oui j'allais dire pareil... j'ai fait du paillage de chaises à la corde papier, et on la trempe 10 minutes dans l'eau dans les 24h avant utilisation. elle se ramollit un peu, et se tend en séchant dans les jours qui suivent. pas trop gorgé d'eau sinon ça casse, mais un bain rapide fait vraiment une grosse différence.
et en paillage de chaise on faisait pas vraiment de noeud d'arret, on allait juste coincer le dernier brin sous une passe de 3 brins précédent, entre les 3 brins et le bois du cadre, sous l'assise pour pas être visible. Comme tout se tend après, et que la corde est passée le long de deux arrêtes du cadre, elle ne glisse pas. là ça peut peut-être le faire juste sous les clous, mais pas évident...
et en paillage, tous les noeuds sont bêtement des noeuds de chaise. (on pourrait presque supposer qu'ils en tirent leur nom )
marrant le montage à la colonne pour la marque, j'avais fait exactement pareil il y a quelques années pour mes cartes de visite... c'est vraiment bien parce que ça permet de marquer en série avec un fer à flamme en gardant une température à peu près constante. Mais j'imagine que la série de ce fort joli brunissoir n'est pas pour demain.
Tout à la main corroyage inclus, chapeau ! et une conception raisonnable avec le fond en panneau flottant, ça fait plaisir. Et c'est très soigné dans le détail ! comment sont fixés les cotés des compartiments au niveau des coupes d'onglet ? et seul petit détail qui me chagrine, (mais je chipote) c'est que malgré des belles charnières en laiton plein, les vis ne sont pas des vis laiton tête fendue, et apparemment un demi mm trop large de diamètre... (ça se trouve vraiment pas cher à la pièce les vis laiton, sur des sites spécialisés de vente de vis, livraison au tarif lettre)
ah ouii c'est un petit interupteur choupinou ! ben ouais du coup plutot facile de déporter mécaniquement. ptetre avec un truc qui utilise un cable et une gaine de frein de vélo, sanglé autour de la machine au niveau de l'interrupteur avec un gros élastique pour etre facilement amovible et bouger avec la montée descente ? sinon si la machine est assignée à résidence sous la table, l'ouvrir et sortir l'inter, resouder deux fils et littéralement déporter l'interrupteur lui-même. un peu de silicone pour boucher le trou aussi pour éviter que la poussière ne rentre...
ouais je sais pas . comme tu dis plus bas, c'est peut etre une sécurité ajoutée sur une version plus récente.
ce à quoi je pensais c'est comme ceux qui utilisent un câble de frein gainé pour déporter l'élevation, mais (c'est un concept, je sais pas exactement comment faire) pour déporter l'interrupteur. avec un "doigt " au bout du câble, et un "interrupteur" à l'autre, et le "doigt" se fixerait à la machine en un tour de main avec un élastique, et l'interrupteur ou tu veux vers l'établi.
ben du coup c'est vraiment compliqué d'aider sans avoir la machine, s'il faut faire une investigation et un diagnostic...
est-ce qu'il n'y a pas un frein d'arbre ?
sinon en utilisant un moteur de recherche, j'ai trouvé ça :
et ça en utilisant la fonction recherche sur l'air du bois :
notice lurem
une autre possibilité est peut-être un blocage mécanique ? un bout de bois coincé au fond ? (tester le moteur seul sans courroie ?) le moteur a une ou plusieurs de ses bobines grillées ? (ouvrir le moteur pour voir si c'est noir dedans ou tester au multimètre)
pareil, j'ai la même en 250, la jean l'eb, et c'est une machine bien pour son prix, relativement robuste, mais qui demande du temps et de la finesse pour la régler. Mais je tourne avec au quotidien depuis 8ans, et elle tient très bien le coup.
pour la largeur, à mon idée, 250 suffit, sinon faut y aller et carrément prendre du 600 so on souhaite s'en servir pour réaffleurer des lamellés-collés.
trop belle ! il va falloir démarrer une collection de meubles à rideau...