Bonsoir.
Je n’irais pas chercher l’explication ailleurs que dans les pays d’où ces toitures ont émergé. Ce genre d’abris a fleuri dans de nombreux pays d’Europe avant de débarquer en France (comme souvent, on se croit malheureusement trop à la pointe). Et, en dehors de notre petit nombril, nos voisins sont bien plus souples pour adapter leurs termes au plus grand nombre... et faire commerce avec bien plus de souplesse et de succès que nous également.
Rien d’etonnant donc qu’un terme compréhensible de tous ait émergé. Dans une langue plutôt répandue en Europe, inutile de traverser l’Atlantique ou de pointer du doigt Utube.
En France, les charreteries ont de longue date laissé la place à des garages au point d’en oublier le terme: ça faisait tellement plus chic pour y garer l’auto.
Bonjour,
Une remarque et une réponse:
Si ton atelier est petit, garder l'aspi mobile n'est peut-être pas la meilleure solution: toujours un peu d'encombrement qui empêche au tank de faire son créneau…
En tous cas c'est ce que je constate chez moi, d'autant que mes machines sont mobiles (sauf la table de scie).
L'aspi est donc dans un coin, bientôt même dans un placard.
En sort un tube PVC du plus grand diamètre trouvé, qui longe tout un coté du local. Avec deux raccordements possibles, pour s'y brancher avec le tube flexible en deux endroits.
Il faut vraiment garder le diamètre max sur la plus grande longueur possible, et juste finir avec un diamètre adapté.
Et de la même façon, préférer le tube rigide au flexible (au niveau de la machine, tu peux faire un petit réseau qui collecte aux différents points et un gros raccord sur lequel tu rapportes ton aspiration quand tu utilises la machine).
Et tout le matériel c'est du PVC pour écoulement d'eaux usées de GSB, parfois formé au décapeur thermique ou joints avec des "raccords" PET sur le ppe suivant:
As-tu recherché les questions déjà posées sur le sujet.
Il y a déjà quelques pistes :
lairdubois.fr/...?q=Aérogommage
Je partirais d’un ovale découpé à la Sar ou scie à chantourner, terminé au rouleau ponceur. mais d’une hauteur bien supérieure, pour garder de la tenue pour les efforts de coupe.
Ensuite combiner des fraises à roulement ou avec la bague à copier pour reconstituer le profil.
La pièce plus haute permet de se servir du roulement, de positionner des guides pour rester plan,...
A la fin, on coupe le profil à la hauteur voulue, à la sar.
En théorie quoi... 
Bonjour,
Avec de l'osb, j'opterais pour une fixation par équerres et crémaillères, en 3 blocs (2 latéraux, 1 au fond).
Le nez peut être renforcé par un tasseau pour rigidifier le panneau.
Les étagères restent indépendantes.
Les copains ont raison, la largeur de ta mortaise est celle de l’outil que tu utilises, on ne repasse pas en largeur.
En plus de +1 leur réponse, une alternative avec un ciseau plutôt qu’un bédane :
Lien vers un ricain du Tioube...
Ma petite contribution : l’atelier est à la cave (de plain pied côté jardin) et entre ce côté de la maison et mes voisins une allée nous sépare. Le voisin, qui jardine beaucoup et passe du temps dehors s’étonne a chaque sac de copeaux que je lui donne pour pailler, car il n’a jamais rien entendu (aspi, rabot, scie,def, toupie, c’est souvent que je mets le casque!!).
Ma cave est en parpaings, isolée avec 40mm de ps et placo. Avec des murs en pierre, je ne pense pas qu’il soit conseillé de plaquer contre, pour le laisser respirer. Fais un essai comme ça. Si ça résonne trop j’essaierais de mettre des panneaux acoustiques (Laine de roche en sandwich) aux ouvertures, quelques uns au plafond...
20m c’est pas mal. C’est en champs libre ou il y’a de la végétation haute?
Garder le coeur, c'est une fente assurée.
Je ne suis pas sûr que ça se prête à être collé entre deux autres planches. Il vaudrait mieux purger les coeurs, renconstituer une âme centrale en recollant les tasseaux ainsi récupérés puis faire ton sandwich ( tu fais un sandwich dans le sandwich).
Pour ce qui est ventre à l'air, je me méfie toujours si on parle de la forme que prend la section (ok) ou le dessin fait par les cernes d'accroissement (pas ok, puisqu'il faut mettre le côté coeur dehors). Comme dit Mike, 25.2 illustre bien ce principe.
Hehe, voilà une nouvelle partie de l’atelier dévoilée...
Pour ton problème, deux pistes : bien se marquer les bagues utilisées en fonction de l’outil utilisé pour la mortaise (bédane, fraise,...) pour éviter de répéter les tâtonnements à chaque fois,
Avoir un crochet (de boucher ;))ou support ou des charnières (comme un capot de bagnole)pour faciliter la dépose repose du capot?
