Fabien R 

Je dirais des vis en fer doux dans le fond des mortaises de la traverse avant de coller les pieds.
J’ai démonté une table monastère dont le plateau était assemblé ainsi, les vis étaient en S avec les mouvements du bois.

C’est un peu loin, mais les magasins bauhaus en vendent. Intéressant si tu connais quelqu’un qui va en Allemagne régulièrement.

J’irais poser la question à un restaurateur de meubles local.

Pas sûr de bien voir. Les marches et nez de marche du haut on l’air de finir dans le même plan, restent celles du bas…
Il y a l’air d’avoir assez de bois pour gérer l’intersection des nez de marches avec un potelet pour la naissance de l’escalier, puis habiller le côté de l’escalier (couper l’osb au ras des marches) en faisant une sorte de faux limon (avec un stylobate).
Un petit croquis pour illustrer.

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Un exotique avec de l’aubier et qui fini marron… il aurait fallu gratter pour voir si dessous c’était rouge, mais au resto c’est délicat.
En tous cas, je pense au padouk

C’est comme chez kity j’imagine:
leboncoin.fr/a...lage/2699467875

Et les scies sous table semi stationnaires? Dewalt, évolution, bosch,…??! Tu ne prends pas l’option ?

Il faut toujours se méfier de l’hyper statisme, si un point suffit, autant éviter d’en rajouter. Le sens de déplacement par rapport au sens de rotation est bien plus important, que l’effort de coupe plaque contre le guide plutôt que d’emmener la machine dans des excursions hasardeuses. Dans l’absolu plutôt l’arrondi.

Il n’en avait peut être pas…
Comme c’est écrit, si une pièce fait un peu la banane, elle se redresse au collage. Plus facile avec 30 que 50.
Enfin, démultiplier le nombre de pièces favorise la stabilité, et permet d’utiliser des bois pas nécessairement pris dans le quartier. Cf le lamellé collé.

Iel est dangereux.se avec ses bandes segmentées!

Si tu veux les refaire en laiton, il faut chercher comment cintrer de la cornière laiton.
Je partirais sur un gabarit à la courbure du couvercle pour les former en martelant de la cornière (apparemment ça se recuit aussi pour ramollir) avant de les clouer sur l’objet.

J’ai la même opinion que les copains. Te reste-t-il des lames non posées ? Il y a peut-être une pellicule x y sur les lames qui s’estompe avec l’utilisation et masque ces marques tant qu’elle est présente ?

Elle est mal orientée ? À tourner de 90 degrés?

Tu n'as pas de branches auxquelles suspendre les assises?

J'éviterais tout matériau combustible en fait.

Il lui manque le couteau diviseur, ça c’est de l’ordre de la sécurité. Et difficile de juger de la solidité de son attache sous ce plateau Peugeot.
Pour ce qui est des fonctionnalités, elle n’est pas inclinable.
Concernant le bouton scotché, c’est ce qui arrive à toutes les machines montées avec +/- de bonheur la tête en bas.
En soi, c’est pas super rassurant.
Par contre la série bleue de l’époque chez Ryobi, c’est de la bonne camelote, je la récupérerais pour lui rendre sa liberté et m’en servir pour ce qu’elle est.
Si tu as peu de place, tu peux plutôt te faire un rail de guidage et utiliser des coins pour garder ton trait de coupe écarté si tu veux couper du massif.

Y’a pas d’mauvais outil y’a que…
Ta question est beaucoup trop vague, un combiné et l’electroportatif, c’est pas pour les mêmes projets et un combiné n’augmente pas la qualité de ce qui se fait bien à l’electroportatif.
Mettre des fraises sur la toupie… oublie. C’est pas le même outil.
Faire de petites pièces avec une scie à format… vaut mieux une scie sous table et un traîneau.
Donc stop à la course à l’armement, équipe toi suivant tes projets, pas l’inverse.
Les vieilles combinées fonte sont robustes, mais la précision vient de la méthode de l’operateur avant tout. Le neuf, y’a de beaux verniers etc… parfois du digital même… mais le mode opératoire reste la base, et même avec du matériel plus humble, on arrive à sortir du propre.