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511 réponses
cocoM

Le test de positionnement n'est pas vraiment difficile, ce n'est pas un examen. Il est surtout là pour faire un état des lieux des connaissance des stagiaires avant la formation ; et éventuellement servir à former des groupes homogènes s'il y a lieu.
Quand j'en ai passé c'était des question toutes betes du genre citer des noms d'outils manuels, électroportatifs, d'essences de bois ; ou encore situer une planche taillée en dosse ou en quartier sur une section de bois.

cocoM

pas d'expérience avec le vernis PU mais par contre avec l'epoxy : application particulière, il faut faire quelques essais pour se faire la main avant d'attaquer un gros projet, notamment bien nettoyer le support avant car certains résidus gras causent des gouttes très disgracieuses et irratrapables ; bien faire les contre parements avec la meme finition car sinon ça voile très très fort.; très bonne étanchéité à l'eau mais jaunis beaucoup aux UVs et finit par devenir cassant (un pote qui a fait de la construction de bateau m'a dit rajouter un vernis anti-UVs par dessus des stratifiés en époxy pour éviter le phénomène).

cocoM

du liège collé à la néoprène puis arasé au ciseau à bois. Bien nettoyer le pied (voir le poncer) avant de coller sinon c'est la poussière qui colle.

cocoM

La question à 1000€ pour laquelle chaque tourneur aura sa réponse, je dirais que le top du top serait de pouvoir faire un stage pour tester les différents outils et voir ce qui correspond à tes besoins.

Sans passer par le stage, mon premier conseil c'est d'éviter les sets tout faits proposés par certains sites : ça semble une bonne affaire car tu paye x% moins cher qu'en prenant les memes outils séparés, mais il y en a toujours un ou deux dans le lot que tu n'utilisera jamais ; autant mettre le meme prix pour 3 outils au lieu de 6 mais avec une bonne qualité en prime.
Les trois "indispensables" selon moi : gouge à profiler (13mm c'est un diamètre assez polyvalent pour démarrer) ; gouge à creuser (idem une 13mm, comme ça elle sera assez forte pour remplacer la gouge à dégrossir dans un premier temps) ; et un grain d'orge 5mm.
Pour les marques, Hamlet ou Bordet sont un bon repère qualité/prix.

Pour ce qui est du mandrin, surtout éviter les fausses bonnes affaires à pas cher type holzmann. Il vaut mieux attendre et partir directement sur une bonne gamme type Oneway, Vicmarc, Record, Nova par ex. En attendant, tu peux utiliser un gobelet de tournage ça demande plus de rigueur dans la préparation de ta pièce de bois, mais c'est un bon moyen de démarrer à pas trop cher. Si tu utilise le gobelet, un bédane de 10mm peut etre un gros plus à ajouter à ta liste d'outils de base.

Et enfin dernier poste de dépense : l'affutage. Un touret d'occasion à 30€ équipé d'une meule blanche (indispensable pour l'acier HSS) fera l'affaire pour un bon moment.

par Louis16 il y a 5 ans
cocoM

J'ai eu l'occasion d'utiliser une ponceuse mirka à air comprimé qui semble très très proche de celle que tu convoite, je ne sais pas à quel point le moteur alourdit l'ensemble mais la légèreté de la machine m'a bluffé, et le positionnement de la gachette de démarrage la rend très pratique pour l'utilisation à une main.
Très maniable et donc idéale pour le ponçage de finition avec la machine tenue à une main pendant que l'autre tient la pièce, les surfaces verticales etc... La performance d'aspiration est très bonne (avec une aspi festool ctm26 et comparée à une makita Bo6030 avec le meme aspi)
Par contre pour la finition de grandes surfaces je préfère justement ma makita malgré une gamme inférieure : le poids, la gachette classique et les multiples possibilités pour tenir la machine (poignées) permettent de laisser la machine bosser presque toute seule, meme à bout de bras pour les surfaces larges.

Pas testé les festools, mais vu les descriptions la ETS EC 150/5 EQ-Plus semble etre comme la mirka adaptée aux ponçages "acrobatiques" tandis que la ETS 150/5 EQ-Plus est plus intéressante pour le ponçage de surfaces.

par cricris il y a 5 ans
cocoM

Quand tu affute au touret (quelle que soit la marque), tu ne touche que le biseau, or pour vraiment bien affuter il faut travailler successivement le biseau et la planche.
Quand le ciseau est neuf, quelle que soit la qualité, il faut retravailler ta planche soit avec une pierre fraichement rectifiée (redressée) soit au papier de verre de carrosserie posé sur une plaque de verre ou un marbre. Une fois ta planche parfaitement aplanie, tu travaille ton biseau (là tu peux passer au touret) ; puis tu retravaille successivement planche et biseau en passant des grains de plus en plus fins ; pour finir au cuir qui ne doit servir qu'à enlever le morfil final (cette étape peut aussi se faire à la pierre à huile).
Une fois ce premier affutage fait, tu peux ne travailler que ton biseau pour entretenir ton tranchant, mais à un moment ou à un autre il faudra refaire le processus complet car ta planche aura pris des petits défauts (rayure, choc avec un autre outil dans la boite etc...)
Le touret est très pratique, mais selon le grain de la meule il ne donnera pas le meme résultat, avec une meule grain 400 tu vas dégrossir le travail mais il faudra passer un coup à la pierre ou au papier avant de finir au cuir (si tu ne passe pas la pierre avant le cuir, c'est comme si tu sautais deux ou trois grains de papier de verre au ponçage, les rayures du grain précédent sont toujours là, et chaque rayure crée une faiblesse dans le tranchant).
A l'inverse avec une meule de grain 1200, tu pourras obtenir un tranchant propre et passer directement au cuir, mais si tu doit rattraper une dent sur ton ciseau il faudra t'armer de beaucoup de patience.

par gilles12 il y a 5 ans
cocoM

Tout dépend de ce que l'on met derrière le terme "valable".

Si on se limite à l'interprétation financière, il faudrait faire une étude de marché locale, connaitre le pouvoir et l'orientation d'achat de ta zone de chalandise et pas se limiter à la tendance nationale.
Il faut voir également quelle ampleur aura ton investissement financier pour démarrer : fais-tu tout ou partie des travaux toi meme ? Souhaites-tu directement investir dans les machines pour créer un atelier polyvalent ou bien peux tu limiter l'investissement dans un premier temps en limitant ton rayon d'action (prendre un combiné et faire uniquement de la pièce unique ; ou encore sous traiter certains usinages à des entreprises plus grosses par ex) ?
Il faut aussi voir comment tu te positionne en terme de confort de travail : tu es habitué à des ateliers bien équipés, te sens tu capable de t'adapter avec du matériel moins performant (occase, électroportatif moyenne gamme plutot que directement vert et gris...) pour limiter l'ampleur de l'investissement ?

On peut aussi interpréter la viabilité du projet en terme plus humains : qu'est-ce qui t'apportera le plus de plaisir ? Profiter de ta maison en bord de mer X semaines par an ou couper des bouts de bois dans ton atelier ?
Si tu préfère couper du bois dans ton atelier, qu'est ce qui te fait vraiment prendre ton pied dans le travail du bois ? En fonction de la réponse peut-etre que ton projet peut bouger un peu.
Pourquoi veux-tu faire une partie du travail à ton compte : désir d'indépendance, rentabiliser un investissement qui te permettra de te faire plaisir à coté ?

Quel que soit ton choix, tu auras une charge de travail administratif et autre à faire ; dans un cas communication, devis, recherche de fournisseur, facturation, compta etc... ; dans l'autre communication, gestion de location, états des lieux, entretien, etc... Comment te positionnes tu par rapport à ces taches, combine de temps et de kilomètres de déplacement ça représente, peux-tu les déléguer, à quel prix ?

Et enfin la viabilité en terme de patrimoine : avec de l'immobilier, la crise n'est pas encore là et les banques suivront facilement. Avec un atelier, le matériel se dévalue vite, l'immobilier ne vaut pas grand chose, les banques sont frileuses. Bien sur les banques n'ont pas toujours raison ;)

Bref... Je ne fait qu'apporter des pistes de réflexion, à mon avis la viabilité d'un projet ne peut etre appréciée que par celui qui le porte, bonne réflexion à toi

par neophyte il y a 5 ans
cocoM

Point par point :

Tamiser la sciure : cela dépend de la taille à reboucher. Il faut que ta sciure soit assez fine pour rentrer dans le défaut, mais un peu comme pour un mortier il est bon de mélanger différentes tailles de sciures pour limiter le retrait sur de plus gros trous.

Colle vinylique sans hésiter

Spatule en peu importe, du moment qu'elle n'est pas rouillée. La spatule inox sera plus facile à nettoyer mais sinon aucune différence. Une lamelle de bois ça marche très bien aussi, avec deux coups de rabots tu la rend plus souple à la demande, et c'est gratuit.

Le dosage difficile à dire, c'est un peu au feeling. Il faut que la sciure soit imbibée de colle, mais qu'il reste le moins d'espace possible entre les grains de sciure (sinon c'est la colle qui comble, et c'est pas terrible au séchage). Selon la taille de ta sciure ça va varier énormément donc fait des tests avant pour trouver la texture qui va bien.

La couleur : là pas de solution miracle, ça va se voir. Déjà les bavures de colle inévitables autour de ta réparation vont modifier la manière dont le bois prend la finition (sauf à faire un fond dur avant de reboucher sans en faire couler dans les trous à reboucher). Ensuite le passage des UVs et autres agents grisonnants ou jaunissants ne se fera pas pareil à travers une colle, et enfin sur du chène la forte concentration de colle en phase aqueuse peut causer des remontées de tanins.

cocoM
( Modifié )

Il va etre pour quoi cet établi ? Si tu veux raboter et autre joyeusetés à l'outil manuel, faut du costaud pour les efforts dans le sens de la longueur de l'établi, et la solution 2 à mon sens renforce surtout en largeur donc pas très pertinent. Il me semblerais plus indiqué dans ce cas là de doubler en largeur la section de tes traverses longues pour mettre un bon gros tenon tradi bien fat sur la version 1.

Si c'est juste pour de l'electroportatif, là pas de gros efforts à supporter mais des vibrations et du poids, donc la solidité sera plus apportée par la qualité de tes assemblages et de ta colle (pour les vibrations) et par la section de ta traverse longue (encore elle) pour le poids.

Pour info tu as prévu quelle section pour quelle longueur entre deux poteaux ?

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cocoM

J'utilise du cèdre en tournage pour faire des petites boites ou vide poche. Effectivement l'odeur est sympa, un peu entetante. Il parait qu'en plus de ses effets insectifuges c'est une odeur apaisante (en tout cas ça fait partie des applications de l'huile essentielle de cèdre de l'atlas). C'est un bois intéressant pour jouer avec des effets brulés.

cocoM

Bonjour,gros chantier dis donc.
Pour le bois, ça ressemble à du chene, (couleur, légère coulées de tanins au niveau des clous...). le frene ne me semble pas indiqué à moins qu'il soit traité, et encore. Il te faut un bois classe 4 (contact régulier avec l'eau douce). Du chene purgé d'aubier ou du robinier par ex.

pour la méthode, sans démontage ça va etre sympa. Je commencerais par la porte de gauche qui elle doit pouvoir etre démontée histoire de me faire la main. Taille en pointe des deux montant là où le bois n'est pas attaqué, préparer les bois pour prolonger les montants avec une bonne marge de longueur, tailler le V correspondant puis faire les mortaises avant de couper à longueur. Ensuite traverse basse à usiner, tenonner et enfin assembler le tout avec colle PU et bon serrage au niveau des sifflets.

Pour l'encadrement, il ne semble pas si abimé que ça (usé mais pas pourri), je ferais plutot un traitement préventif puis durcisseur bois éventuellement reconstitution au synto avant peinture pour un aspect plus neuf. Si vraiment les clients veulent changer le bois, c'est à peu près la meme opération que pour la porte mais il faut impérativement préparer un gabarit pour tes découpes en sifflets car sans démontage tu ne pourras pas te laisser de marge de longueur pour vérifier tes ajustements. Ne pas oublier d'étayer tant que c'est en chantier cas sans la traverse basse ça va jouer.

Bon courage

cocoM

Pour avoir eu entre les mains un modèle très proche (une leman, meme puissance memes capacités mais sans aspiration) je pense que ce genre de machine peut faire l'affaire tant que tu reste sur des pièces de moins d'1m et des bois "simples" type résineux sans trop de noeuds, hetre etc...
Par contre dès que tu veux taper du chene, les lames jetables ne tiennent pas le coup longtemps, tu es limité à 0,5mm par passe en rabotage, et la longueur de table très courte en dégau risque de te faire t'arracher les cheveux si tu veux passer des planches un peu longues.
Dernier point, le réglage du guide, pas stable donc à revérifier toutes deux ou trois planches quand tu dégauchis ta tranche.
Bien sur en amateur si tu n'es pas rebuté à l'idée de passer plus de temps que nécessaire au corroyage et que tu es suffisamment à l'aise pour te faire des servantes pour rallonger tes tables si jamais tu as besoin de dégauchir des planches longues, ça peut le faire.
Un petit combiné d'occase sur LBC ou une kity 636 seront surement mieux dans le meme budget, mais encore faut-il etre patient ; et le combiné pose un problème de place (certes il fait X opération en une seule machine, mais il faut pouvoir tourner autour pour etre un minimum à l'aise).

cocoM
( Modifié )

ce qui se passe si la prise de copeau est trop importante
D'où la nécessité d'un limiteur de passe sur les porte outils MAN ; l'interdiction de travailler en avalant et la nécessité des butées pour les toupillages arretés.

Ce qui compte ce n'est pas la profondeur d'usinage (là c'est la puissance de la machine et la dureté du bois qui vont autoriser ou non le travail en une seule passe et valider la vitesse d'avancement) mais l'épaisseur du copeau qui doit etre suffisamment fine pour que la pièce ne soit pas happée (avec les mains qui la tienne) par la machine
En comparant avec le ciseau à bois, si tu cherche à faire un copeau très fin tu peux y arriver sans fixer ta pièce, si tu veux un gros il te faut une bonne presse ; dans le cas de la toupie la presse c'est tes mains ; et le limiteur de passe va régler l'épaisseur du copeau à une finesse telle que l'effort de maintien corresponde aux réglementations au moment de la mise sur le marché du PO

Bien sur l'expérience et les abaques d'usinage permettent de prévoir "instinctivement" comment usiner sa pièce sans la faire éjecter (pendant des décennies tout le monde bossait comme ça sur des toupies à lumière) ; mais un noeud mal placé, une seconde d'inattention, d'énervement ou de coup de chaud et hop... chachouille de doigts. Autant mettre toutes les chances de son coté.

Et attention, comme je disais la mention MAN ou MEC est apposée lors de la mise sur le marché du porte outil, or un MAN d'il y a 20 ans peut etre un MEC aujourd'hui (meme si avec l'anglicisation ambiante ce serait plutot l'inverse).

Mis à jour
cocoM

Le "vrai" shou sugi ban consiste à bruler complètement une légère épaisseur de bois (soit suivant la méthode proposée par Ybos soit avec un chalumeau) avant de retirer la partie la plus friable du charbon à l'aide d'une brosse (nylon ou métal pour accentuer plus ou moins le contraste entre bois d'été et de printemps). Ensuite quelques couches d'huiles (de lin, de tung, peu importe à mon sens il faut faire des tests et voir laquelle a un rendu visuel qui te plais) permettent d'avoir un rendu au top et complète la protection qui vient de la transformation de la lignine et de la cellulose en charbon (les bebettes et les champignons sont pas des grands fans des barbeuc).
Par contre, des reliefs se céent lorsque l'on retire le charbon, et ces reliefs sur une surface horizontale comme un plateau de table risquent de poser problème en extérieur (si la table n'est pas abritée de la pluie ou de la rosée). L'eau risque de stagner, ternir les reliefs bas très vite, et à terme finir par imbiber le bois avec toutes les conséquences habituelles (mouvement du bois, pourrissement...) En intérieur c'est moins problématique sauf si tes invités renversent un verre de rouge, la tache dans le fond de relief restera à vie. Et puis c'est un bon ramasse poussière.

Par contre un simple passage rapide à la flamme pour noircir le bois tendre sans le faire bruler et sans toucher au bois d'été dur peut faire l'affaire. Le rendu est différent (dans le shou sugi ban le bois d'été reste noir et en relief positif ; dans la 2e technique c'est le bois de printemps qui est noir, et en relief quasi nul). L'avantage c'est que tu garde une surface très peu accidentée, donc moins de stagnation d'eau.

Dernier point de vigilance par rapport à ton projet : tu parles de bois de palette, mais la palette n'est pas une essence reconnue par l'ONF, il existe des palettes en peuplier, en pin des landes, en mélèse, en chene etc... Les techniques de bois brulé n'ont pas du tout le meme rendu suivant l'essence. Perso j'aime bien le rendu sur les résineux, par contre sur les feuillus je n'ai jamais été satisfait sauf à chercher un noir uni avec le hetre (j'ai fais des essais sur du frene, du chene, du hetre pour les feuillus, cèdre, mélèse, douglas et thuya pour les résineux). Une seule solution : faire des tests sur tes chutes.

cocoM

Perso j'aurais fait différemment (changer les 2 lattes complètes, ça me parait moins long en temps de main d'oeuvre que la méthode choisie, et ça assure un mouvement du bois uniforme sur toute la longueur de la latte donc une réparation plus durable).

Si j'ai de quoi faire en bois dans mes chutes un petit forfait 5€ symbolique.
Un petit forfait consommables de 5€ aussi (usure des lames de RD, scie, outils de toupie, papier de verre)

En main d'oeuvre :
_20-30min pour démonter le volet et retirer les lattes bouffées.
_Choix du bois dans mon stock/débit/corroyage : 30 min
_Choix de l'outil de toupie ou défonceuse/pointage/usinage : 30 min si j'ai un outil adapté, 1h si je dois jouer avec plusieurs.
_Préparation de la finition (montage à blanc/démontage/ponçage) 45min
_Assemblage définitif : 30 min.
Soit entre 2h35 et 3h15 pour le travail du bois, si c'est un très bon client/pote je dirais 2h30 ; sinon je compte 3h.

Ensuite la peinture : perso j'aurais proposé au client trois possibilités :
_il fait tout lui meme
_je ne fait qu'une couche d'impression en blanc sur tout le volet (parce que du blanc j'en ai en stock)
_Peinture complète.
Dans le premier cas c'est gratuit (forcément)
Dans le 2e cas je rajoute 1h (ponçage d'accroche du reste du volet, dépoussiérage et peinture) et je monte le forfait matériel/consommable à 10€ au lieu de 5.
Dans le 3e cas je rajoute 2h (1h idem à la version 2, plus 1h pour identification de teinte, commande auprès du fournisseur et 2 couches de peinture) et le prix du pot de peinture mélangé et acheté spécialement pour l'occasion (20€ à vu de nez pour 2 couches sur ce volet).

En taux horaire, je dirais 40€.
Soit : Matériel 10 ; 15 ou 35€ selon les cas. Main d'oeuvre menuiserie 3h soit 120€. Main d'oeuvre peinture, 1 ou 2h selon les cas soit 40 ou 80€.
Total : 130€ pour l'option menuiserie uniquement ; 235€ pour l'option tout compris ; 175€ pour l'entre deux.

Je ne suis pas pro mais en cours de réflexion pour m'installer en micro-entreprise, du coup merci pour cet exercice de prise de devis. Bien sur sur le devis présenté au client, je ne mettrais que les trois dernière lignes de ce looonnnng texte de réflexion.

par Oak il y a 5 ans
cocoM

J'ai la mafell kss 60, surement hors budget vu les modèles que tu as cité mais il existe aussi la kss 50 qui est un poil plus accessible.
Je l'utilise principalement pour du débit de panneaux, ou de la coupe d'onglet sur chantier (bien moins encombrant qu'une radiale, et moins de risque de la dérégler dans les transport) mais aussi occasionnellement comme scie circulaire classique.
Les rails sont de super bonne facture, et pour l'instant je ne trouve rien à redire sur la scie en elle meme.
Si j'avais eu cette scie depuis le début, je pense que je ne serais meme pas passé par la case radiale, avec une scie sous table en complément pour les coupes d'onglet en série ou les petites pièces avec un chariot, la radiale devient superflue.