Je crois voir que tu as un écart entre ta lisse haute et tes fermettes. Tu ne peux pas mettre une « sur »lisse plus large qui vient déborder vers l’intérieur pour augmenter l’appui et rattraper l’ecart?
Bien boulonnée, ça ne devrait pas poser de soucis de reprendre les 200kg.
Sinon, en profiter pour élargir les debords de toiture serait bien, si tu as des tuiles…!
Eh bien… je passerais un coup dans la raboteuse pour avoir les faces propres, puis un montage pour raboter la face visible avec deux pentes très légères (pour imiter les lames usinées avec un bombé et faciliter l’ecoulement) et deux petits quart de ronds sur les arêtes visibles. Et c’est déjà looooooonnnng à faire.
Bonjour,
Vu tes applications, je suis surpris que tu n'ais pas lu 100 fois dans les réponses que tu as consultées qu'un vitrificateur est préférable dans les deux cas, qu'irrémédiablement le bois va jaunir -et qu'est ce que c'est que cette lubie de vouloir conserver l'aspect du neuf-...
Bref, si tu souhaites néanmoins utiliser ce produit pour ces applications, le mieux est d'envoyer directement un MP à lairdubois.fr/...nyrubiomonocoat
Bonjour,
Comme le souligne Erebor , des poutres au m², c'est étrange.
Pour ce qui est du bois vert, il va se rétracter en séchant. C'est à voir si c'est compatible avec le bardage que tu veux faire (à claire-voies avec un rendu rustique, ça peut se faire à mon sens).
L'autre point à prendre en compte, ce sont les tanins. J'ai déjà lu le conseil de laisser son bois (une fois coupé) exposé aux éléments pour le laver de ses tanins (NB:ça tache le sol alentour, il ne faut pas le faire sur la terrasse). Si le bardage n'est pas côté pluie (auquel cas, d'une pierre deux coups) c'est à réfléchir, pour éviter que le phénomène ne nécessite trop de temps une fois le bardage en place.
Enfin, le bois va griser. A choisir, je m'orienterais vers un saturateur plutôt qu'une lasure, mais je n'ai pas grand chose pour étayer ce choix mais le plus simple, c'est d'accepter le grisonnement. Et le chêne, ce doit quand même être assez durable en bardage.
Bonjour,
Il n’est absolument pas normal qu’une coupe à 45° prenne feu.
Le bois est constitué de 80% de composants volatiles. Le vrai feu commence donc avec la combustion des gaz produits, à environ 225°C (température d'inflammation) et la libération simultanée de chaleur. Pour cela, une quantité suffisante d'oxygène est nécessaire.
Veuillez s’il vous plaît vérifier l’absence de substances très inflammables dans le champ opératoire avant de réitérer l’expérience.
Edit : l’algorithme de première lecture ayant négligé ce détail, la boucle de rétroaction souligne un fait important : vous indiquez utiliser un outil flambant neuf, qui comme son nom l’indique est également susceptible d'être source d’ignition dans le cas de la coupe de matériaux combustibles.
Merci de remplacer cet équipement défectueux par un matériel conforme aux indications du fabricant.
Pour votre information, conformément à notre politique de transparence, cet échange est tenu à disposition des compagnies d’assurance pour une durée de 180 mois.
Bonjour.
Il faut partir du besoin (vêtements?, quel type et quelle quantité ?) pour répondre. Quel besoin en penderie, en tiroirs, en étagères…
Une fois ceci déterminé, un tour sur un configurateur suédois et il ne devrait pas rester trop de place au doute.
La place disponible ne laisse pas une grande liberté pour jouer avec les proportions mais si le besoin est contenu, incorporer des niches décoratives peut apporter un plus
Les mortaiseuses à bedaine carrée c’est vraiment les plus fortes !!
Sinon il faut orienter la lumière de sorte qu’à part le premier perçage, les copeaux puissent s'évacuer dans la partie de mortaise déjà creusée.
En dehors de ça, vérifier la rigidité de la machine et le parallélisme entre l’axe de la bedaine ()et le plan d’appui de la pièce.