
Perso pour une finition "miroir" je fais ponçage au 240, de l'eau pour relever les fibres, un coup de 320 rapide, bouche pore (sanding sealer c'est le terme anglais pour bouche pore si je ne m'abuse), re doup de 320, vernis (gomme laque parce que j'aime bien) avec égrenage au 600 entre chaque couche puis polissage avec un mélange de cire d'abeille/huile de lin/poudre de ponce.
Le polissage correspond à ce qui se fait avec des produits type hampshire seen. J'ai lu qu'on pouvait remplacer la poudre de ponce par de la terre de diatomée mais jamais testé.

Il faut avoir un pistolet adapté à l'épaisseur de ton huile et ça se fait sans problème, mais le nettoyage du pistolet ensuite est un peu galère.
Pour l'avoir testé, je trouve que c'est une méthode intéressante pour des grandes surfaces non planes (barrière ajourée) mais pour les surfaces planes (volets tradi, portes...) je préfère l'application au chiffon, ça va aussi vite mais en silence, et y'a pas de nettoyage derrière.

C'est plutôt modeste mais assez formateur : mon premier chantier en tant qu'autoentrepreneur : réfection de volets à persiennes.
A la rédaction du devis je gratte un peu la peinture pour voir dans quel état est le bois en dessous, je me dis qu'il y a moyen de ne changer que quelques montants et traverses et de conserver le reste, je fais mon devis en prenant des "bonnes" marges de manoeuvre car on m'a prévenu qu'en rénovation il y a toujours des surprises, mais même avertis je n'en ai pas valu deux :
Après signature du devis et réception de l'accompte, le confinement tombe, le client est "à risque" et ne veux pas de passage chez lui, donc je ronge mon frein pendant 3 mois. Une fois libéré, j'attaque le chantier :
première déconvenue : je descend les volets avec toutes les précautions nécessaires, ils arrivent au sol sans encombre, je laisse tomber par la fenêtre la corde qui m'a servi à assurer la descente des volets et paf, elle accroche la lumière extérieure et entraîne le globe avec elle. 20 min pour trouver le bon fusible sur le tableau et remettre en sécurité la lampe, plus le coup de fil pour qu'un électricien vienne réparer ça, j'ai pas commencé le chantier et j'ai déjà deux heures de retard sur le planning (et un électricien à payer).
deuxième déconvenue : arrivée à l'atelier, je commence à démonter le premier volet, et là surprise : les tenon mortaises sont chevillés avec des chevilles métal crantées, j'avais prévu 1h de démontage par volet, finalement j'en passe 3.
troisième déconvenue : l'angle des persiennes est supérieur à la capacité d'inclinaison de ma scie sous table, je me décide à faire une fausse table pour atteindre l'angle souhaité, mais la précision en pâtit un peu, entre le boulot de finition en plus et le temps de fabrication de la fausse table, j'ai encore quelques heures de travail gratuit à mon compte.
quatrième déconvenue : le travail d'atelier est fini, je cale un RDV pour venir remonter les volets, j'installe ceux du RDC sans problème, je sors mon échelle pour ceux de l'étage et paf, un orage. Impossible de monter en sécurité, et la nuit approche, je suis obligé de laisser le matériel sur place et de revenir le lendemain. Un déplacement en plus qui n'apparaîtra pas sur la facture.
Au final dans toutes ce déconvenues la bonne nouvelle : la cliente reste très contente du résultat, elle a même insisté pour que je ne paye pas l'électricien. Malgré mes heures "gratuites", le bilan reste positif car je suis en première année d'exercice et grâce à l'ACCRE mes cotisations sociales restent faibles.
Et la leçon : mettre une mention "devis sous réserve de démontage", ça n'évite pas toutes les déconvenue, mais ça peut en sauver certaines.

Pour les outils à batterie, rester sur une même marque peut être intéressant, car les batteries sont compatibles d'un outil à l'autre mais pas d'une marque à l'autre.
Perso chez moi c'est dewalt en batterie 18v, et en filaire il y a du makita du Dewalt, du hitachi, du maffel... bref c'est multicolore.
J'ai démarré avec Dewalt sur batterie, parce que j'ai choppé un lot très intéressant à une vente aux enchères (120€ pour 3 visseuses et 3 batteries à une époque ou chaque batterie coûtait encore 90€). Si j'avais du partir sur du neuf j'aurais sûrement pris makita parce que j'en trouve partout à côté de chez moi en magasin physique. Ainsi si j'ai un outil qui lache et que j'en ai urgemment besoin (ce qui est toujours le cas quand ça tombe en panne), j'ai le choix entre 3 magasins physiques à moins de 20kms qui peuvent prendre ma machine en SAV et m'en louer/prêter une de remplacement.


C'est toujours une question délicate.
Ma règle perso, mais qui n'engage que moi : si c'est gratuit, c'est seulement un coup de main, autrement dit je ne bosse jamais seul et la personne que j'aide est capable de participer au chantier et d'y être vraiment utile ; et j'ai la garantie de ne rien dépenser de ma poche.
Tous les autres cas, c'est vraiment à la tête du client : si je sais qu'avec untel je pourrais avoir un retour de politesse dans 1-2 ou 5 ans, je fais bien plus facilement un geste que pour le tonton au 2e degré que je ne vois qu'une fois par an à noël. Ou encore le geste ne sera pas le même pour mon pote cadre qui bosse 80h par semaine et n'a même pas assez de temps libre pour dépenser tout ce qu'il gagne que pour mon cousin étudiant qui commence à compter le nombre de pâtes qu'il mets dans la casserole dès le 5 du mois.
Et peu importe la manière dont tu fonctionne, le plus important c'est de l'assumer et d'être au clair avec toi même.

Selon la finition à appliquer ensuite, soit chiffon humide, puis égrennage et chiffon microfibre pour finir (si finition à l'eau) ; soit chiffon avec un pschit d'alcool à vernir (si finition sans eau).
La soufflette, ça laisse la poussière en l'air, et elle se redépose sur le bois, donc pas top pour préparer avant finition.

J'en ai plusieurs :
_un peltor protac3 (3M) actif que j'ai acheté en formation pour pouvoir le garder en permanence, communiquer tout en le portant, et ne pas souffrir quand quelqu'un allume une machine sans prévenir. Il me sert maintenant principalement en chantier ou quand je bosse en entreprise, ou à l'atelier mais sans mettre les haut parleurs en route.
_un peltor optime3 (3M aussi) qui me sert dès que je suis tout seul à l'atelier, en cas de venue d'un copain etc...
Le casque actif est pratique dans certaines situations, et plutôt bluffant à la première utilisation. En revanche il émet un petit bruit de fond (comme une radio hors fréquence), pas douloureux mais qui me fait péter un câble si trop prolongé.
Dès que j'ai en plus les lunettes de protection, je préfère l'optim3 car l'arceau est un peu moins serré et du coup l'élastique des lunettes fait moins mal aux tempes.
Je mets des casques même en travaillant à la main, le bruit d'un coup de maillet sur un manche de ciseau ça envoie plus qu'on l'imagine, on frôle les 95 DB.

Il faudrait privilégier un bois naturellement classe 3, car avec la vasque il y aura inévitablement des projections. En noyant le bois sous une couche de résine, du vernis polyuréthane ou autre, ça durera un temps, mais avec le bord naturel ça me paraît impossible de garantir l'absence d'infiltrations, et en plus les finitions de ce type font très "plastique" et jurent avec l'effet brut recherché.
En bois locaux ça peut être du chataîgner, du chêne, du robinier (faux acacia). En bois exotique, tous ceux qui servent à faire de la terrasse, par contre ça risque d'être compliqué de trouver une planche d'exotique brut en tant que particulier.
Pour ce qui est de trouver la planche, certaines scieries vendent aux particuliers, par contre le morceau à trouver est une perle rare : pour éviter les déformations sur ce type de projet, il faudrait utiliser du bois de quartier, c'est à dire trouver le plateau le plus près possible du coeur de l'arbre, et le couper en deux en suivant le coeur pour que tous les cernes de croissance aient la même orientation (à défaut, avec les variations d'humidité le plateau va soit faire un U soit se bomber au centre). Pour un plan de 50cm de profondeur, il faudrait donc un arbre de 1m de diamètre, autant dire que ça ne se trouve pas sous le sabot d'un cheval. Encore une fois avec des résines on peut palier à ce problème un temps, mais dans 20 ans je doute de la pérénité de l'installation.
Pour la fixation, il y a plein de solutions possibles, selon l'outillage disponible, l'équerrage des murs etc... Sur un projet semblable, avec trois murs bien d'équerre, j'ai fait des rainures sur les tranches de ma planche, fixé au mur des baguettes correspondant à mes rainures, et encastré la planche comme un tiroir.

Effectivement à part des petits gabarits de forme, des cales ou des équerres pour un meuble d'atelier, pas grand chose à faire avec ce genre de déchets.
Les brûler n'est une bonne idée ni pour l'environnement ni pour toi : même les OSB "propres" avec peu de formaldéhydes contiennent d'autant plus de produits chimiques qu'ils sont résistants à l'humidité ou classés contre les incendies. En les brûlant on rejette dans l'atmosphère pas mal de fumées chargées en microparticules pas très sympathiques, et ces fumées sont plus "lourdes" que la moyenne ce qui augmente le risque de mauvais fonctionnement du poële, l'encrassement du conduit etc...
En les emmenant en déchetterie, selon les filières disponibles dans ta région il y a plusieurs "réutilisations" possibles : soit il y a un tri fait entre bois massif et dérivés/bois peints, dans ce cas là le massif est transformé en granules pour poëles et les dérivés sont soit broyés pour redevenir de l'aglo bas de gamme, soit brûlés directement en centrale thermique équipée de filtres.
S'il n'y a pas de tri entre les deux, généralement tout fini en centrale thermique.
Certains centres de tri vont un peu plus loin et revendent ce qui est encore exploitable (généralement les déchetteries destinées au pros) ou ont un partenariat avec une recyclerie associative qui le fait pour eux.
S'il y a de bonnes chances pour que tes morceaux finissent brûlés car c'est la filière majoritaire en France, en centrale thermique il y aura au moins un système de combustion boosté pour avoir plus de rendement que dans ton poële domestique, et une filtration qui éliminera d'autant plus de particules nocives que la centrale est récente. Par contre les filtres des dites centrales finiront stockés comme "déchets ultimes" avant d'être enterrés quelque part.

En essayant de voir point par point :
_Le voile
qu'entends tu par voile ? Est-ce que le volant est "ovale" ou est-ce que le volant fait avancer et reculer le ruban ? Dans le premier cas c'est gênant car tes lames vont subir des contraintes pour lesquelles elles ne sont pas prévues, risquent de casser rapidement, et un volant ovale ne se rectifie pas comme ça.
Dans le deuxième cas il faut voir comment le volant est fixé sur l'axe de rotation pour éventuellement trouver une solution. J'avais un défaut similaire sur la mienne ou le volant s'emboîte sur l'axe par un cône mors, il a été presque supprimé en ajoutant une rondelle à la vis de serrage du volant qui a permis de l'enfoncer plus loin sur le cône.
_garniture du volant
Chaque scie a ses spécificités à ce niveau (volant rainuré, bombé etc...), mais il semblerait que ton volant ait bien une garniture, pas en liège c'est sur mais peut être en caoutchouc dur ? Si la garniture est propre, pas la peine de la changer, mais si elle a beaucoup d'éclats comme on en vois sur la première photo ça vaut le coût. Sur le choix entre caoutchouc ou liège pour le changement, je dirais que le liège est moins cher et plus facile à changer soi même, mais que le caoutchouc aura une plus grande durée de vie.
_tension de lame
ce que j'applique sans prétention académique : sur un ruban large pour refendre : guides lames relevés à fond, je tends jusqu'à ce que la lame ne se vrille pas plus que la moitié de sa largeur lorsque je la vrille à la main à mi-hauteur. Sur un ruban fin pour chantourner, je laisse un peu plus de mou (au feeling)
Le contre poids je n'en ai jamais vu, mais de toute façon à chaque changement de lame il faudra reprendre les réglages car aucun ruban ne fait la même longueur au mm près, la tension variera selon la largeur etc... Ca peut sûrement faire gagner du temps sur le positionnement de la lame avant le réglage fin de la tension.
_frein
je ne dirais pas qu'il est indispensable, mais c'est un plus pour le confort de l'utilisateur. Métal sur métal ça va faire du bruit, créer de l'échauffement, de l'usure... je mettrais du bois sans hésiter.
_la rouille
la rouille a l'air d'être vraiment en surface, WD40, paille de fer et huile de coude avant une petite pellicule de paraffine pour éviter de tâcher tes pièces.
_les guides
règles tous tes guides (latéraux et arrière) à +/-1mm de distance de ta lame, fais lui faire un tour à la main pour vérifier qu'à vide elle ne touche jamais les guides. Le guide arrière me sers de jauge pour savoir quand affûter mon ruban : en coupant une planche de hêtre de 40mm d'épais, si la lame recule et touche le guide arrière, c'est qu'il est temps d'affûter. S'il y a des étincelles, c'est que j'ai procrastiné et qu'il y a urgence.
_La précision
La précision en refente va être obtenue avec des rubans larges (35mm voir plus AMHA sur une scie à volant de 800). Un ruban bien préparé et vérifié (avoyage à 1,5x l'épaisseur de la lame, absence de voile, profondeur des dents régulières, pas adapté à l'épaisseur...), une pièce bien corroyée sur 2 faces et en y allant tranquillement tu dois pouvoir refendre 20cm de large en bois de pays sans problème ni préparation particulière si le moteur suis la cadence (je le fais sur ma SAR à volants de 700 avec un moteur 6CV). Si ta lame a une dérive naturelle, tu peux régler ton guide en fonction de cette dérive : sur une planche de 30mm d'épais par 1m de long bien corroyée traces une ligne au trusquin, coupes suivant cette ligne sans guide en y allant tout doucement pour avoir le plus de précision possible jusqu'à la moitié de la longueur, bloques la pièce en position sur la table et règles la dérive de ton guide // pour qu'il soit aligné avec ta pièce. Ensuite reprends ta coupe pour vérifier qu'elle suit toujours ta ligne de trusquin, et voilà ton guide bien réglé.

Pour moi le choix entre les deux versions va se jouer à la réflexion sur l'usage :
l'escalier balancé (bien réalisé) est bien plus agréable à l'oeil, plus "souple" lorsque l'on monte sans transporter de matériel, et plus intéressant à travailler si tu aimes les chantiers qui amènent un peu de défis. En revanche si cet escalier est amené à souvent être emprunté les bras bien chargés, à voir les usagers se croiser, à déménager des meubles ou objets lourds et encombrants... l'escalier droit avec palier sera plus pratique.

Le système de coulisse me semble bien pensé, attention avec le rail côté piétement à ce qu'il soit bien placé pour ne pas se remplir de poussières, graviers...
Par contre petite remarque générale : vu les photos il semble ne plus y avoir aucun meuble haut. Ca peut poser de gros problèmes de durée de vie de la caravane : la plupart sont conçues avec des placards hauts qui font office de contreventement et des colonnes judicieusement placées pour là encore amener de la stabilité dimensionnelle.
Si l'aménagement d'origine était dépourvu de ces éléments, tu es tombé sur une perle rare de caravane conçue avec une ossature autoporteuse, sinon il faut renforcer la structure au risque de voir l'ensemble se casser la figure dans 2 ans. Ca peut être deux arches en CP, une à l'avant et une à l'arrière ; des placard hauts prenant toute la largeur ; voir une simple rampe d'éclairage intégrée dans un coffre.

Le cuir est intéressant dans 2 cas : si tu sers ta pièce pour faire des finitions (ça évite de marquer la pièce), et si tu as une presse un peu faiblarde (ça augmente la friction des mors et la pièce glisse moins).
Pourquoi ne pas faire des mors rapportés avec du cuir que tu peux ajouter ou retirer de ta presse ? Comme ça tu as le meilleur des 2 mondes : des mors solides et bien alignés à l'établi pour les serrages d'usinage ; et des mors doux pour les finitions.

Pour refendre, il faut non seulement avoir la hauteur nécessaire sous le bras de la machine, mais aussi avoir le moteur qui suit derrière.
Pour du résineux tu devrais t'en sortir avec 2cv (1500w en 220v) si ta lame est fraîche d'affût, pour du frêne les 4cv sont un minimum AMHA (3000w en 220v). Attention en montant en puissance: même si c'est du monophasé il faudra modifier le tableau électrique et tirer une ligne spécifique (comme pour un four ou pour une machine à laver).
Sinon pour les machines d'occasion, il faut les voir tourner, vérifier l'état des garnitures de volant et l'alignement des volants, et si possible voir l'état de la graisse des roulements. Si ces 3 éléments sont bons, tu devrais t'en sortir sans avoir des frais supplémentaires, sinon il faut intégrer le coût de la remise en état.
Si les machines d'occasion sont vendues avec plusieurs lames, c'est plus : une lame neuve n'est pas donnée, affûter une lame de SAR prend 1 à 2h selon la taille et l'habitude, et il suffit d'avoir un tiers point à 15€, un étau en bois fait maison avec quelques chutes, et une pince à avoyer (5à 10€ sur un vide grenier). Faire resouder une lame si elle a cassé coûte environ 10€, donc toujours moins cher que d'en acheter une neuve, par contre une lame voilée demande une grande expertise pour être redressée (expertise que même les affûteurs n'ont malheureusement plus beaucoup).
Dernier élément à prendre en compte : la place. Entre une machine à volants de 500 et une de 350, ce n'est pas le même encombrement ; est-ce que la place sacrifiée pour avoir une capacité de coupe plus importante en vaut la chandelle ?
Bref ; si les machines proposées d'occase sont en parfait état, avec plusieurs lames, un moteur adapté à tes besoins, et que tu as la place ça peut valoir le coût (même si j'hallucine toujours de la surcôte des machines monophasées). Par contre si elles sont mal entretenues et/ou avec une seule lame le prix est trop élevé à mon goût.

Deux possibilités :
_le bois n'a pas eu de bouche pore avant le passage du vernis, du coup les zones plus poreuses du bois ont "aspiré" le vernis d'où ces "trous" en surface. Dans ce cas il faut considérer la couche actuelle comme un bouche pore, reponcer pour faire disparaître les bulles sans remettre le bois à nu, et remettre une seconde couche.
_le mélange et/ou la réaction des deux composants du vernis se sont mal faits pour l'une ou l'autre raison (spray pas assez secoué, qui a pris le gel, le soleil etc... résidus gras/basiques/acides sur le bois qui ont mal réagi avec le vernis...). Bien vérifier si tu as respecté les préconisations d'usage du fabricant en terme d'utilisation du vernis et préparation du support, et refaire un essai sur un autre morceau de bois en respectant à la lettre les préconisations, si le résultat est le même c'est un problème de stockage, sinon tu sais comment faire pour obtenir un résultat impécable au deuxième essais.


J'ai la petite soeur à la maison (en volant de 700), y'a le même ED sur un pièce et un gros marquage établissement de Dieppe, donc je penses que tu es sur la bonne piste en cherchant du côté de vandeuvre.
Sur le site de l'amical vendeuvre on trouve une SAR qui ressemble beaucoup à la tienne :par là
Il te manque un bout de plateau (à gauche de la machine) qui est normalement percé de deux trous permettant d'installer le guide parallèle.
A ta place je retirerais les capuchons pour vérifier l'état de la graisse des roulements, si elle est très chargée il y a de bonnes chances pour que les roulements ne durent plus très longtemps. Si c'est la même chose que la mienne, à l'origine il y avait un "joint" qui permettait de mettre les roulements en bain d'huile, comme ces joints ont séchés depuis des lustres, l'huile ne tient plus et il faut la remplacer par de la graisse (graisse pour roulements agricoles comme suggéré par sylvainlefrancomtois )