as tu tenté chez Patrice Blin (peintre dans la zone indus juste en face de manitou) ?
Son coeur de métier c'est la peinture mais il fait aussi du revêtement de sol, et j'ai pu louer du matériel chez lui (en ayant acheté ma peinture là bas, je ne sais pas s'il loue sans vendre les matériaux mais ça ne coûte rien d'essayer)
ça ressemble beaucoup aux frênes que je peux trouver en coteaux de bord de Loire écorce, couleur... ce serait peut être plus marquant avec une coupe fraîche), les souches régulièrement lessivées par les inondations et la forte pente causent des différences de taille énorme entre les racines d'un côté et de l'autre comme c'est le cas ici.
Si c'est bien le cas, tu devrais avoir de très jolies figures avec du bois de tension vers les grosses racines et du bois de compression de l'autre côté ; et vu le tronc creux si c'est bien du frêne tu as des chances d'avoir des zones concentrées en tanin (frêne olivier).
Le plus gros risque : tomber sur un caillou en passant la tronçonneuse.
entièrement d'accord avec Oak sur l'intérêt d'un compresseur dans l'atelier : la soufflette qui permet de dépoussiérer en profondeur les moteurs ds autres machines, et devient une douche sèche en fin de journée ce qui divise par deux les crises conjugales pour cause de copeaux sauvages dans le salon, justifie l'investissement à elle seule. Ensuite les utilisations possibles (trop nombreuses pour faire la liste) se découvrent avec le temps et s'apprécient plus ou moins selon les personnes. J'espère un jour pouvoir balancer ma ponceuse électrique et passer sur une mirka pneumatique : pour moins cher qu'une makita tu as une rolls du ponçage qui fait seulement une portion du poids de son équivalent électrique (par contre je ne parle pas du prix du circuit pneumatique derrière ça).
Si tu n'envisages pas d'étoffer ton outillage pneumatique par la suite (par ex ponceuse, pistolet à vernir etc...), le cloueur se contente d'un compresseur poussif et léger donc l'investissement global compresseur + cloueur peut être très bas. Pour info j'ai ce modèle qui est le même que le lidl, le vidaxl ou d'autres, livré avec un graisseur dans la boite (pas sur que les autres le fasse). Ca suffit amplement à mon utilisation, et honnêtement je ne vois pas à l'usage de grosses différences avec les senko que j'ai pu utiliser en entreprise.
L'électrique sera moins encombrant dans l'atelier (pas de compresseur, pas de tuyau d'air), mais plus lourd et moins agréable à utiliser. Il sera aussi plus cher, surtout les modèles à batterie si tu n'as pas d'autres machines de la gamme. Ca reste un investissement valable si tu as déjà un lot batterie/chargeur d'une marque qui propose son cloueur, que tu penses l'utiliser principalement en déplacement.
Je la détends le soir, plus pour sauvegarder les roulements que la lame.
Je ne sais pas si ça sert à quelque chose, mais ça a un deuxième effet kiss kool : pour détendre je suis obligé d'ouvrir mon carter haut, ce qui actionne un coupe circuit et rend impossible tout démarrage ; comme ça je suis sur que personne ne va démarrer la machine par inadvertance. Je laisse le carter entrouvert en partant, comme ça si j'oublie de retendre le matin, ça ne démarre pas.
Comme la machine est fournie à la base avec des fers réversibles, j'imagine qu'ils ne se mettent pas en butée au risque d'abîmer le tranchant qui se retrouve en fond de rainure. D'ailleurs on voit en cherchant sur gogole ou autre que ces fers jetables sont percés, probablement pour être mis en place sans réglage.
En cherchant un peu plus, on tombe sur un "kit de conversion" qui semble indispensable pour utiliser les fers réaffutables. Les ressorts doivent se trouver sur ces kits de conversion.
Quand on voit le prix du kit de conversion, plus celui des fers qui est franchement abusé par rapport à des fers "standards" (on est à 30€ la paire pour des fers la forézienne de même longueur, par contre la combinaison 260/20/3mm de métabo ne semble pas exister) ; il faut beaucoup d'affûtages pour rentabiliser l'investissement, j'ai même peur que ce ne soit mathématiquement pas possible de les rentabiliser (avec des fers de 20mm de large, tu peux au mieux espérer 5-6 affûtages).
Bref, j'espère que ton objectif était de gagner en qualité de fers et pas de faire des économies...
Les machines plus anciennes sont généralement plus "entretenables", les roulements sont plus accessibles, la mécanique plus simple, les courroies standard...
Comme le dit MauriceAub elles décotent moins ;
Et pour finir sur ton dilemme : les (bonnes) lames ça coûte cher ; et en avoir un bon paquet pour ne pas se tourner les pouces en attendant l'affûteur c'est un confort non négligeable (sauf à l'affûter soi même, mais ça demande un peu de matériel et de patience).
Il faudrait voir l'état de chaque machine, mais à niveau d'entretien égal la kity aurait ma préférence.
Le top c'est effectivement le transpalette, puis soit une camionnette avec hayon (la plupart de camions de loc ont un hayon pouvant lever 700kg) ; soit une remorque porte voiture avec treuil et rampes intégrées (mais si tu n'as pas d'attelage...)
Pour lever le combiné un cric de voiture et un jeu de cales permettra toujours de trouver un point assez costaud pour lever progressivement, et construire directement la palette sous la machine (c'est ce que j'ai fais avec ma scie à ruban de 600kg, 2h en ayant une scie sauteuse à batterie à dispo). C'est plus facile que de lever la machine complète pour la poser sur palette.
Le chemin d'accès est largement suffisant pour entrer en marche arrière avec un camion 20mcubes, il faudra juste gérer les premiers et les derniers mètres ; pour ça les plaques d'isorel semblent la solution récup la plus accessible.
Je ne suis pas équipé pour tester, mais peut être qu'en cumulant un agent mouillant dans la teinte (le teepol recommandé par José Das Neves ) et une application sous vide (qui a fait ses preuves pour une meilleure imprégnation à l'huile) on arriverais à une pénétration suffisant de la teinte ???
Comme dit précédemment, qui dit travers paysagère dit aspect "rustique" et donc noeuds non adhérents, fissures, aubier...
Ceci dit, si les "défauts" peuvent être mis en avant dans ton projet et jouer un rôle esthétique, pourquoi pas. Il faut juste garder en tête que si ces défaut sont traditionnellement éliminés c'est pour avoir une meilleure stabilité de l'ouvrage ; il faudra compenser le manque de stabilité du bois par des techniques adaptées.
Ma procédure perso : à la tête du client.
Si je développe un peu :
_avant devis, je fais systématiquement et gratuitement un RDV sur place, je prends le temps de bien discuter du projet avec le client ; et je lui demande sa fourchette de prix (bien amené ça permet de dédramatiser tout de suite les questions d'argent).
_retour à la maison, je regarde des réalisations existantes qui peuvent s'approcher, leur tarif si c'est disponible, et je prends quelques renseignements sur la technique pour voir si c'est jouable avec mon matériel.
_après les deux premières étapes, j'ai mon petit questionnaire à moi même :
-est-ce que le client a l'air d'un chasseur de devis ou de quelqu'un qui veut faire bosser un artisan ?
-est-ce que le client a l'air pressé ou flexible sur la date de livraison ?
-est-ce que j'ai déjà les fournisseurs nécessaires, ou est-ce que je vais devoir faire la chasse au matériaux ?
-est-ce que j'ai le matériel nécessaire, ou est-ce que je vais devoir racheter du matos (fraise de défonceuse, outil, capacité de coupe de mes machines...
-est-ce que je vais devoir apprendre de nouvelles techniques ? Si oui est-ce que ce sont des techniques qui m'intéressent ?
-est-ce que c'est réalisable seul, ou je vais devoir demander des coups de main ? A qui ?
_En fonction des réponses à mon questionnaire :
-si c'est un chantier "facile", un client déjà acquis, ou un chantier très proche de quelque chose que j'ai déjà fait ; je fais directement un devis peu détaillé (en gros 4 catégories : matière première, transport, main d'oeuvre atelier et main d'oeuvre chantier) accompagné selon les cas d'un croquis, de photos des sources d'inspirations, voir de rien du tout.
-si je sens le nid à emmerdes (client qui a des attentes irréalistes, projet trop gros pour mon atelier, trop de techniques inconnues) ; je décline l'offre en essayant autant que possible d'orienter le client vers des artisans qui seront mieux placés que moi pour réaliser son projet.
-si je suis mitigé (projet compliqué mais très motivant, client exigeant mais ouvert à la discussion...) ; je propose un devis payant (50 à 150€ selon le projet) pour vraiment pousser la recherche.
Dans le dernier cas, je fais un devis très détaillé pour moi, mais je ne présente au client qu'un devis réduit à 4 items (mais toujours en visu, avec mon devis détaillé dans la poche) ; s'il demande des détails, j'ai le devis détaillé avec moi pour lui répondre, et je lui renvois une version avec les détails qui l'intéresse (certains veulent tout savoir des matériaux, d'autres veulent le détail de la main d'oeuvre ou du transport... rarement la totalité).
Il est pour l'instant possible de filtrer avec ce critère : sous la barre de recherche tu cliques sur "plus" ; le premier critère qui apparaît alors est "type de service" ; puis tu tapes juste un a et ton navigateur préféré va directement te proposer affutage qui semble être le terme le plus recherché.
C'est moins direct que les critères bois massif ou outillage, mais c'est pas encore trop compliqué.
A mon sens rajouter des critères en raccourci comme c'est le cas avec bois massif quincaillerie outillage ou atelier partagé actuellement ; ça risque d'alourdir visuellement la barre de recherche, et de créer un biais du type "oulala c'est bien trop compliqué cette barre de recherche, je vais pas l'utiliser parce que j'ai peur"
Et comme chaque utilisateur va utiliser la recherche pour des critères qui lui sont propre ; difficile d'arbitrer les critères à mettre raccourci.
A moins qu'il soit techniquement possible de créer une barre de recherche "personnalisée" qui n'ai pas de raccourci à la première utilisation, mais qui retienne les critères les plus recherchés par chaque utilisateur... bref, encore du boulot pour Boris pour ce qui n'est probablement qu'un détail.
si tu as déjà un perforateur/burineur MHG propose des gouges SDS à utiliser en position burineur. Avec un bon perfo les bras doivent pas trop prendre de vibrations.
Sur les petits scies sous table, cela permet de couper une planche plus large (sinon pas assez de débattement entre le bord de la table et la lame)
J'imagine que sur une petite SAF on doit retrouver le même avantage pour des découpes de panneau ; pour des grosses machines c'est plutôt une question d'ergonomie pour y monter des gros panneaux.
En revanche déplacer le guide d'onglet de l'avant à l'arrière du chariot est assez fastidieux, donc si tu utilises régulièrement ta SAF pour du panneau avec le guide à l'arrière du chariot, je comprends qu'il reste tout le temps dans cette position.
le choix va se faire au delà des visseuses : démarrer avec une marque c'est signer un contrat batteries avec cette marque et par la suite changer de marque impliquera de nouvelles batteries, un nouveau chargeur etc...
Perso je suis équipé dewalt pour les outils en 18v et AEG pour les 12v. Dewalt parce que j'ai eu une occase et AEG pour leur visseuse à têtes interchangeable qui est terrible pour l'agencement.
Mon pack Dewalt de base date de 2010, il a vécu 2 ans dans une boîte de ravalement de facade ; puis acheté par moi il a fait 4 ans de logistique évènementielle ; enfin depuis 5 ans une visseuse à choc et une perceuse/visseuse sont dans la boite à outil d'un pote charpentier en utilisation quotidienne ; et une visseuse à choc est encore chez moi, servant aussi bien en visseuse qu'en boulonneuse pour changer les roues de la voiture. Les batteries tiennent encore (comparées à une équivalente quasi neuve, je dirais encore 80% de capacité) et les machines semblent increvables : un changement de charbon, deux trois points de colle pour les caoutchouc qui se font la malle, sinon RAS.
Par contre un pote qui avait été impressionné a acheté un pack plus récent (tous outils en brushless) et c'est moins glorieux : perceuse remplacée sous garantie, chargeur qu'il a du réparer...
Tout ça pour dire qu'entre les deux marques et au sein me d'une marque il y a à boire et à manger, il vaudrait mieux comparer outil par outil que marque par marque ; sauf que bien évidemment ça vient en contradiction avec le début du commentaire...
Les gammes d'outils proposés sont de plus en plus semblables entre toutes les marques ; donc à moins d'un besoin très spécifique qui ne serait couvert que par certains marques, le choix des outils "courants" ne sera pas un critère pertinent... Il reste le SAV pour les départager : Makita se vend partout, si tu es en déplacement tu trouveras n'importe où un revendeur qui pourra te fournir sur stock quelques pièces détachées (charbon, mandrin...). Les autres marques ont un réseau de distribution plus localisé, mais il semble que leur SAV par correspondance soit plus performant (frais de colis remboursé si sous garantie, rapidité de réponse...).
Surtout : ne pas se fier uniquement aux test youtube des ricains, aller chez un vendeur physique qui bosse avec des pros donne un éclairage moins "scientifique" mais tellement plus pertinent.
Bon choix
Pour la triton je ne peux pas me prononcer, mais j'ai la scheppach qui ressemble beaucoup, et ça ne marche pas du tout.
Les meules sont de qualité médiocre comparées à celles de chez tormek, résultat avec les gouges en HSS elles se creusent à vue d'oeil et en même pas 2 mois la meule était trop petite pour baigner dans l'eau.
Niveau accessoires j'ai acheté les feutres à démorfiler pour les profil intérieurs de gouges tormek, impossible de l'adapter sur la scheppach (le filetage n'est pas le même).
Les autres accessoires doivent pouvoir faire l'affaire, mais si tu n'es pas sur de la qualité de la meule, tu risques de jeter de l'argent par les fenêtres. Je ferais d'abord un test à la volée avec des gouges à profil simple (gouge à creuser, grain d'orge) pour voir à quel vitesse la meule fond.