Je plussoie ce que dit kentaro et je pense que dans des ouvrages comme ça il faut soit prévoir les mouvements du bois dans la réalisation soit (et surtout) choisir l'essence qui conviendra. Le douglas a une grosse variation, plutôt allez vers le chêne ou le châtaignier (vérifié sur les fiche CIRAD je crois qu'il doit y avoir des indications (à vérifier !!!)).
Salut,
Le mien il vit avec moi.
Je vieillis prends des coups parfois et lui aussi et je nous trouve de mieux en mieux , avec plus d'expérience et de vécu !
Ça n'empêche pas de le préserver des plus gros choc.
Quand je scie dessus j'ai des "crochets" de sciage et quand j'envoie du gros (hache, paroir...) une protection sous la forme d'une planche que je loge dans un trou de l'établi.
Sinon ben , ça reste un outil qui prend des coups et des accidents mais un outil ça se respecte donc faut juste faire un peu attention.
Et je mets de la crème sur le visage et fais du sport !
Bonsoir,
Je pense que la réponse va avec qu'est-ce qu'on veut faire de cette société, quels impacts on s'autorise.
Je ne suis pas contre les machines (non non !) mais là on est arrivé à un point où on ne sait plus rien faire sans!!!
Avec un délabrement du monde et y compris de notre forme physique.
La réponse va avec "quand je bosse de telle manière, est ce que je me sens bien?".
Si la réponse est non alors il faut y remédier.
Bonjour,
La question est combien as tu besoin de gagner, comment vis tu, comment tu vois ton métier, comment tu vois tes clients...
Il faut gagner ce dont on a besoin.
L'argent n'est pas la reconnaissance du travail, c'est un besoin.
Donc ce sont tes besoins qui fixeront ton prix et ta façon de travailler.
Bonjour,
Il faudrait voir le bois pour vraiment répondre.
Si c'est un peu d'aubier comme tu dis, et qu'il y a assez de matière pour la résistance mécanique ça ne posera pas vraiment de problème.
Il y a de plus en plus d'aubier dans le douglas vendu à l'heure actuel et maintenant du douglas traité classe 3.
Quand j'ai demandé à une scierie du coin pourquoi ils vendaient du douglas traité, ils m'ont répondu que les fournisseurs n'avaient plus le temps et la matière pour purger l'aubier donc ils le laissent et traitent !!!!
Ça commence à valoir le coup d'aller chercher d'autres essences de bois.
A toi de voir les endroits qui en contiennent et de répartir tes bois selon. Si tu peux l'enlever ça peut être une solution mais encore une fois ça dépend de la quantité et de l'endroit.
Après dans ton mode de construction il faudra surtout que tu évites les pièges à eau, car aubier ou pas s'il y a piège à eau ça pourrira. (Penser comme une goutte d'eau !).
L'huile de lin ne fera rien de plus.
Salut,
Pour ce genre de question tu peux peut-être te rapprocher de ce centre de formation qui est spécialisé la dedans
aezeo.com/
Bonjour et bienvenue !
Je rejoins les réponses déjà dites et comme dit Kentaro il faudrait que tu puisses en discuter et essayer en réel car les tutos et vidéos sont bien moins parlant que le réel.
Tu pourrais préciser ton lieu et voir sur la carte des boiseux si il y en a pas trop loin et en discuter en direct.
Je viens de découvrir 2 livres qui sont fantastiques (à mettre dans la bibliothèque !) de Louis Chiorino qui me paraissent être des indispensables dans une bibliothèque de boiseux.
Le manque de confiance en soi c'est le regard des autres qui nous l'apporte, dis toi que ceux qui critiquent sont souvent ceux qui ne font pas ! Il y a pas d'erreur mais de l'apprentissage.
Plus toute jeune ????? La quarantaine bien tassée ???? Mais c'est la fleur de l'âge !!!!
Voilà de quoi étoffer les connaissances sur ces 3 arbres , tiré de ce livre.
Le charme :
L'orme :
Le noisetier :
Salut ,
La meilleure chose à faire à mon humble avis c'est de faire quelque chose dont tu as besoin et de te challenger dessus.
Je viens de voir que tu parlais d'un lit , ben voilà !
Le top c'est vraiment de faire du concret et pas juste un exercice ou une babiole (sauf si tu as envie de la babiole en question).
Se challenger ça peut aussi être de faire une commande et d'y rajouter une technicité en plus (et c'est le petit truc en plus pour le "client").
C'est loin d'être indispensable une scie sous table. On peut faire au outils à main. Les machines c'est une aide par un artisan !
Salut,
Je suis également un (heu) reux con verti (doublement même, voire plus puisque de mon premier métier dans la marine je n'ai fais que changer d'affection et de fonction et aussi de métier en interne).
Puis technicien (ça pète ce terme, bon moins qu'ingénieur) cordiste, puis monteur en construction bois (salarié à tout et rien faire dans les maisons ossature bois) et à mon compte depuis 7 ans comme "artisan du bois" puisque je prends tout ce qui m'intéresse et que je me sens capable de faire bien (et d'assumer mes bourdes).
Niveau salaire ... ben c'est pas besef , je préfère pas calculer, mais je vis bien (comme dirait Sam Suffi !).
En me mettant à mon compte , le but était de me libérer des ordres et de travailler selon des valeurs qui me tiennent à coeur , de ne plus subir de clients roi, voire aussi d'amener quelques réflexions chez les gens ouverts (oui je suis nanar écolo et j'assume).
Ma femme gagnait bien et moi j'ai une pension de l'armée (650 euros).
Problème, je me suis retrouvé complètement coincé entre ma façon de voir la vie et mon couple. Ma femme se servait un peu de mon boulot comme excuse pour bosser encore plus (alors qu'il n'y avait pas besoin du moins selon moi!).
Et je me suis retrouvé à vivre une vie contraire à tout ce que je pronais. J'ai mis fin à mon couple alors qu'on allait s'engager dans une grosse rénovation qui nous aurait détruit.
Donc oui se lancer dans une reconversion c'est des changements, et quand on fait des changements, ça change TOUT.
Il n'existe pas de calcul sur l'avenir.
Le point important c'est de s'accomplir, les risques sont là mais ne pas les prendre ne les retire pas.
Ça c'est plus dur à faire entendre.
Il faut vraiment être conscient que c'est généralement un revirement total.
Attention c'est pas négatif forcément.
A refaire, je refais pareil, parce que maintenant je suis en phase avec moi même et ça n'a pas de prix.
Par contre pour ça il faut surtout éviter de s'enfermer dans des obligations comme les crédits et toutes charges fixes que l'on peut éviter. Les deux dernières années ont bien démontré que les calculs de rentabilité ne sont pas efficaces devant des pandémies ou des confinement.
Ne pas mettre tous les oeufs dans le même panier (être capable de faire des choses variés ou être capable de se former). Être clair dans ses relations clients (quand on ne sait pas on ne sait pas mais on va se renseigner).
Pouvoir adapter son quotidien.
Voilà pour mon expérience perso.
"Saute et laisse toi pousser les ailes pendant la chute" (je sais plus qui ! ).
(Édit : Ray Bradbury !)