Oui !
Sache que par exemple, menuisier de décor salarié pour le cinéma sur une semaine de 39h + 4h sup + 1 samedi travaillé, (donc 6 journées un peu chargées), je touche environ 1200e net, dans l'événementiel beaucoup moins, on sera plutôt à 800.
Ce à quoi il faut ajouter le chômage que je peux toucher, là où toi tu sera en perte sèche dès que tu n'auras plus de boulot.
Comme j'ai les deux activités (salarié et indépendant), je trouve ça intéressant de comparer les deux, le salaire de menuisier en entreprise est une bonne base je pense pour savoir si j'ai bien vendu.
L'investissement en matériel reste à prendre en compte, même si je ramène mon propre outillage sur les plateaux, et que je suis défrayé pour.
Donc au final oui c'est correct, mais pas non plus mirobolant.
Pour que le bois en gonflant vienne serrer les arrasements du tenon et donner un joint parfait
Ça confirme mon intuition, ça doit aider à serrer le joint
Ce n'est pas une question de débutant ou pro mais d'étape du travail.
Un angle fort enlève plus de matière, un angle faible donne une meilleure finition
Avec le ciseau, tu peux maintenir la table à plat sur le bois et avancer en biais pour enlever quelques copeaux, une main au dessus du ciseau pour le relever évite de plonger.
On peut aussi s'en servir debout comme d'un racloir, mais ça le desafutte prématurément
À moins de scier le tenon dans la longueur et d'y coller un coin
Seul un plan nous permettra d'y répondre.
De plus, je ne pense pas qu'un achat d'outil dans cette gamme de prix doive être pensé en fonction d'un besoin momentané, si tu n'en a pas besoin à l'avenir, trouve peut-être une solution alternative
Cela dépend de la section des bois, des contraintes qui vont s'exercer sur les assemblages...etc
Donc un plan
Et pourquoi pas un u pour l'alu ?
votre texte ici
Impossible de te donner une réponse sans plus d'information sur la nature précise des ouvrages à réaliser, les matériaux employés, selon si tu emploies tes machines ou celles de l'artisan qui travaille avec toi.
On ne sait pas non plus si tu veux chiffrer seulement ta main d’œuvre aussi. Essaye de faire une estimation du nombre de journées que ça te prendra et de multiplier tout simplement par un taux journalier qui te paraît convenable.
Pour te donner une idée, perso je fais entre 170 et 230e la journée, selon les tâches à réaliser.
La sangle comme le serre joint se positionneront sur la plus longue diagonale.
J'ai peur que la sangle ait du mal à jouer le même rôle qu'un serre joint.
Si tu n'as pas de grand serre-joint, tu peux essayer de le faire avec un chevron dans lequel tu auras solidement vissé deux chutes de chevron à une distance très légèrement supérieure à celle de la plus grande diagonale, puis serrer avec un coin. C'est un peu plus de préparation, mais ça doit marcher, l'autre jour j'ai redressé un plateau de table sur ses coulisses en vissant quatre cales sur mon établi et en serrant avec des coins de la même manière, mais la table était plus petite que tes volets.
Oui, premier résultat sur google
Essaye à la sangle, et si ça résiste tu peux donner des petits coups sur le petit côté du volet pour décoincer.
Là il faut aimer la couleur, ou bien faire des essais de teinte
Moi je trouve ça plus beau que le méla, et convenablement protégé c'est plus durable aussi, plus solide tout en étant plus léger aussi.
Chez mon fournisseur on est presque au double en terme de différence de prix entre bouleau et peuplier, donc même sur un seul panneau en 18 on est à plus de 100e de différence.
Je ne vois pas trop ce qui s'opposerait au fait de rajouter des écharpes en redressant l'ouvrage préalablement dégondé, le démontage risquerait d'occasionner des dégâts (au cas où les traverses seraient collées par exemple, on ne sait pas ce qui est passé par la tête de celui qui est passé avant nous).
Mais comme je ne suis pas du tout versé dans les menuiseries extérieures, je vais laisser des plus expérimentés que moi répondre.
Pour te simplifier la vie, je te conseille de travailler en millimètres du début à la fin, c'est la norme en menuiserie et tu n'aura pas de problème à passer d'une unité à l'autre quand par exemple tu devras prévoir d'intégrer des quincailleries dont les dimensions seront données en mm, idem pour les épaisseurs de panneaux.
Pour l'optimisation du calepinage, OCL coche par défaut l'option "le fil suit la longueur", et donc il oriente tes pièces dans la longueur du panneau pour avoir toujours le fil dans le même sens.
Il faut décocher l'option pour tes matériaux uniformes comme l'agglo ou le mela
Mais de rien ;)
Le site parle de peinture, et non de teinture, ce n'est pas la même chose...
Mais la réponse d'Étienne est la meilleure orientation, si jamais il s'agit bien de teindre, et non peindre (ce qui est beaucoup plus facile sur un bois vernis).
Pardon, j'ai inversé les choses ! Je disais derrière la pièce par rapport à l'utilisateur, donc devant du point de vue de l'avancée de la coupe.
Pour moi, la configuration lame ->guide -> pièce permet de mieux maîtriser une pièce qui se mettrait en rotation, puisque l'ouvrier plaque la pièce contre le guide et le guide retient l'extrémité du bras de levier. De plus, s'il y a un problème, la main, si elle est emportée par une pièce qui recule a moins de chance de rencontrer la lame, puisque le problème surviendra toujours au milieu de la coupe, quand la main n'est pas au niveau de la lame.