

peut-être plus simple de faire un déport mécanique plutôt qu'électronique ? si la def ne démarre pas quand on la branche bouton allumé, c'est qu'il y a déjà l'équivalent de l'interrupteur de sécurité dans la machine. du coup des baguettes et pivots pour faire un doigt qui vient appuyer sur le bouton, avec éventuellement une pince pour tenir enfoncé le verrouillage de sécu s'il y en a un... mais je n'ai pas la même machine, pas sur que ça soit évident.

c'est bien le bon endroit, il y a plein de passionnés de vieilles bécanes à faire des copeaux par ici.
pour les machines-outils, il y a "ancienne" et "très ancienne". en gros les machines avec carters de protection, et celles sans carters. Ancienne des années 50-70 ou plus jeune, ça peut encore fonctionner pour un professionnel aujourd'hui. Plus ancienne, machines sans carters de protection, c'est pas évident de trouver un acquéreur. musée, écomusée, artiste/ébéniste qui en fera des meubles style indus'... mais ça dépend de la machine. Sur les raboteuses par exemple, pas mal d'évolutions technologiques font que les "très anciennes" sont relativement inutilisables. (carters, anti-rejet, nombre de lames, électrification de la montée descente, variateur de vitesse...) Par contre, sur une scie à ruban, du très ancien peut très bien servir encore, avec juste l'ajout de quelques éléments de sécurité.(carters, disjoncteur).
pour les outils à main et établis, ça dépend de leur état, mais s'ils ne sont pas trop déteriorés, ils peuvent généralement être rafraîchis et remis en service, par amateurs ou professionnels. et il y aura par ici des passionnés prêts à ça !

les fruitiers, mais francs (non greffés ) pour qu'ils fassent du volume . du coup pas forcément terrible pour les fruits. (mais ça peut, on sait jamais ! )
poirier principalement, cormier, cerisier...
Par chez moi il pousse du buis, on ne le nomme jamais comme un bois "précieux" parce qu'on s'en sert de bois de chauffage par ici tellement il y en a, mais c'est un bois très intéressant : très dur, grain si fin qu'on dirait du plastique. Mais avec la pyrale il va y avoir un vide générationnel.
Après tous les bois durs, ça peut être intéressant de replanter des ormes, maintenant que la graphiose est passée (?); des érables sycomores, aussi très beau bois, du platane, qu'on ne trouve vraiment pas facilement en planches, mais qui a un décor remarquable, de l'oranger des osages pour faire des arcs et de la marqueterie, de l'olivier si le climat le permet, chêne vert aussi très intéressant pour faire des rabots...

sur certaines machines il y a un mécanisme de désengagement de l’entraîneur, pour éviter de le faire forcer quand on dégauchit. sur la mienne, désengagé le rouleau tourne quand même un peu, le désenclenchement fonctionne en détendant la courroie.
sinon le rouleau d'entrainement est souvent monté sur une "suspension" pour pouvoir modérer sa force d'appui. ressorts manquants? suspension mal réglée ?
est-ce que la table est propre, lisse et un peu lubrifiée à la paraffine? si ça accroche trop et que les fers coupent mal, ça se peut que l'entrainement n'arrive pas à entrainer ...
est-ce qu'en poussant la pièce à la main elle se rabote quand même ?
est-ce que l'entrainement se fait uniquement par la roue crantée, ou aussi par une roue lisse en sortie ?
juste des pistes, mais très dur de faire un diagnostic sans la machine.

ben quand on sait affûter bien et vite, qu'on sait toucher un fil d'outil et sentir si ça coupe assez ou pas, qu'on est un professionnel qui se concentre sur le projet client et non l'état impeccable des outils, cette méthode semble un peu à rallonge. Mais quand on débute, avoir un cadre clair, bien décrit, une méthode efficace et prouvée, peu chère, je pense que c'est très bien. un affûtage de qualité est la clé d'un outil qui fonctionne avec beaucoup moins de prise de tête, et même si la page qui décrit la méthode est longue, la mise en oeuvre une fois qu'on a fait son gabarit et préparé ses plaques de verre est plutôt simple . ça permettra d'arriver "facilement" à un outil qui coupe vraiment, et à avoir ainsi une référence de qualité pour petit à petit apprendre à affûter à la volée, avec une meule et deux pierres.

je viens de regarder le mien, même modèle, et il a exactement la même courbe, et fonctionne très bien. la courbe est due au coulage de la fonte, qui est un processus de formage peu précis, mais l'usinage lui normalement est bien plan, avec le morceau fileté sous la vis, et c'est sur les parties usinées que s'appuie la lame, donc pas de souci. tu peux vérifier que c'est bien sur le plan du support sous la vis avec un réglet, mais je doute qu'il y ait un défaut.
ici la lumière n'agit pas vraiment comme limiteur de passe, c'est vraiment la sortie de lame qui définit l'épaisseur du copeau. lame pas bien affutée et/ou trop sortie, ça bloque. et le réglage est un peu pénible sur ce modèle, surtout à cause du système de serrage de lame un peu bancal et en vis inversée. pour reculer, il faut reculer plus que nécessaire puis réavancer, pour que la lame soit bien en appui sur le filetage de la vis de réglage. une lame bien affutée doit pouvoir raser les poils, et l'affûtage compte vraiment pour la performance de l'outil.
aussi la lumière a tendance à se refermer contre la lame assez facilement si on tape en bout ou que ça frotte trop. Mais bien affuté et bien réglé, c'est un outil qui fonctionne très bien.

ben si c'est plat et lisse, c'est pas des bulles. peut-être juste des motifs du veinage du bois ? ondulation des veines en amont de départs de petites branches ? pour moi rien d'inquiétant, juste du décor. bien sur, dur de vérifier si c'était là avant le vernis, mais peut-être que tu peux le retrouver sur des chutes ?

alors c'est peut être un thermomètre ? la plage numéraire aurait du sens, s'il s'agit de mesurer la température d'une pièce servant à conserver les aliments. as tu essayé de l'étalonner, avec la vis toute neuve, en remettant une aiguille ? tu verrouilles à 20°C, puis le mets au congel voir comment ça se déplace...

donc quand tu allumes l'inter principal ça démarre la scie, et quand tu allumes l'autre ça démarre la toupie en plus ? ou ça coupe la scie et démarre la toupie ?
en théorie il faut un variateur par moteur. si les paramètres de chaque moteur sont différents, et pour pouvoir les démarrer indépendamment.
dans la pratique, on peut utiliser un (des?) relais, pour que le courant en sortie de variateur bascule d'un moteur à l'autre, et jamais aux deux ensemble, avec éventuellement un retour d'info vers le variateur qui permettra de configurer deux groupes de paramètres pour chacun des moteurs. mais concrètement je ne saurais pas te guider plus, pas électromécanicien. Si le variateur te permet une rampe de démarrage et une rampe de freinage, c'est important de bien les faire avant de basculer d'un moteur à l'autre , donc d'avoir un câblage qui ne permette pas aux deux moteurs de tourner en même temps. et un petit boitier on/off avec arrêt d'urgence pour chacun des deux moteurs est recommandé aussi.

on ne peut pas juste le brancher sur du mono. si c'est trois phases en 220 (ça a l'air d'être le cas à la plaque) on peut soit simuler une troisème phase avec des condensateurs, soit installer un variateur de fréquence. les condos, ça fait perdre un bon tiers de la puissance, et parfois ne suffit plus à l'usage. le variateur, c'est plus cher, mais ça vient avec une aide au montage et installation, et ça permet de faire varier la vitesse de rotation du moteur, super pratique sur un tour. et pas de perte de puissance, possibilité de programmer une rampe de démarrage pour éviter le pic de consommation au départ, et un freinage électronique pour que le moteur s'arrête plus vite.
pour comprendre étoile triangle, c'est assez important pour faire le branchement, il suffit de chercher sur internet. c'est pas un concept très compliqué, juste un concept nouveau.
comme dit par Onada , on peut aussi remplacer le moteur par un moteur mono de même puissance , ça peut être moins cher si on trouve une occasion.

a l'écorce peut être un pommier ou poirier, très bon bois de tournage. mais il faudrait une photo du bois raboté, ou scié propre en bout.
globalement, pas vraiment de risque, si c'est pas un résineux. et si c'est un résineux ou un bois tendre, c'est pas le bout du monde non plus de le mettre dans le tour et de voir ce que ça donne, hein.