pareil, cp sans hésiter. par contre le trois-plis, ça a du relief, et en peinture claire, des remontées de sève jaunatre. pas recommandé pour du blanc ou crème .
ça dépend énormément de sciure ou copeaux. copeaux, ça reste manipulable relativement facilement. sciure, ça fait vite pête-dos. mais je dis ça, maintenant je me demande si c'est 200 ou 120 mes sacs ?
Ara ouais... mais perso, sur une série de rabotage, ça m'arrive de remplir le sac en une demi-heure !
mes sacs sont en 120L, et ils sont rarements pleins de plus de la moitié de sciure, si je scie je fais presque toujours du copeau derrière. mais on sent bien la différence quand il y a eu du débit, ou juste du rabotage.
après, pour le multi-sac, je sais pas. je pense que c'est pas nécessaire, mais sur de la menuiserie gros volume, ça peut éviter d'interrompre l'usinage pour aller vider le sac. c'est a voir en fonction du budget, et de la place disponible.
je dirais pareil, si c'est un dressing, on peut faire une finition uniquement sur les façades, et si c'est juste du rangement au garage, pas besoin de rien mettre.
après, si vernis, ça vaut le coup sur un projet comme ça d'investir dans un petit pistolet et un compresseur, parce que c'est un gain de temps redoutable. ça m'arrive de faire une couche de vernis acrylique bien dilué suivie d'un petit coup d'égrénage 220 à l'orbitale, et on les a vite passés les 48m². enfin, faut chiffrer un ou deux jours quand même, mais dans le budget d'un grand placard, ça se tient.
ouais, pareil. déjà, l'équerrage n'est pas essentiel, si on n'est pas parfaitement à 90 c'est rarement gênant. d'équerre à l'oeil suffit, et la qualité du tranchant est bien plus importante, et peut se gérer sans "guide".
ah mais je ne faisais que répondre à la seconde question, comment éviter le problème dans les futures fabrications. Pour rattraper, je ne me suis pas mouillé... 
mais c'est quoi qui coince ? le fait de faire la peinture et le vernis, ou le tarif "francais" ?
je pense que c'est un massif, avec juste une surépaisseur en bout, ou un faux bout collé en coupe d'onglet. mais le plan est en massif, juste plus fin. (il précise 24mm)
posée sur un plan de travail en chêne non abouté...
comment as-tu réalisé l'assemblage de la "queue" en frene avec découpe courbe ?
par contre sur un plateau en massif, c'est quand même possible qu'il se déchire ou se décolle quand le plateau va travailler, même longtemps après le collage. toujours le même problème avec le bois, qui gonfle ou dégonfle dans la largeur de ses fibres...
mais sinon juste un pigment organique noir (oxyde ferreux? ) doit faire l'affaire... trouvable chez Kremer pigmente par exemple.
oui j'ai pas détaillé, mais je l'imagine en mélange dans une cire pour que ça fasse une pate noire essuyable qui remplisse les pores.
et là dedans plein d'autres pistes de techniques de tuyaux en bois !
c'est aussi ce qui m'est venu, pareil sans conviction. les fibres, le grain surtout; la couleur je sais pas...
un noyer clair ?
la duo 35 te donne 2mm d'ajustage droite-gauche (profondeur du meuble pour affleurer les chants), la 36 est sans jeu (si tu arrives à faire tes perçages tip-top, pour un assemblage plus rigide).
à quels équipements as-tu accès ?
mettons, une mèche de 45 type forstner, bien affutée, et du temps à volonté.
bon. on soude une barre de fer de 1m50 bien droite au cul de la mèche pour la rallonger. on se fait un petit montage avec une perceuse sur une planchette, qu'un va caler entre deux planchettes vissées sur une grande planche de support (2m50 de long, 30cm de large), qui serviront de coulisses. on attache le poteau sur la planche support, et on pousse la perceuse pendant, quoi, une heure par poteau ?
il faut bien sur avoir vérifié précisément l'équerrage de tout. souder une barre à la fin de la mèche vraiment bien d'équerre, pas évident non plus.
c'est absurde. ça peut marcher, mais je ne vois pas quel besoin justifie de ne pas devoir coller... on peut faire un truc propre en collant dans le fil, qui ne se voit pratiquement pas.
bref.
et un truc genre tonneau ? avec des cerclages en inox ? ou en corde ? si ça reste immergé, l'étanchéité ne devrait pas etre un problème, et on peut même envisager un démontage pour nettoyage simplifié.
sinon pour percer, un tube acier de 45 sur lequel on avoye et affûte des dents, pour en faire comme une super longue scie cloche, et on soude un bout de barre ronde au centre à un bout, pour mettre la perceuse, un petit coup de tour à métaux pour rectifier le centrage, et perçage avec gabarit du genre mon dessin plus haut. avec une perceuse bien solide, et retraits fréquents pour évacuer le copeau, lubrification à la paraffine...
mais le coup du tonneau me semble plus réaliste.
pas d'inox pour les cerclages, j'imagine qu'en marais salant ça ne suffit pas... on peut cercler peut-etre avec du bois souple chevillé ? ? de la corde? assembler les lames avec des rainures autoserrantes et laisser le gonflage par l'eau maintenir tout en place ?
ou retour à deux moitiés évidées, et assemblage avec rainure-languette chevillées.
c'est quoi ton budget ? 
je connais un ébéniste qui peut les faire !
Erebor ouais... mais colle en marais salant, je sais pas.
des petits supports intermédiaires percés qui coulissent comme le chariot de la perceuse, pour maintenir la barre dans l'axe. mais globalement, l'idée de percer 18 fois 1m en bois de bout... poulala.
je pense qu'en le surdosant, mon système à le potentiel, mais ça reste une solution très, très pénible, et un tantinet bancale. On peut trouver mieux...
non mais ça n'importe quel menuisier près de chez toi peut le faire, pour pas cher je pense. tirer 72 lames de 1m par 20mm par 10cm avec le profil autosserrant d'angle (ce profil , en cèdre, ou un autre bois, je pense qu'immergé dans l'eau salée ça peut tenir un moment ; si le fait qu'ils soient mouillés ne suffit pas à tenir l'assemblage, tu peux percer dans les coins et mettre quelques tourillons sans colle.
moi je suis assez loin du premier marais salant... mais ça me tenterait bien comme projet.
pour moi aussi, le vrai plus est las possibilité d'utiliser en stationnaire. un dos plat, c'est essentiel.