Vaut mieux des dormants pour rester bien plan alors en effet
GSB ou pas, un panneau de bois doit toujours être rafraîchi à l'équerre avant de commencer. Pour les plans de travail c'est moins nécessaire, puisque ce sont des produits plus finis.
Ça dépend de la taille de ton panneau, de toute façon tu ne peux pas passer un panneau entier sur une petite déligneuse comme la tienne, tu es obligé de faire une coupe à la plongeante avant.
Par contre si tu achètes des panneaux pré débités, pas de souci normalement
Ah c'est pile poil ! Bravo !
Je suis curieux de connaître ta méthode pour l'ajustement du plateau dans la niche, tu as du faire un relevé ultra précis, au laser peut-être ?
Est-ce que tu as eu à rectifier la coupe sur place ?
Je vois, je vais moins culpabiliser, même si je trouve que cette contrainte m'aide à penser les étapes dans le bon ordre sur mes projets.
En même temps essayer de parler de "bon ordre" et de "bonnes manières" à des étudiant.e.s des beaux arts pas gagné, donc je comprends
Le prof en question a du avoir un enseignement similaire au tien (saint Luc il y a plus de quarante ans), je vois donc d'où vient cette habitude !
J'en ai entendu parler en effet, sous nos latitudes, l'orme et le robinier je crois sont assez siliceux
Si ça recommence, arrête la scie, retire le bois et regarde si le début du trait de coupe est plus fin que là où tu t'es arrêté, ça ta dira si c'est toi ou le bois.
Si c'est le bois, anticipe et essayer de reculer un peu puis ravancer pour élargir le trait de coupe.
Dans tous les cas, quelle que soit la situation ou la machine, ne force jamais.
Non, si le trait de coupe lui même s'est resserré, c'est le bois.
Par contre si la pièce que tu as commencé à couper est plus fine, c'est toi qui ne va pas droit.
Attention à la nuance, la main gauche ne pousse pas, elle maintient
C'est ça, tu pousse légèrement avant d'entrer en contact avec la lame pour être bien en appui sur le guide (vérifie à l'oeil l'alignement de ta surface d'appui avec le guide, parce qu'au début tu ne peux pas vraiment savoir si tu es bien parti), puis tu la laisse là où elle est pour ne pas mettre trop de pression. Moi je fais bouger mon pouce et mon index comme si c'était des jambes qui marchaient sur le chant du panneau pour ne pas glisser le bois contre ma main et risquer de me prendre une écharde. Et j'en profite pour te rappeler : surtout jamais jamais jamais de gant sur les machines, surtout celle ci. L'épaisseur du gant modifie ta proprioception, donc tu ne sais plus exactement où est ta main, et si ton gant entre en contact avec la lame, il se fera happer dans l'outil par sa rotation, et ta main avec. C'est plus facile d'enlever une écharde que de recoller un doigt.
Si c'était du pin, je dirais que le fil serait plus marqué, mais je me dis que ça pourrait aussi être du peuplier
Pourquoi pas du tilleul alors, je verrais mal un meuble aussi simple être fabriqué en merisier, le peuplier et le tilleul sont assez similaire mais le tilleul un plus dur et dense, même si moins marqué en général
Ça pourrait aider si tu ponçait une partie non visible du meuble pour qu'on ait la couleur fraîche
Excellente idée, merci !
Ah et perso j'éviterai de toucher à la semelle des rabots si ce n'est pas nécessaire (si son passage ne laisse pas de traces de rouilles sur le bois) et si elle est parfaitement plane, tu risquerai de la déformer en attaquant localement
Alors tout est expliqué dans le pas à pas posté plus bas, bon courage !
Je dois souvent me déplacer dans des endroits où avoir accès à une prise facilement n'est pas toujours possible (plateau de montage, studio, décor de cinéma, travail en hauteur, chantier), et avoir certains outils sur batterie se révèle extrêmement pratique, comme la sauteuse la meuleuse ou l'oscillant.
Mais la ponceuse effectivement, j'ai du mal à piger
Avec du tube acier soudé (surtout en 50, c'est raide) on a moins besoin de contrevent, la soudure est un lien plus rigide que n'importe quel assemblage bois, et justement sa deuxième traverse sous le plateau joue le rôle de contrevent simplement en doublant la liaison.
Pour moi il faut juste rajouter des traverses entre les pieds pour faire un cadre rigide sous la charnière, mais aussi à la place du caisson, qui pose problème en devenant mobile, mais sinon ça tient, ça doit vibrer un peu quand on tape dessus par manque de masse, mais c'est un plutôt une table pour les machines, regarde les tables festool pour les scies et défonceuse sous table, c'est 4 pieds pliants et ça marche on travaille normalement avec.
Autre souci, le guide, sur un seul axe j'y crois moyen, mieux vaut le faire coulisser sur le côté, soit avec une crémaillère des deux côtés comme les petites déligneuse dewalt, soit sur un seul côté avec un lien fort comme sur d'autres machines
Comme dit en dessous, ca peut le faire en tube de 30, ou bien en 50 mais un poil plus fin que 2mm de toile
Qui peut le plus peut le moins !
Ah d'accord, je ne connaissais pas, merci !
Je me pose la question justement de l'adhérence entre peinture et vitrificateur. À priori on peut vernir une peinture (d'ailleurs, un vitrificateur n'est qu'un vernis plus épais), donc tu pourrais revenir au vitrificateur avant de repasser ta première couche de peinture, mais je ne sais pas si une alternance de couches ne rendrait pas le tout sujet à délamination.
Beaucoup d'éléments de réponse ont été apportés dans les réponses à la même question que je me posais ici
Perso, je vais partir sur un fein dustex 25l avec un cyclone que j'enlèverai quand je pars sur un chantier.
Je remonte le fil car je viens de voir ceci :
Alors je dirais baguette noyé dans une rainure arrêtée, tu glisse ta partie haute par l'avant, et tu le fixé au mur ensuite.
La baguette va juste empêcher les montants de se décaler, donc pas besoin que ce soit très costaud, ça pourrait limite être une section carré d'alu ou d'acier, dans ce cas tu peux la prendre de moins d'1/3 de l'épaisseur du panneau pour garder le maximum de bois.