Bonsoir,
Les lamelles gonflent avec la colle. Un peu de jeu permet, surtout dans les cas où il y a plusieurs lamelles, d’encaisser les petites inexactitudes de positionnement et ça s’ajuste à l’assemblage.
Lors du montage, il faut le faire sur une table. Les lamelles ont beaucoup moins la capacité de tenir l’assemblage à blanc que des tourillons ou dominos.
Bonjour.
Certaines questions sur l’adb indiquent que laissés exposés à la pluie les bois tanniques se lavent de leurs tanins et qu’ils peuvent ensuite être utilisés sans générer de nouvelles coulures noires. Ceci si tu veux partir sur du châtaignier. J’imagine qu’ainsi il doit déjà prendre une belle patine.
Si tu souhaites couvrir ta véranda, la toiture peut protéger la charpente, de beaux debords peuvent être prévus, et le bois pourra vieillir tranquillement dessous sans traitement. J’ai sur ma terrasse une charpente en Douglas qui a 4 ans et n’a quasi pas grisé pour l’heure, sans le moindre traitement. Mais de généreux debords(1m côté pluie, 50cm sinon)
Les bâtiments traditionnels étaient généralement conçu en ce sens.
Le châtaignier est peut être plus durable, ou en tous cas plus authentique.
Dans les 2 cas, une construction conçue pour protéger les bois des intempéries ou au moins éviter les eaux stagnantes et les pièges à eau, et pas spécialement de finition
Salut Eric.
Le variateur de fréquence recompose 3 phases avec leur déphasage en utilisant de l’électronique de puissance .
La puissance étant équitablement répartie sur ces 3 phases, tu n’as pas de perte comme un moteur tri qui serait alimenté en mono avec un condensateur qui génère une pseudo 2nde phase
Pour le moteur tri, c’est transparent (à condition qu’il admette du 230v triangle, le variateur n’élève pas la tension)
À la question de pourquoi les constructeurs ne font pas leurs machines mono en modifiant des tri avec un vfd je vois l’argument du prix et de la fiabilité
Pas sûr de bien voir. Les marches et nez de marche du haut on l’air de finir dans le même plan, restent celles du bas…
Il y a l’air d’avoir assez de bois pour gérer l’intersection des nez de marches avec un potelet pour la naissance de l’escalier, puis habiller le côté de l’escalier (couper l’osb au ras des marches) en faisant une sorte de faux limon (avec un stylobate).
Un petit croquis pour illustrer.