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511 réponses
cocoM

Je ne connaissais pas non plus, les panneaux de paille compressés sont utilisés en scandinavie depuis longtemps (années 30) mais plutôt pour les cloisons, pas vraiment en remplacement de panneaux de mdf ou autre.

Une petite recherche sur le terme "ecoboard" amène vers ce fabricant chinois. Je ne sais pas s'ils ont l'exclusivité sur le nom écoboard, pas sur parce que c'est aussi un terme utilisé pour des planches de surfs, et y'a pas le petit logo marque déposée. Il y a un court résumé des tests de résistances, et des présentations d'utilisation dans de la fabrication de meubles, donc à priori si c'est bien le même produit ça doit être utilisable pour tes projets.
Quand à avoir des retours sur ce genre de produit, ça m'intéresse grandement.

par dneis il y a 4 ans
cocoM
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Sans regarder les outils :
1 ciseau à bois largeur 26
2 bédane trop rond, ça doit être une mèche mais j'y connais rien en mèche manuelle
3 carottes rapées
4 les mêmes carottes au williwaller 2006
5 scie (travers fil)
6 rabot de paume
7 guimbarde
8 rifflard
9 bouvet ou tout autre rabot à rainure avec évacuation du copeau par le côté
10 grosse mèche (celle avec une vis, je sais pas comment elle s'appelle)
11 rabot N°4
12 rabot N°5
13 varlope racloir (bien affilé)
14 plane

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par RenS il y a 4 ans
cocoM

Je suis installé depuis décembre, ça a aussi été un gros questionnement
Perso je n'ai pas pris de décennale, mon activité principale étant la fabrication de petites pièces à vendre sur les marchés touristiques ou festivals (ça pue un peu pour cette année d'ailleurs)
RC pro + atelier 50m2 avec 25000€ d'outillage et stock + assurance mobilité avec 4000€ de matériel déplacé sur chantier ou marché (y compris vol à l'étalage) j'en ai pour un peu plus de 600€ pour l'année avec la MAAF.

par glaude il y a 4 ans
cocoM
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Comme pour n'importe quelle finition, une bonne préparation du support est indispensable.

Selon l'effet recherché tu peux avoir un aspect mat à satiné : fini poncé au grain 120 très mat, à 320 effet satiné. Pour un effet satiné, faire relever les fibres à l'eau et égrainer ensuite est indispensable ; pour le mat c'est pas nécessaire.

Dépoussiérage/dégraissage à l'alcool avant d'appliquer l'huile.

Tu peux appliquer une première coucher d'huile "à chaud" : tu fais chauffer ton huile au bain marie à 60° avant de l'appliquer, ainsi elle est plus fluide et rentre plus en profondeur dans le bois.

Le plus important : bien essuyer le surplus entre deux couches : tu "graisse" bien à l'application, tu laisses imbiber 20/30min puis tu essuies vigoureusement le surplus, tu peux même passer vite fait ton décapeur thermique pour faire resuer ton bois pour essuyer encore plus de surplus. Tu ne dois absolument pas avoir de sensation grasse au toucher même si l'huile n'est pas encore sèche.

Après 2-3 couches, un lustrage au feutre permet d'atteindre un satiné proche du brillant si la préparation est à la hauteur.

Mis à jour
par woodwood il y a 4 ans
cocoM
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1: ne pas sauter de grain (40-60-80-100-120-150-180-240-320 etc...). Sur certains bois tu peux arriver à un très bon résultat en sautant le 100 et le 150, mais ce sera au prix d'une grosse consommation de 120 et 180, pas sur que le calcul soit gagnant.

2: poncer autant que possible dans le sens du fil, les éventuels traces seront confondues avec le fil du bois et passeront inaperçues.

3: passer un coup de balais/soufflette/chiffon entre chaque grain (des grains abrasifs de ton grain précédent ont pu se décoller du papier) ; et observer le résultat en lumière rasante pour détecter les défauts avant de passer au grain suivant.

4: avant le grain final (qui dépend de la finition que tu vas appliquer ensuite), faire relever les fibres avec de l'eau (pulvérisateur, éponge, peu importe la méthode) et laisser sécher avant de faire le ponçage final.

5: finir par dépoussiérer à l'alcool à vernir qui va en plus dégraisser le bois, et là tu as une surface prête pour ta finition.

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par LEX il y a 4 ans
cocoM

Sur le principe, je suis d'accord avec les commentaires précédents : les propriétés mécaniques sont modifiées, donc la stabilité future de l'ouvrage est menacée. Pour un projet destiné à être vendu, je changerais de bois. Par contre pour un projet perso, en ayant conscience des risques et en les acceptant, je préfère l'utiliser que de le mettre dans la cheminée.

Aux vues des photos, je pense que tu peux en utiliser une bonne partie quand même : tu as des planches qui semblent exemptes d'échauffure ; en les réservant pour le piétement et les pourtours du plateau ; et en établissant ton plateau de manière à avoir les zones les plus échauffées en contre-parement ; tu devrais avoir un résultat assez stable pour travailler.

Il faut bien réfléchir à la manière dont tu vas utiliser ton plateau, certaines zones seront très sollicitées (autour de la presse, près du valet...) et il faudra y privilégier du bois sain ; d'autres seront moins importantes (bac à outil, partie arrière, etc...) et pourront s'accommoder d'un bois moins résistant. Tu auras aussi certainement besoin de replanir ton plateau régulièrement, car bois échauffé et "sain" vont réagir différemment à l'humidité, donc ton plateau risque d'avoir des désaffleurs saisonniers.

cocoM

Quels types d'assemblages veux tu faire ? Uniquement des montants/traverses à angle droit, ou des assemblages avec des angles plus exotiques ?

Dans le premier cas, la mortaiseuse est à mon sens plus adaptée : moins de consommables (même si les dominos peuvent être fabriqués maison) et uniformité du bois (ce qui veut dire qu'il se déformera de manière uniforme contrairement à ce qui serait le cas avec un domino en bois dur dans un assemblage de sapin par ex). Tu peux faire des tenons très larges qui seront je pense plus costaud qu'une multiplication de dominos. Tu as aussi la possiblité de faire des tenons débouchants ce qui ouvre les blocages par clé ; et également de faire un blocage par chevillage.
Par contre encombrement important à prévoir, et temps de réglage non négligeable qui peut être rebutant si tu n'a qu'une ou deux mortaises à faire.

La domino sera plus facile d'utilisation et plus versatile : angles bizaroïdes, renforts de plateaux en remplacement d'un bouvetage ou de lamellos etc...
Par contre il faut acheter des dominos ou avoir le matériel pour les fabriquer, deux machines si tu veux pouvoir faire petits et gros assemblages...

Concernant la précision, la domino sera plus rapidement précise sur un assemblage unique, par contre sur une série je pense que la mortaiseuse prend la tête : une fois ta bécane réglée, toutes tes mortaises vont être rigoureusement identiques ; alors que sur la domino, tu as l'épaisseur de ton trais de crayon + les erreurs de visée comme marge d'erreur, sans compter qu'après 30 trous tu peux facilement perdre de la concentration et mal tenir la machine au moment de faire le 31e.

cocoM

Perso pas de pansements dans ma trousse, je les remplace par des stéristrips si c'est vraiment bien coupé (juste pour tenir le tout avant d'arriver chez un conturier), compresses stériles et élastoplaste pour les blessures plus bénignes. L'élastoplaste Il me semble que c'est une marque, pour ceux qui connaissent pas c'est une bande avec structure nid d'abeille qui s'agrippe sur elle même, c'est élastique donc ça n'empêche pas de continuer à bosser après, y'a pas de colle ce qui évite la poussière collée sous le pansement qui est à mon sens un risque d'infection.
A part ça une pince à compresse (qui permet de placer une compresse en tenant la pince avec la bouche et d'avoir une pseudo troisième main pour s'occuper des bobos de la main qui est abîmée).
Une pince à épiler
Beaucoup de liquide physiologique : quelques pipettes pour les "poussières" dans l'oeil ; un flacon 100ml avec oeillère pour les copeaux ou projections chimiques dans l'oeil ; et une bouteille 250ml pour le nettoyage des plaies.
Flacon de désinfectant en spray
Portable avec fonction protection du travailleur isolé en gros ça permet d'appeler de l'aide sans avoir à trop réfléchir, on peut même le configurer avec l'accéléromètre du téléphone pour qu'il détecte les chutes.
La glace est relativement proche, par contre il faudrait que je rajoute une compresse hémostatique, et que je fasse mon recyclage PSC1 (le temps passe vite, déjà 4 ans).

par Gaetan62 il y a 4 ans
cocoM

Il faut jouer avec la rotation de la pièce et travailler l'ambidextrie pour réussir à travailler en couchant les fibres au maximum ; bosser son affûtage encore et encore (démorfilage au cuir indispensable) ; et finir par des micros-copeaux. L'outil à utiliser dépend entièrement de la forme : fermoir droit pour les arêtes en angle net, gouge n°x... pour les courbes (x= la courbe voulue).
L'objectif : ne pas avoir besoin de retoucher ta pièce une fois la sculpture finie.

Attention : travailler avec des mains propres, une sculpture ça se tâche, surtout si c'est un bois tannique.

Et un petit détail : je vois que tu as collé ton modèle sur la pièce, je pense qu'il vaut mieux le reporter (utilise un carbone ou un calque si besoin) car le modèle collé t'empêche de "lire" le fil du bois, alors que c'est lui qui doit orienter la manière dont tu vas utiliser ta gouge.

cocoM

Si j'ai bien compris tu veux utiliser le tronc comme une "tranche" géante pour l'utiliser comme table ?
Si c'est bien ça j'y vois plusieurs inconvénients : déjà le risque (ou plutôt la certitude) que le tronc fende en séchant (comme n'importe quelle tranche complète). Ensuite pour une utilisation en extérieur, le fait d'avoir un ouvrage où le fil du bois est vertical va créer des problèmes avec l'humidité : par capillarité l'eau va remonter du sol en suivant les canaux habituellement utilisés par la sève ; tandis que la pluie et la rosée vont faire le chemin inverse du haut vers le bas. Enfin, le noyer n'est pas réputé pour sa bonne tenue en extérieur.

cocoM
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Pensez-vous que la Xylothèque de L'Air du Bois a du sens ?

Oui bien sur, quitte à respirer l'air d'un bois, autant avoir les outils pour savoir lequel c'est.

Qu'est-ce que vous trouvez bien OU pas bien dans cette Xylothèque ?
J'aime :
_La possibilité d'avoir des photos aussi bien pour l'identification en menuiserie (bois travaillé) que pour l'arboriste (arbre vivant)
_le catalogue interactif qui permet en jouant avec les filtres de chercher un bois en faisant varier les critères d'une fois à l'autre
_le côté collaboratif (c'est global à tout le site, mais ça fait du bien de le dire)

J'aime moins :
_La page par défaut de la xylothèque : arriver sur une page sans filtre appliqué, avec un classement par date ne me paraît pas pertinent dans ce cas.
_le côté aléatoire de la présence ou non de photos qui nous intéressent (ça c'est vraiment lié à l'adoption de l'outil par les utilisateurs)

Pourquoi l'utilisez-vous ? OU Pourquoi ne l'utilisez-vous pas ?

Je l'utilise pour identifier certains bois de récup que je peux avoir (en complément avec d'autres sources), j'aimerais l'utiliser pour une identification d'arbre sur pied quand un voisin me propose d'abattre un arbre malade mais je ne le fais pas par manque d'approvisionnement de l'outil en infos.
Comme je ne l'utilise pas assez en tant que "client", je n'ai pas le réflex de l'alimenter car c'est finalement une page d' l'ADB sur laquelle je ne passe quasiment jamais (et d'autant plus depuis qu'elle est "cachée" dans les catalogues, même si pour l'ensemble du site je trouve ce classement positif, pas sur que la xylothèque en sorte grandie). Et puis comme je n'aime pas trouver des pages incomplètes, je n'ai pas envie de créer une page incomplète, résultat je ne prends jamais le temps d'en créer une et je participe moi même au manque d'alimentation que je regrette par ailleurs (qui a dit paradoxe ?)

Que vous manque-t-il dans cette Xylothèque ?

Une page d'accueil plus "friendly" avec un classement alphabétique par défaut, et une possibilité de filtrer par menu déroulant plutôt que par recherche (par exemple sur les provenances, si on tape "france" ou trouve pas grand choses, alors qu'en tapant "europe" on a tous les bois français ; pour un nouvel arrivant devoir faire une recherche de provenance sans être un peu guidé doit être bien décourageant).

Dans cet ordre d'idée, quand on remplis la fiche, avoir une liste de propositions pour la provenance plutôt qu'un fonctionnement par tag, ainsi on pourra supprimer l'existence de doublons (USA et Etats unis). Ce serait aussi bien de pouvoir donner une provenance fine et une plus large, par exemple pour le cade, pouvoir dire qu'il est présent en europe, en france, dans la région paca. Ainsi il apparaitrait dans une recherche sur les bois européens, sur les bois français etc...

Avoir des renvois vers d'autres sources internet (cirad, etc...) pour qua l'ADB puisse devenir une porte d'entrée vers des infos plus approfondies disponibles ailleurs.

Un raccourci qui renverrais vers la page créations en affichant toutes les créations qui citent cette essence dans les bois utilisés (ça permet d'augmenter en instantané le nombre de visuels disponibles pour cette essence)

La possibilité de mettre un lien vers une/des page(s) fournisseur sur l'ADB

Un mode "contributeur" qui ferait apparaître un code couleur sur les différentes fiches pour savoir où elles en sont de leur alimentation pourrait m'encourager à compléter des fiches existantes (par ex rouge il n'y a que le bois de fil et le nom ; orange il y a 30% des champs qui sont remplis ; jaune il y a entre 33 et 66% vert plus de 66% ; et arc en ciel si 100% des champs sont remplis.

Qui peut-être, pour vous, contributeur de cette Xylothèque ?

N'importe qui, mais je pense que des scieurs, négociants en bois, élagueurs etc... peuvent être des contributeurs intéressants. En créant un petit flyer d'appel à participation qu'on puisse imprimer, en en glissant un dans la poche de notre fournisseur de bois à chaque visite il peut y avoir quelques contributeurs potentiels intéressants.

Mis à jour
par Yope il y a 4 ans
cocoM

l'iroko est un bois gras, l'as tu dégraissé en plus de le dépoussiérer avant d'appliquer la résine ?

cocoM
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S'il est destiné au broyage, tu peux le négocier au tarif du frêne de chauffe, ça varie selon les régions, regarde les annonces du BC vers chez toi pour te faire une idée.

Pour info par chez moi (bord de Loire entre Nantes et Angers) : sur pied c'est environ 20€ le stère ; coupé en 1m et non livré c'est autour de 40/45€ ; et coupé en 50cm livré c'est 50/60 balles.

Ensuite reste à gérer le transport et la coupe, si tu as un scieur avec une scie mobile près de chez toi renseigne toi sur ses tarifs, ça peut parfois être moins cher que de transporter le bois entier. Le transport des planches une fois coupées sera beaucoup plus facile et peut s'envisager sans poids lourd, alors que les grumes nécessitent PL ou tracteur.

A priori aucun rapport entre les défauts que tu nous montre en photo et la Chalarose (et même si c'était le cas pas de problème, la chalarose n'altère pas les qualité mécanique du bois d'oeuvre en dehors des zones vraiment touchées par le champignon)
Les troncs avec le coeur plus foncé sont simplement des "frênes oliviers", un phénomène qui n'est pas lié à une quelconque altération du bois ; pas de problème pour ceux là.
Par contre le coeur creux a été habité, tu peux les couper quand même mais il serait sage de les faire sécher loin des autres.

Mis à jour
cocoM

L'alcool fin à vernir est de l'alcool éthylique à 95 ou 99% dénaturé par ajout d'autres alcool selon les marques (alcool isopropylique et méthyléthylcétone par exemple pour laverdure).

L'alcool à brûler est à 90/95% et dénaturé au méthanol, qui est plus toxique que les dénaturants utilisés dans l'alcool à vernir. Les alcools industriels à 95% sont dénaturés par différents composés variant selon le fabricant et l'utilisation prévue. (liste de dénaturants non exhaustive )

Je ne sais pas à quel point le changement de dénaturant peut modifier la réaction chimique entre ton éclaircisseur et l'alcool, mais je partirais plutôt sur de l'alcool industriel à 95° ou en dernier recours de l'alcool à brûler. L'acétone n'a rien à voir chimiquement, donc à éviter pour ce cas.

cocoM

Il nous faudrait plus de précisions sur le vernis (marque, si possible photo de l'étiquette) et la méthode d'application (pinceau, rouleau, pulvérisation...).
Moi ces petite gouttelettes m'évoquent un résultat que j'ai eu en faisant un vernis au pistolet sans avoir de filtre en sortie de compresseur. Des petites gouttes d'eau qui ont stagné dans la cuve pendant quelques jours/mois/années et qui ont eu une mauvaise interaction avec le vernis.

Sinon ça peut être des gouttes d'huile/solvant qui ont imprégné ton bois avant le vernis (une machine qui fuit, un établi mal nettoyé, un stockage inadéquat chez toi ou chez le fournisseur...). Un nettoyage du bois à l'alcool à vernir avant la finition pourrait y remédier (et si ça vient d'une machine, il peut être bon de détecter la fuite pour y remédier).

cocoM

Pour ce qui est du combiné, lurem a une bonne réputation, j'ai fait une partie de ma formation avec un C410 ; et c'est une très bonne bécane, à condition qu'elle soit bien réglée (surtout la partie R/D pour laquelle il n'y avait pas de système de réglage de la table de raboteuse, et la table de sortie dégau était très galère à régler).

Comme tu le dis, qui dit combiné dit beaucoup de place, car en plus de l'empâtement au sol, tu dois pouvoir tourner autour de ta machine. En ce sens, une largeur de 2m comme dans ton cas me parait fermer la porte aux machines combinées (ou alors avec R/D d'un côté, et toupie/scie de l'autre).

L'idée de l'atelier container m'avait déjà traversée l'esprit, mais la largeur intérieur de 2m m'avait refroidi. Du coup j'étais parti sur l'idée de 2 containers côte à côte ouverts sur les côtés pour avoir 4m de largeur ce qui est beaucoup plus confortable. Au final le préau que tu envisage sur ton plan ferait un peu la même chose, mais à mon sens il faudrait que tu fasse des portes latérale plus grandes (quasiment toute la largeur du container, en gardant juste un poteau à chaque bout et en mettant une bonne traverse haute pour garantir la tenue de la structure) et si possible coulissantes pour pouvoir complètement dégager ton espace de travail. Autre inconvénient du container : la lumière, un puit de lumière ferait le plus grand bien.