancement inutile puisque le cadre assurera une bonne fixation plane du panneau plaqué.

Jean-Claude Di Fazio
Je suis d'accord

Je pencherais aussi pour cette hypothèse : soit ce n’est pas un condensateur de démarrage (as-tu une photo du bestiau ?) soit il ne déconnecte pas mais cela serait une pure coïncidence pour ces trois pannes car le relais est intégré au condensateur (c’est pour cela qu’il comporte 4 broches de sortie), donc il était chaque fois renouvelé.
L’autre hypothèse serait une série défaillante (envisageable si c’est toujours le même technicien qui vient réparer) ou un modèle inadapté (par exemple 250V au lieu de 400V).

La chaleur excessive, je n’y crois pas une seconde.

Jean-Claude Di Fazio

La référence que tu indiques ne comporte que deux fils donc il est probable que le relais de déconnection soit indépendant. Ce serait alors lui le fautif. Si j’ai le temps, je jetterai un œil sur mon AF14, au câblage probablement similaire.

Jean-Claude Di Fazio
( Modifié )

Avec 21°, une charnière standard ne marchera pas. Tu trouveras des charnières coudées chez Blum et ailleurs. Type de montage Blum pour le côté gauche de ton caisson
Tu vas devoir choisir le taux de recouvrement du chant que tu désires. En fonction de cela, tu sauras si tu peux te contenter de chants standards ou si tu devras les biseauter ou juste arrondir l’arête interne de la porte.

Je maintiens l’intérêt de passer par une maquette pour déterminer et valider les cotes (distance d’encastrement du boîtier de charnière sur la porte et position de l’embase sur le caisson). Et en effet, vérifier l’obligation d’employer du MDF.

Vu la difficulté relative, je te propose de réfléchir à modifier la structure des portes obliques en gardant un caisson standard et en créant une porte triangulaire.

Jean-Claude Di Fazio
Je suis d'accord

Les deux solutions devraient fonctionner.

Jean-Claude Di Fazio

C’est quand même une belle erreur d’utiliser une si bonne huile d’olive alimentaire, vierge extra, pour autre chose que son goût délicieux.
Quel gaspillage !

C’est un gourmet qui vous le dit.

Jean-Claude Di Fazio

C’est trop chou ces carottes sautées.
Le père Noël a dû être heureux d’avoir une telle aide !

Jean-Claude Di Fazio

Un fusible retardé est adapté en électronique (fusible en verre). Pour un tableau électrique, ce serait un disjoncteur courbe D comme le propose à raison Atelier Eustache

Jean-Claude Di Fazio
( Modifié )
Je ne suis pas d'accord

Pas d’accord avec l’emploi d’un fusible retardé dans un porte fusible de tableau électrique. Comme l’a proposé Atelier Eustache, ce serait un disjoncteur courbe D qui devrait remplacer le porte fusible.

Jean-Claude Di Fazio

Erreur rectifiée. Merci pour ta perspicacité.

Jean-Claude Di Fazio
( Modifié )

Si le fusible qui est en aval du disjoncteur crame, c’est que celui-ci n’est pas en cause.
Le changer me paraît donc inutile à ce stade des recherches de panne.

Jean-Claude Di Fazio
( Modifié )
Je suis d'accord

Ma précédente réaction était erronée. En effet, j’ai lu la légende de la photo 1 qui indique un disjoncteur en tête de rangée. D’où ma conclusion que le fusible n’était pas concerné puisqu’en aval.
En fait, la légende est fausse : la tête de rangée est un interrupteur différentiel qui ne réagit pas aux surcharges des circuits individuels.
La proposition d’Atelier Eustache de changer le porte fusible par un disjoncteur courbe D est donc pertinente.

Jean-Claude Di Fazio
Je suis d'accord

Il faut aussi lever le doute concernant d’autres appareils branchés sur ce circuit.
Attention à bien identifier toutes les prises desservies par ce fusible.

Jean-Claude Di Fazio
( Modifié )
Je ne suis pas d'accord

Comme le détaille Kentaro, l’exemple que tu montres n’est pas du tout représentatif de ton schéma initial.
De plus, l’assembleur n’est pas détaillé. C’est probablement une seule vis de forte section, aidée par la section ronde des pieds : ceux-ci peuvent être tournés en vissant, sans se soucier de l’angle final en fin de serrage. Ceci est impossible avec le pied carré de ton schéma puisqu’il devra s’aligner avec les bords du plateau en fin de vissage.

Pourtant, comme je te l’ai dit et proposé, des solutions existent, sans métal, à condition, comme dans cette illustration, d’augmenter l’épaisseur du plateau au niveau des pieds.

Jean-Claude Di Fazio
( Modifié )

Je rejoins Etienne sur cette question. À mon avis, un plateau de cette longueur (1600) n’a pas besoin de supports inférieurs. J’ai un bureau de cette longueur réalisé en hêtre lamellé collé de 28 d’épaisseur qui repose sur des pieds métalliques aux quatre extrémités. Donc, comme tu prévois 35, je ne vois pas de souci. Un renfort inférieur métallique encastré, pourquoi pas, mais je ne le juge pas indispensable. À ce propos, peux-tu confirmer la largeur de la table ? C’est une table basse de 450 de hauteur ou bien une table à manger de 450 de largeur ??

En revanche, c’est la fixation des pieds qui pose le vrai problème. En effet, le pied ne pourra être aidé par le cadre pour obtenir une résistance suffisante aux flexions longitudinale et latérale. D’autant que la jonction pied-table en bois de bout limite la résistance de l’assemblage. Ta proposition de tenon compense en partie ce point faible mais seulement sur un axe. Un double tenon serait bien meilleur (schéma).

Les pieds métalliques compensent cela par une fixation horizontale (vis ou serrage) par le biais d’une platine intermédiaire. On pourrait s’en inspirer pour fixer un pied carré en bois, soit par une platine mécano soudée, soit plus simplement par deux grosses équerres d’au moins 4mm d’épaisseur. Le principe est le même : les pièces métalliques sont d’abord vissées sous le plateau, le pied est ensuite fixé latéralement sur deux côtés. Un usinage du bois pour encastrer les pièces métalliques les rendra plus discrètes.

Si tu insistes pour éviter le métal, il faut augmenter la résistance des tenons en augmentant leur longueur et donc en épaississant localement le plateau de table pour y faire des mortaises plus profondes. Par exemple en collant dessous un carré de 100x100.

Jean-Claude Di Fazio
Je suis d'accord

👌