Magnifique sylvainlefrancomtois !
Pour autant, comme je l'écrivais en plaisantant sur Violet-le-Duc, je suis pas un inconditionnel de l'ancien.
Préserver les vieilles choses, c'est bien (même indispensable), en faire des copie « authentiques » c'est bien aussi (tant qu'on ne sombre pas dans le pastiche vulgaire)...
Je aussi trouve qu'il y a des choses contemporaines très réussies, et qu'on doit pouvoir avec un peu de talent s'inspirer de tout ça pour faire de belles choses.
En tout cas, c'est ce que je vais essayer de faire sur ma façade, seul ou avec l'aide de professionnels.
Merci trente six seb !
Finalement, vos réponses me confirment ce que j'avais constaté par moi-même, à savoir que le web ne regorge pas d'informations immédiatement disponibles à ce sujet.
Du coup, ça m'amène à proposer à « la communauté de l'Air du Bois » de développer des ressources à ce sujet. Évidemment c'est facile à dire pour quelqu'un qui débarque et qui n'a jamais apporté la moindre contribution. Disons que ce n'est qu'une modeste suggestion qui me vient après avoir découvert, par exemple, de véritables « traités en ligne » sur la charpente et les escaliers (par sylvainlefrancomtois) ou sur les mains courantes débillardées (par kaj).
Je crois comprendre que les Collections du sites sont un peu faites pour ça (il est quand même bien fait ce site… ), donc je me lance : Devantures de boutique en applique. Peut-être qu'un jour, quelqu'un qui a le temps se lancera dans un traité de devantures de boutique qui rejoindra avantageusement cette collection ! 
Si plus d'informations étaient librement et facilement disponibles sur le sujet, peut-être verrait-on moins de trucs immondes dans nos rues.
Merci Gcloarec !
Merci MonsieurBella !
En fait, le client, ici c'est moi 
Comme la devanture actuelle est en feuillure, j'aurai tout le temps que je veux pour constituer la nouvelle (en applique) avant de virer l'actuelle.
Merci dneis ! Je découvre le site et je pensais que le champ recherche qui est en haut cherchait sur tout le site, mais je comprends maintenant que non.
Il n'y a qu'un f à « Professional »
OK, c'était également ma première idée.
J'ai fait un crobar de ce à quoi ça pourrait ressembler.
Mais, là où j'hésite encore, c'est sur la largeur L, et donc la nécessité d'aller reconstituer la surface cylindrique de rayon r... qui n'est pas du tout un cylindre régulier ! donc nécessité s'adapter à la forme de l'arbalétrier... Bref, des heures de travail pour que ça s'assemble bien.
Du coup, je me dis que si je limite L, la nécessité de reconstituer le rayon r diminue d'autant... ce qui m'amène à mon autre question : quel "matériau de base" utiliser ?
Si je pars d'un bastaing ou d'un madrier "du commerce", la largeur L sera fixée par celui-ci et, plutôt que de me faire suer à l'arrondir sur la partir inférieure, j'aurai plutôt intérêt à aplanir grossièrement au ciseau la surface de l'arbalétrier qui le supporte (mais je ne veux pas l'affaiblir !).
Et mon dernier besoin de tuyau c'est que, comme il y aura forcément du jeu par-ci par-là (aussi bien entre l'échantignole et les pannes qu'entre l'échantignole et l'arbalétrier), puis-je me dire que ça se déformera bien sous la charge avec le temps jusqu'à ce que le contact se répartisse complètement sur les surface, ou vaut-il mieux insérer une bande résiliente ? (J'ai pas l'impression que ça se fasse beaucoup en charpente de mettre du caoutchouc entre les pièces 
)
Quoi qu'il en soit, est-il nécessaire de compenser d'avance par une petite sur-hauteur l'affaissement qui en résultera ? Ou alors je suis en train de penser comme un ajusteur qui raisonne au 1/10 mm, là où vous-autres charpentiers avez des tolérances bien plus fortes
etiennedesthuilliers Désolé si ma question paraît bête mais, pour moi, la "résine polyester de scellement chimique", c'est ce qu'on utilise pour des fixations dans les situation désespérées (i.e. parois de briques creuses ou très pulvérulentes) mais en fait, il s'agit plutôt d'un mortier polyester, dont le liant est certes très chargé en résine, mais qui contient également du sable pour faire masse. Et puis au niveau couleur, c'est plutôt gris ou ton pierre. Du coup, je trouve bizarre d'aller mettre un matériau minéral entre deux pièces de bois...
Ce sont bien de ces produits-là que vous parlez ? Ou alors il existe des version spécifiques pour le bois ? En cherchant vite fait, je tombe sur ce genre de produits, qui me semblent plus adaptés, non ?
Merci du tuyau Dorenov ! Je prends.
Deux précisions (désolé, je ne suis pas trop du métier, moi). Quand tu dis « passer à la plane le dessus de l'arba », tu veux dire aplanir, créer une surface plane (un méplat en sorte...) ?
Un peu plus loin, tu parles de retirer 20-30 mm « sur "le rond" de la panne ». C'est un lapsus (tu voulais parler de l'arbalétrier), ou tu proposes d'aplanir également les pannes ?
Oui, ok ! Désolé, je n'ai pas encore bien saisi les subtilités du site.
Bonjour
Concernant la pédale, il est utile de savoir que les pédales de pianos numériques standard sont un simple contact qui se ferme (ou s'ouvre, les deux configurations sont possibles¹) quand on appuie dessus.
Le connecteur est un jack 6,35 mono (i.e. à 2 bornes) reliées aux deux bornes du contact.
Du coup, il n'est pas nécessaire de réutiliser la pédale fournie avec le piano : n'importe quel bouton-poussoir peut faire l'affaire, ce qui peut simplifie les choses.
¹ Dans le cas du Yamaha P45 utilisé ici, il détecte automatiquement qu'il a à faire à un contact normalement ouvert ou un contact normalement fermé lorsqu'on l'allume, pédale raccordée. Mais la pédale fournie est un contact normalement ouvert.