C'est une problématique complexe mais je rejoins Kentaro sur le refus d'un "made in france" franchouillard et patriotico-n'importe quoi. Il faut faire rentrer dans la balance non seulement le coût social, le coût environnemental et le coût budgétaire de nos pratiques mais aussi se demander combien nous sommes prêts à payer pour une chemise ou un meuble fabriqué sous nos latitudes, et intégrer la qualité, la pratique, la noblesse des matériaux etc.
Apprendre, c'est s'offrir à la curiosité, qui est une belle qualité plutôt qu'un vilain défaut, c'est se donner la possibilité d'avancer et de découvrir et c'est le refus de s'endormir sur ses lauriers, ses acquis, ses certitudes, bref apprendre c'est vivre une vie mouvante où l'on s'autorise toujours l'émerveillement et la surprise.
Top et classe... comme tout ce qui est bordelais à quelques exceptions près...