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479 réponses
par Alban il y a 3 ans
cocoM

Les machines plus anciennes sont généralement plus "entretenables", les roulements sont plus accessibles, la mécanique plus simple, les courroies standard...
Comme le dit MauriceAub elles décotent moins ;
Et pour finir sur ton dilemme : les (bonnes) lames ça coûte cher ; et en avoir un bon paquet pour ne pas se tourner les pouces en attendant l'affûteur c'est un confort non négligeable (sauf à l'affûter soi même, mais ça demande un peu de matériel et de patience).

Il faudrait voir l'état de chaque machine, mais à niveau d'entretien égal la kity aurait ma préférence.

cocoM
Meilleure réponse

Le top c'est effectivement le transpalette, puis soit une camionnette avec hayon (la plupart de camions de loc ont un hayon pouvant lever 700kg) ; soit une remorque porte voiture avec treuil et rampes intégrées (mais si tu n'as pas d'attelage...)

Pour lever le combiné un cric de voiture et un jeu de cales permettra toujours de trouver un point assez costaud pour lever progressivement, et construire directement la palette sous la machine (c'est ce que j'ai fais avec ma scie à ruban de 600kg, 2h en ayant une scie sauteuse à batterie à dispo). C'est plus facile que de lever la machine complète pour la poser sur palette.

Le chemin d'accès est largement suffisant pour entrer en marche arrière avec un camion 20mcubes, il faudra juste gérer les premiers et les derniers mètres ; pour ça les plaques d'isorel semblent la solution récup la plus accessible.

par SebD il y a 3 ans
cocoM

Je ne suis pas équipé pour tester, mais peut être qu'en cumulant un agent mouillant dans la teinte (le teepol recommandé par José Das Neves ) et une application sous vide (qui a fait ses preuves pour une meilleure imprégnation à l'huile) on arriverais à une pénétration suffisant de la teinte ???

par Tomtom21 il y a 3 ans
cocoM

Comme dit précédemment, qui dit travers paysagère dit aspect "rustique" et donc noeuds non adhérents, fissures, aubier...
Ceci dit, si les "défauts" peuvent être mis en avant dans ton projet et jouer un rôle esthétique, pourquoi pas. Il faut juste garder en tête que si ces défaut sont traditionnellement éliminés c'est pour avoir une meilleure stabilité de l'ouvrage ; il faudra compenser le manque de stabilité du bois par des techniques adaptées.

cocoM

Ma procédure perso : à la tête du client.

Si je développe un peu :
_avant devis, je fais systématiquement et gratuitement un RDV sur place, je prends le temps de bien discuter du projet avec le client ; et je lui demande sa fourchette de prix (bien amené ça permet de dédramatiser tout de suite les questions d'argent).
_retour à la maison, je regarde des réalisations existantes qui peuvent s'approcher, leur tarif si c'est disponible, et je prends quelques renseignements sur la technique pour voir si c'est jouable avec mon matériel.
_après les deux premières étapes, j'ai mon petit questionnaire à moi même :
-est-ce que le client a l'air d'un chasseur de devis ou de quelqu'un qui veut faire bosser un artisan ?
-est-ce que le client a l'air pressé ou flexible sur la date de livraison ?
-est-ce que j'ai déjà les fournisseurs nécessaires, ou est-ce que je vais devoir faire la chasse au matériaux ?
-est-ce que j'ai le matériel nécessaire, ou est-ce que je vais devoir racheter du matos (fraise de défonceuse, outil, capacité de coupe de mes machines...
-est-ce que je vais devoir apprendre de nouvelles techniques ? Si oui est-ce que ce sont des techniques qui m'intéressent ?
-est-ce que c'est réalisable seul, ou je vais devoir demander des coups de main ? A qui ?
_En fonction des réponses à mon questionnaire :
-si c'est un chantier "facile", un client déjà acquis, ou un chantier très proche de quelque chose que j'ai déjà fait ; je fais directement un devis peu détaillé (en gros 4 catégories : matière première, transport, main d'oeuvre atelier et main d'oeuvre chantier) accompagné selon les cas d'un croquis, de photos des sources d'inspirations, voir de rien du tout.
-si je sens le nid à emmerdes (client qui a des attentes irréalistes, projet trop gros pour mon atelier, trop de techniques inconnues) ; je décline l'offre en essayant autant que possible d'orienter le client vers des artisans qui seront mieux placés que moi pour réaliser son projet.
-si je suis mitigé (projet compliqué mais très motivant, client exigeant mais ouvert à la discussion...) ; je propose un devis payant (50 à 150€ selon le projet) pour vraiment pousser la recherche.

Dans le dernier cas, je fais un devis très détaillé pour moi, mais je ne présente au client qu'un devis réduit à 4 items (mais toujours en visu, avec mon devis détaillé dans la poche) ; s'il demande des détails, j'ai le devis détaillé avec moi pour lui répondre, et je lui renvois une version avec les détails qui l'intéresse (certains veulent tout savoir des matériaux, d'autres veulent le détail de la main d'oeuvre ou du transport... rarement la totalité).

cocoM
( Modifié )

Il est pour l'instant possible de filtrer avec ce critère : sous la barre de recherche tu cliques sur "plus" ; le premier critère qui apparaît alors est "type de service" ; puis tu tapes juste un a et ton navigateur préféré va directement te proposer affutage qui semble être le terme le plus recherché.

C'est moins direct que les critères bois massif ou outillage, mais c'est pas encore trop compliqué.

A mon sens rajouter des critères en raccourci comme c'est le cas avec bois massif quincaillerie outillage ou atelier partagé actuellement ; ça risque d'alourdir visuellement la barre de recherche, et de créer un biais du type "oulala c'est bien trop compliqué cette barre de recherche, je vais pas l'utiliser parce que j'ai peur"
Et comme chaque utilisateur va utiliser la recherche pour des critères qui lui sont propre ; difficile d'arbitrer les critères à mettre raccourci.

A moins qu'il soit techniquement possible de créer une barre de recherche "personnalisée" qui n'ai pas de raccourci à la première utilisation, mais qui retienne les critères les plus recherchés par chaque utilisateur... bref, encore du boulot pour Boris pour ce qui n'est probablement qu'un détail.

Mis à jour
cocoM

si tu as déjà un perforateur/burineur MHG propose des gouges SDS à utiliser en position burineur. Avec un bon perfo les bras doivent pas trop prendre de vibrations.

cocoM

Sur les petits scies sous table, cela permet de couper une planche plus large (sinon pas assez de débattement entre le bord de la table et la lame)
J'imagine que sur une petite SAF on doit retrouver le même avantage pour des découpes de panneau ; pour des grosses machines c'est plutôt une question d'ergonomie pour y monter des gros panneaux.
En revanche déplacer le guide d'onglet de l'avant à l'arrière du chariot est assez fastidieux, donc si tu utilises régulièrement ta SAF pour du panneau avec le guide à l'arrière du chariot, je comprends qu'il reste tout le temps dans cette position.

par Symon il y a 3 ans
cocoM

le choix va se faire au delà des visseuses : démarrer avec une marque c'est signer un contrat batteries avec cette marque et par la suite changer de marque impliquera de nouvelles batteries, un nouveau chargeur etc...

Perso je suis équipé dewalt pour les outils en 18v et AEG pour les 12v. Dewalt parce que j'ai eu une occase et AEG pour leur visseuse à têtes interchangeable qui est terrible pour l'agencement.
Mon pack Dewalt de base date de 2010, il a vécu 2 ans dans une boîte de ravalement de facade ; puis acheté par moi il a fait 4 ans de logistique évènementielle ; enfin depuis 5 ans une visseuse à choc et une perceuse/visseuse sont dans la boite à outil d'un pote charpentier en utilisation quotidienne ; et une visseuse à choc est encore chez moi, servant aussi bien en visseuse qu'en boulonneuse pour changer les roues de la voiture. Les batteries tiennent encore (comparées à une équivalente quasi neuve, je dirais encore 80% de capacité) et les machines semblent increvables : un changement de charbon, deux trois points de colle pour les caoutchouc qui se font la malle, sinon RAS.
Par contre un pote qui avait été impressionné a acheté un pack plus récent (tous outils en brushless) et c'est moins glorieux : perceuse remplacée sous garantie, chargeur qu'il a du réparer...

Tout ça pour dire qu'entre les deux marques et au sein me d'une marque il y a à boire et à manger, il vaudrait mieux comparer outil par outil que marque par marque ; sauf que bien évidemment ça vient en contradiction avec le début du commentaire...
Les gammes d'outils proposés sont de plus en plus semblables entre toutes les marques ; donc à moins d'un besoin très spécifique qui ne serait couvert que par certains marques, le choix des outils "courants" ne sera pas un critère pertinent... Il reste le SAV pour les départager : Makita se vend partout, si tu es en déplacement tu trouveras n'importe où un revendeur qui pourra te fournir sur stock quelques pièces détachées (charbon, mandrin...). Les autres marques ont un réseau de distribution plus localisé, mais il semble que leur SAV par correspondance soit plus performant (frais de colis remboursé si sous garantie, rapidité de réponse...).
Surtout : ne pas se fier uniquement aux test youtube des ricains, aller chez un vendeur physique qui bosse avec des pros donne un éclairage moins "scientifique" mais tellement plus pertinent.

Bon choix

cocoM

Pour la triton je ne peux pas me prononcer, mais j'ai la scheppach qui ressemble beaucoup, et ça ne marche pas du tout.
Les meules sont de qualité médiocre comparées à celles de chez tormek, résultat avec les gouges en HSS elles se creusent à vue d'oeil et en même pas 2 mois la meule était trop petite pour baigner dans l'eau.
Niveau accessoires j'ai acheté les feutres à démorfiler pour les profil intérieurs de gouges tormek, impossible de l'adapter sur la scheppach (le filetage n'est pas le même).
Les autres accessoires doivent pouvoir faire l'affaire, mais si tu n'es pas sur de la qualité de la meule, tu risques de jeter de l'argent par les fenêtres. Je ferais d'abord un test à la volée avec des gouges à profil simple (gouge à creuser, grain d'orge) pour voir à quel vitesse la meule fond.

cocoM
( Modifié )

Pas de plans sous la main, mais à la vue de votre premier jet une remarque qui me saute aux yeux tout de suite : surtout ne pas centrer la teardrop sur l'essieu !! Il faut plutôt qu'il soit aux 2/3 de la longueur, vers l'arrière.

La raison principale : pour qu'une remorque ne danse pas la valse dès que vous dépassez 50kms/h, il faut qu'elle exerce une pression de 30 à 50kgs sur la flèche. En général les teardrops sont aménagés avec la cuisine (donc la majorité du poids) à l'arrière, il faut déplacer le centre de gravité en conséquence.
Autre raison : plus la distance flèche/essieu sera grande, plus ce sera facile de manoeuvrer (la taille ne compte pas... sauf pour une remorque !)

Tu dis que vous avez déjà le chassis, le mieux serait de nous donner ses caractéristiques (longueur, largeur, largeur d'essieu, longueur de flèche, distance flèche essieu, hauteur de flèche à l'horizontale) pour que l'on puisse vous aiguiller en fonction.

Mis à jour
cocoM

Pour moi il n'y a pas photo entre les deux, nova ne fait que du tour, et ils savent ce qu'il font. La plage de vitesse et la puissance sont adaptées à tes projets, et la contrepointe est beaucoup plus qualitative que sur les autres modèles cités (elle est composé d'un anneau et d'une pointe amovible, ce qui permet de guider un fleuret de perçage et de percer malgré la petit longueur de banc qui rend difficile l'utilisation d'un mandrin de perçage classique (idéal pour tourner des manches)

cocoM

Premier point : quand on plaque sur une âme en agglo, CP ou MDF il faut toujours contre balancer, c'est à dire coller une feuille de placage de même épaisseur en face cachée. Quand le placage devient épais, il faut en plus que ce contre balancement ait la même orientation, voir la même essence. Dans ton cas, tu risque de te retrouver avec 50mm de parquet plus l'épaisseur de ton agglo, un plan de travail bien lourd et sûrement plus cher qu'autre chose.

Deuxième point : les mouvements. Plus ton placage va être épais, plus la tension interne du bois va être forte pour contrer la tension de surface de la colle. Là où Peiot n'a eu que des petites fissures, un parquet pourrait avoir suffisamment de force pour carrément créer des cratères, même avec un assemblage rainure languette

Troisième point : le parquet massif c'est joli... mais ça bouge. La preuve : les plinthes sont là pour cacher le joint de dilatation qu'un parquetteur honnête aura laissé en périphérie de pièce. Et généralement, la pose collée est un vrai casse tête : colle spéciale qui va rester souple, mesure d'hygrométrie du support, de l'air, du parquet... la DTU est hyper précise sur ces points là. De plus, mêm un parquet sans chanfreins ne sera jamais parfaitement lisse d'une latte à l'autre. Là où sur le sol ça ne nous pose pas de problème (le pied tolère des écarts de 2mm sans trouver que c'est fichtrement inconfortable) ; sur un plan de travail la latte qui se retrouve plus haute que sa voisine après chaque vaisselle, ça fait mauvais genre.
et pour couronner le tout : les parquets sont souvent taillés dans de la dosse parce que c'est joli ; et même si ça gondole un peu on s'en fiche (toujours la sensibilité du pied) ; à hauteur de plan de travail tu vas vite voir les vagues.

Conclusion : je pense honnêtement que c'est une fausse bonne idée, et je dois pas être le seul : j'ai refusé un chantier l'an dernier parce que môssieur est architecte et qu'il a déjà vu ça et qu'il vaut absolument ça... à priori on est au mois 4 pro à lui avoir dit un non ferme, et celui qui a accepté le chantier l'a fait à condition que le meuble ne soit pas couvert par sa décennale et en refusant tout SAV.

cocoM

Huile de lin à condition de prendre de l'huile de lin alimentaire (première pression à froid, trouvable facilement en boutique bio) et pas de l'huile de lin de GSB (extraction chimique). Pour une meilleure résistance tu peux la faire cuire (processus fastidieux et dangereux : 3 à 4h de cuisson à quasiment 100°C sous couvercle, en extérieur, sans feu ouvert et avec un extincteur poudre ou CO2 à proximité, surtout pas d'extincteur à eau). Les huile de lin cuites du marché sont siccativées, même celles pour les ruches, dans le doute sur le siccatif utilisé je ne les utiliserais pas en alimentaire.

Sinon huile de tung pure (finition plus résistante au lessivage car avec un meilleur taux de siccativité naturel que l'huile de lin). Elle se trouve aussi sous le nom huile d'abrasin ou huile de bois de chine ; attention là aussi à prendre de l'huile pure et non une huile à base d'huile de tung. Difficile d'avoir des infos sur la méthode d'extraction pour les huiles vendues en France, donc dans le doute considérer que c'est une extraction chimique si le vendeur n'est pas capable de justifier le contraire.

Ou encore huile de paraffine, tu peux en trouver en pharmacie (utilisé comme laxatif). C'est une huile parfaitement neutre, elle n'interagit avec rien dans ton corps, donc si tu en absorbe des résidus aucun problème (sauf allergies ou contre-indication médicales). Par contre c'est une huile non siccative, donc il faudra renouveler régulièrement pour garder la finition ; l'avantage sur les autres huiles c'est qu'elle teinte peu le bois et ne jaunis pas avec le temps.

Autre alternative que j'aime bien : la cire d'abeille pure chauffée (liquide du coup). Avec un bon coup de chiffon pour lustrer une fois que tout a refroidi, ça donne une finition satinée et un toucher différent des huiles.

Et enfin si ton plat n'est pas destiné à recevoir des liquides chauds, de l'alcool ou des acides (vinaigrette par ex) : la gomme laque. Soit utilisée comme bouche pore avant une finition cirée (finition satinée), soit utilisée en vernis tampon. Beaucoup plus fastidieux à appliquer, mais la diversité de teintes disponibles (de la gomme laque astra quasi incolore à la brune) et la palette de brillances qu'on peut obtenir (du mat légèrement satiné au brillant qui pique les yeux) est inégalée.

par Supprimer il y a 3 ans
cocoM

Pour moi c'est le vernis qui se décolle. Sur un ustensile qui va être souvent mouillé, prendre le chaud et le froid etc... un vernis quel qu'il soit n'est pas vraiment une bonne idée.
Une huile de lin alimentaire, huile de tung, huile de noix ou huile de paraffine devraient être plus durables, plus agréables au toucher, et faciles à rénover.

par FIFI03 il y a 3 ans
cocoM

J'en ai fait l'an dernier avec le même outillage, donc c'est possible.

Pour le chêne, il faut qu'il soit purgé d'aubier et tout devrait bien se passer. Par contre avec un bois tannique attention aux coulures noires : sur des persiennes il y a plein de petits recoins et l'eau s'infiltre inévitablement. Si tu veux peindre le chêne est un peu récalcitrant à cause de ses gros pores, mais rien de rédhibitoire.

Les tétons sont fortement conseillés, ils évitent que les lames glissent lorsque les montants se rétractent par temps sec. Si tu ne trouve pas comment les faire avec ton matériel, tu as plusieurs alternatives :
-usiner la rainure dans laquelle va venir la lame à la défonceuse en deux fois, en faisant un passe plus profonde sur la partie haute de la rainure. Ensuite il suffira de faire une petite encoche sur chaque bout de lame, elles ne pourront plus glisser vers le bas mais il sera possible de les pousser vers le haut.
-faire des gabarits de perçage pour mettre un tourillon chêne de diamètre 6. C'est moins costaud, mais ça fait le job.
-si les volets sont peints ensuite, deux clous obliques enfoncés au chasse pointe, un petit coup de pâte à bois pour lisser et ça tiendra tant que les clous ne rouillent pas. L'avantage : tu pourras changer une latte sans démonter tout le volet (j'ai utilisé cette technique pour rénover des volets sur lesquels il ne manquait que quelques lattes et dont la structure était propre)

Le gabarit pour guider une défonceuse c'est la technique que j'ai choisi pour mes volets, c'est relativement simple et efficace.
Un CP dans lequel je découpe une rainure de la taille d'une bague de guidage de défonceuse, je place deux tasseaux à fleur du montant à usiner, et je viens y visser le CP : d'abord une vis sur un montant, puis je fais pivoter le CP pour arriver à l'angle souhaité, je le maintiens en place et je le solidarise bien comme il faut aux tasseaux avec une armée de vis. Ensuite un usinage d'essais sur une chute avec une mèche correspondant à l'épaisseur de mes lamelles, les deux tasseaux se retrouvent usinés et servent de pare éclat.
Pour l'espacement des rainures je me suis servi de mon premier montant comme gabarit : j'y ai tracé les repères d'usinage en mesurant ; puis pour les suivant je collais ce montant usiné contre celui à usiner, un petit coup de tranchet pour marquer les limites d'usinage, et ça devenait facile comme bonjour de positionner mon gabarit au 10e

Pour l'épaisseur des lamelles, fais en fonction de ta mèche de défonceuse. Une rainure sur un chute, et quand tu rabote tes lamelles tu t'arrête quand ça rentre pile poil. Perso c'était 12,3mm avec ma mèche de 12 qui vibre un peu. Si tu choisis de bloquer tes lamelles par tourillon, 12mm c'est le minimum.

La largeur des cadres dépend en partie de la taille globale, plus tu auras de porte à faux plus il faudra des traverses larges pour maintenir l'équerre. L'épaisseur de 30 me semble bien, par contre 70mm de large c'est léger. Sur les volets que j'ai fait (1m80/1m pour les petits, 2m70/1m pour les grands) les montants étaient à 100mm de large, idem pour les traverses basses et hautes, et 150 pour la traverse intermédiaire (je me suis basé sur l'existant puisque c'était une réno partielle)

L'inclinaison de 45° est un peu en dessous de ce que j'avais : 48/50°. A toi de voir en fonction de tes machines et de ton mode opératoire comment arriver aux dimensions voulues.

Pour les plans, désolé je ne les ai plus.