
Oui tu as raison. Je n'avais pas bien vu.
Quand je consulte lairdubois.fr sur mon smartphone et comme on ne peux pas zoomer je n'ai pas bien vu.
Dommage que ce be soit pas possible de zoomer les images. Il faudra en toucher deux mots à Boris Beaulant.

Je ne travaille que du bois sec. Donc pour le bois vert ou humide je ne sais pas.
Je pense que toutes les essences sont sensibles tout comme les cheveux. Mais certaines plus facilement que d'autres.
Le hêtre est particulièrement sensible et c'est pour cela qu'il est utilisé pour les fabrications de chaises en bois tordu à la vapeur.

Vic66 avec le fer tu peux régler pour que ça ne brûle pas et le laisser dessus. Au décapeur faut rester actif!

Très intéressant. Très instructif!
Pour l'avoir déjà fait, tu as du en faire de la poussière !
En inversant deux étapes, tu aurais pu en supprimer une.
En effet, si on commence par le creux, on n'a plus besoin de faire la feuillure de départ. Juste ajouter une flasque de 40 de diamètre, sur celles que l'on visse au bout de chaque pièce, pour rentrer le tout.

Les meubles en poirier n'existe pas. Car il est trop petit. LE tronc doit faire un mètre maxi. Le poirier et le fruitier que l'homme exploite pour les fruits. Le poirier sauvage, celui qui pousse dans la forêt est appelé alisier. C'est celui là qu'on utilise. Il est un peu plus clair.
Pareil pour le merisier et cerisier.
Cormier et pommier.
Les fruitiers ne sont utilisé que pour les ouvrages petits: chaises, outils...

Très beau travail et très pédagogique.
Autant pour le montage vidéo que pour les réalisations.
Mention "Dommage" pour les sécurités machines. Certainement qu'elles sont absentes ou éloignées pour une meilleur prise de vue. C'est dommage car nos amateurs avertis, étudiants et apprentis vont regarder ce travail avec régal et vont garder en mémoire que les meilleurs n'utilise pas forcément les protections. C'est un mauvais message.

Quelque soit la technique, il y a toujours des copeaux qui se logent derrière la pièce. Dans tous les cas il faut souffler.

Hélas ! en entreprise on utilise pas passez les butées pour le toupillage arrêté.
Il y a trois semaines, un jeune qui est sur le tour de France depuis quelques annees, s'est blessé à la toupie. Et il m'a dis que s'il avait su, il aurait pris plus de précautions.
Donc toupillage arrête + butée d'entrée = doigts sécurisés.
D'autant que le réglage est super rapide , non?

Bonbonveronbi merci beaucoup pour vos encouragements.
Pour ce qui est de ma pédagogie sur le toupillage arrêté, je n'explique plus la méthode en travaillant sans butée. je leur disais que le travail sans butée et à proscrire. Et je continu , mais après je leur expliquais quand même celle de nos ancien pour toute les raisons que vous avez cité. Mais après les étudiants font parfois la confusion et ne savent plus. il confonde les deux méthodes.
Ce que je retiens intéressant dans ce sujet de discussion, c'est que finalement la solution est dans la butée large. Je vais réfléchir à ça car je dois régler 3 problèmes
- comment faire quand la rainure dois s’arrêter très prêt du bout?
- comment rendre la fixation rapide des butées sur tout notre parck machine
- Et enfin, le plus dur, comment convaincre tous les autres prof de changer de méthode?
Merci bien et bonne semaine

Il faut toujours croiser les outils pour une meilleur répartition de la force pendant l'usinage.
Le réglage, pour être efficace, doit se faire en deux temps:
Réglage approximatif mais pas trop. Puis pièce d'essai.
Mesurer le résultat au pied à coulisse et ajuster le réglage avec les erreurs constaté. Et là c'est top!
Vouloir faire un réglage du premier coût est utopique. Car suivant l'usure de l'outil, les vibrations de l'arbre ou de son jeu et pour peu que l'outil soit légèrement voilé et le résultat est faussé.
La méthode que je propose permet, au final, un réglage plus rapide.
Bonjour
Je découvre et je commence juste de le consulter.
Sur la P5 il y a une erreur qui m'a piqué les yeux. Quand le bois sèche, il tire à cœur. Donc il tuile à l'inverse des cernes du bois.
Pour le reste je regarderai plus tard.