Perso je billonne au diamètre du tronc + 20%. Par exemple pour un tronc de 40cm (écorce comprise) de diamètre, je billonne à 50cm ; fendu en deux en virant le coeur la plupart du temps. En séchage à l'air, les petites fentes en bout vont généralement disparaître lors du tournage.
Sinon tournage vert, soit en direct soit en tournage double comme expliqué par Olivier80
Pour les carrelets, je les débites en enlevant le coeur, et séchage dans la mezzanine de l'atelier.
Globalement je ne me prends pas trop la tête : j'arrive à récupérer bien plus de bois que je n'en tourne, et s'il y a de la casse en route ça alimente le chauffage. A part quelques morceaux rare dont je prends particulièrement soin, mon séchage est généralement plus suivi après tournage qu'avant. Et en laissant certains bois prendre l'eau, j'ai de jolies surprises (bois échauffés, remontées de tanins qui peuvent être très esthétiques...)
J'opte de plus en plus facilement pour la visière forestière en raison du casque anti bruit intégré et qui n'est pas gêné par les branches de lunettes. Ca protège des copeaux mais pas des poussières, donc plutôt efficace sur le tour, la RD, tronçonneuse...
Pour les circulaires, défonceuses ou meuleuses : masque et casque antibruit, jamais de gants pour ne pas se faire attraper la main par la machine sans s'en rendre compte.
Mais bien sur il m'arrive de ne pas porter les lunettes : quand je passe au rabotage lors du corroyage ; les copeaux sont canalisés et sortent par un seul endroit, il suffit de ne jamais mettre ses yeux là. Ou encore avec la lamelleuse ; ma circulaire lorsqu'elle est sur rail et que je suis positionné dans le dos de la machine ; mes ponceuse sauf la ponceuse à bande ou si je ponce en l'air... en bref des machines qui sont suffisamment bien carterisées et avec une aspiration fonctionnelle.
J'ai fais quasiment la même changement (triton TRA001 donc un peu plus grosse) et au contraire ça a été le jour et la nuit pour moi.
Le système de descente par rotation je le trouve top pour les mortaisages ; pour les rainurage ou autre je le désactive et on se retrouve avec un fonctionnement classique. Je n'utilise la poignée rotative que pour les mortaisages ou pour le préréglage sous table... et je ne bloque pas la profondeur dans ces cas là !! (oui oui ça fait peur, pourtant sous table je me suis retrouvé à faire des séries de 4h d'usinage sans changer le réglage, et c'est stable juste avec cette poignée tournante et le réglage micrométrique)
La position du levier de blocage tombe plutôt bien pour moi, ce qui n'était pas le cas avec la bosch, ni avec la grosse festool que j'ai pu tester, mais qui fonctionnait avec d'autres marques... disons qu ce point là de l'ergonomie est assez personnel.
Le bouton on off c'est vraiment le point noir, pour le démarrage progressif le poids de la tra compense, et le guide parallèle est merdique (mais il ne me sert jamais donc ça va ;)).
C'est possible de tourner UN projet avec une seule gouge. Par contre le projet suivant nécessitera d'autres outils...
Par exemple pour tourner mes bols, je n'utilise que la gouge à creuser de A à Z ; par confort j'en utilise de différentes tailles mais c'est faisable avec une seule gouge.
De même pour du tournage entre pointes je fais mes toupies ou champignons uniquement à la gouge à profiler ; la gouge à dégrossir n'est là que pour améliorer la productivité et n'est pas du tout indispensable.
Pour réaliser un manche je ne vais utiliser que la plane (parfois même y compris pour dégrossir)...
Le plus compliqué est de réussir à réaliser des empreintes de mandrins avec les gouges plutôt qu'avec un bédane ou un grain d'orge. De même la gouge à dégrossir n'est pas indispensable, mais elle est facile à affûter, et idéale quand on débute pour comprendre le talonnage.
Pour l'affûtage, chaque tourneur a son affûtage,
Ce qui rend le prix du bois "indécent" en ce moment, c'est le prix du bois. Les usines qui font la transformation du bois en bardage n'ont pas augmenté leur marge. Donc non ça ne vaut pas le coût plus qu'hier de faire ton bardage toi même avec une combinée dans le fond de ton garage.
Le débit : si tu fais ça à la scie à format, si le bois est relativement beau, peut être qu'en 3 jours tu peux t'en tirer (mais c'est plutôt optimiste). A la scie portative ou au ruban ça peut se faire aussi, mais ce sera pas moins long.
Le corroyage : selon ta RD, il faut compter entre 3 et 5 min par morceau ; par 2500 ça fait 10000 minutes pour couper la poire en deux, soit 166h... peut être un poil moins si tu trouves une paire de bras supplémentaire pour le rabotage.
Ajoute le temps de vidange des copeaux, les fers de RD qu'il va falloir changer/affûter plusieurs fois... on est au bas mot à 200h de travail.
j'ai honte mais je vais l'acheter, pour m'en servir comme tour de démonstration sur les marchés : léger, s'il casse ou si je me le fait voler tant pis, et largement suffisant pour faire des toupies ou des champignons.
Par contre il faut ajouter un adaptateur pour pouvoir y mettre des accessoires "standards" (adaptateur pour passer le filetage en M33/3.5... qui coûte à lui seul la moitié du prix du tour).
Et pour quelqu'un qui veut débuter... je lui dis de fuir, certains outils parkside fonctionnent très bien (j'ai leur cloueur agrafeur pneumatique qui est bon, et leur perceuse visseuse filaire qui me sert de ponceuse sur le tour) mais en tournage un jouet comme ça va te limiter bien trop vite.
Perso j'ai un combiné bande/minilapidaire, et j'utilise mon tour comme gros lapidaire une fois de temps en temps.
La bande je l'utilise très régulièrement à main levée, pour affûter. Il y a un seau d'eau un un pulvérisateur à côté, j'ai amélioré la protection de l'électronique contre l'eau, et je dégrossis les affûtages : lames droites (couteau, rabots, raboteuse, ciseaux) sur la planche ; lames courbes (serpe, plane, tondeuse) sur la roue ; et j'utilise un vide entre la planche et la roue pour créer des émoutures convexes (hache)
Le mini lapidaire ne me sers qu'en soudure pour rectifier des onglets ou coupes à 90 que j'ai découpé à la meuleuse.
Le gros lapidaire, il faut que j'améliore ma table pour en profiter, dans l'état il ne me sert pas.
Ce qui me manque sur ma machine : la planche d'appui de la ponceuse à bande est plus large que la bande, pour les couteaux avec garde il devient impossible d'affûter jusqu'au bout. Une planche à ras de la bande serait top.
Avoir des roues des différents diamètres, celle que j'ai est bien pour une courbe serrée (serpe) mais demande du doigté pour ne pas ruiner une courbe légère (plane)
Dans un petit atelier, il faut penser à optimiser la place de circulation.
Une combinée 5 opération nécessite de pouvoir circuler tout autour. Avec un poteau au milieu de la pièce, ça risque d'être compliqué de rentrer tout le monde. Par contre rentrer une RD contre un mur et une scie toupie contre un autre ça passe.
La combinaison dégau rabot est très gérable en petit atelier, le changement d'opération n'est pas très long et on revient rarement dégauchir après avoir raboté si on a pensé à se prévoir des martyrs et pièces de rab...
La combinaison toupie scie peut parfois être un peu plus contraignante, car le changement d'opération est long. Il faut être bien organisé pour limiter le nombre de changements, mais il faut aussi évaluer la réelle importance de la toupie pour toi. Avec une défonceuse sous table de grosse capacité (fraises à queue de 12mm) tu peux réaliser une grosse partie des actions de la toupie et la réserver pour quelques chantiers ; voir t'en passer complètement...
Pour la capacité de coupe de la circulaire, si tu as une scie à ruban à côté je trouve dommage de ne pas passer du temps à la comprendre pour l'exploiter au mieux. Avec 60mm de hauteur de coupe tu es déjà large pour réaliser les coupes les plus courantes. En rajoutant ta SAR pour la refente, et une RD pour nettoyer le résultat de la SAR, tu peux tout faire.
Comment ménager la chèvre et le chou...
Le besoin de performance de ton ouvrant va être différent selon le niveau d'isolation du reste du bâtiment : si tu n'as pas d'isolation des combles, des murs, de VMC alors ça ne sert à rien de chercher à mettre des ouvrant ultra performants et une restauration comme proposée par ukinoki sera satisfaisante. Surtout la ventilation : vouloir appliquer les normes d'étanchéité à l'air des BBC modernes sur du vieux bâti n'a aucun sens à moins de tout reprendre de A à Z (sans les circulations d'air "naturelles" certains murs risquent de pourrir).
Tu vas gagner en confort (moins de condensation, sensation de cloison "froide" qui disparaît...) ; mais l'économie en chauffage n'est pas certaine (pour ça il faut soit faire des travaux complets, soit changer de système de chauffage).
Si tu cherche à faire passer ton appart de classe énergie E à B ; il faut se lancer dans des travaux bien plus importants que la simple pose d'un double vitrage : changement complet des ouvrants avec traitement des ponts thermiques ; isolation des murs, du sol, des combles ; pose de VMC double flux ; système de chauffage performant... Le tout en ne faisant pas confiance au premier artisan RGE venu : certains sont très bons mais n'y connaissent absolument rien en bâti ancien ; d'autres sont tout simplement mauvais et profitent des aides de l'état ; il en existe aussi qui sont bons et connaissent le bâti ancien. Petit bémol chez ces derniers : tu risques d'avoir un délai assez conséquent et un tarif au dessus de la moyenne... mais tu ne refera pas tes travaux dans 10 ans.
Pour en avoir eu en formation, je n'ai pas été convaincu ; et mon utilisation actuelle me rend encore plus dubitatif.
Avantages : gain de temps au changement de fer, pas de risque de dérégler ta machine à cause d'un fer qui sort trop.
Inconvénients : pas d'affûtages sinon le fer n'a plus la bonne saillie, prix, manque de versatilité.
Perso c'est fers hss classiques, affûtage régulier à la main et chez un pro une fois tous les deux ans environ. J'ai un jeu de fers avec un angle moins agressif pour les bois compliqués, et si jamais je devais travailler de l'exotique je rajouterais peut être un jeu en carbure.
Le seul cas où j'imagine un vrai gain aux fers tersa c'est pour une entreprise où l'on passe plusieurs fois par jour de fer HSS à carbure.
En résumé, les classes C18 ; 24 et 30 sont des classes de résistance mécanique, plutôt intéressantes pour la charpente/ossature bois.
En mobilier tu n'as pas de norme contraignante sur la résistance mécanique, tu vas plutôt jouer sur les épaisseurs pour avoir un bon compromis résistance/poids/esthétique.
Le fait de prendre du bois classé en C18 peut t'obliger à augmenter l'épaisseur du panneau car la résistance aux contraintes est moindre (à toi d'évaluer la résistance nécessaire en fonction de la taille des panneaux et du poids qu'ils doivent supporter, des renforts que tu peux apporter pour compenser (traverses) etc...
Ensuite le bois en C18 va généralement avoir plus de noeuds (ou plus gros), de poches de résine, de fentes... Les avivés en C18 sont généralement issus de coupes proches de la dosse et vont donc plus facilement tuiler, et comporter plus d'aubier.
Les risques sont donc :
1 avoir plus de perte de bois à l'usinage (pour éliminer les défauts) et donc besoin de plus gros volumes à la base
2 obtenir un résultat esthétiquement moins "propre" (noeuds, fentes, traces d'aubier, arrachements plus nombreux car en dosse et avec des cernes d'accroissement plus gros tu auras plus souvent du contrefil)
3 obtenir un résultat moins stable (plus de tuilage à cause de la dosse, plus de fentes)
4 tes machines vont en baver un peu plus : plus de noeuds c'est plus d'impacts sur les lames, les poches de résine c'est plus de nettoyage...
Enfin attention au séchage : le douglas C18 est vendu pour de la charpente, le séchage n'est pas aussi poussé que sur du bois de menuiserie (il faudra peut être travailler avec du stock d'avance, prévoir l'espace de séchage etc...)
Ca peut rester rentable si le critère esthétique "rustique" rentre dans ton cahier des charges, que la conception de tes meubles laisse la place à certaines déformations et que tes clients sont prêts à payer un peu plus cher pour valoriser ton temps de travail en plus. Cela dépend aussi de ton fournisseur : le C18 de certains est en C24 chez d'autres, simplement parce qu'ils ont des grumes de meilleure qualité. Si tu peux sélectionner tes bois sur place tu pourras aussi sélectionner des planches qui sont très propres mais passent en C18 pour un détail.
Attention dans ton prévisionnel à ne pas sous estimer le temps de travail : pour faire du panneau ton dégauchissage devra être irréprochable ; un bouvetage ou des lamellos ne seront pas de trop ; il faudra probablement rattraper l'affleurage ; il faudra l'espace et les serre joints pour coller plusieurs panneaux d'un coup (n'espère pas dégauchir de quoi faire 15 panneaux et en coller un par demi journée, avec du C18 il faudra coller dans la demi-journée qui suit le dégauchissage sinon tes joints auront déjà bougé).
Autres pistes à explorer :
-L'inverse, ton rouleau plaque trop la pièce et n'arrive plus à contrer les frottements sur la table.
-Avec quoi lubrifies-tu ta table ?
J'utilisais avant du glisse-bois en bombe de chez syntho ; le problème c'est que l'aérosol disperse du lubrifiant sur la table mais aussi sur les rouleaux... pas la
peine de faire un dessin sur le résultat. Un pain de paraffine ou du silbergleit c'est moins cher et ça marche mieux.
-Avec des bois résineux, le rouleau cranté peut se retrouvé comblé par des copeaux, il ne peut plus "mordre" dans la pièce à entraîner ; il patine etc...
-Le moindre défaut sur la table (rouille, griffure), même lubrifié peut suffire à bloquer ton bout de bois.
-Un changement de fers, si tu as augmenté/diminué la saillie des fers, peut suffire à ce que ton rouleau de sortie appuie moins sur la pièce ; ou au contraire qu'il appuie trop fort.
-Un aspiration inefficace cause des bouchons de copeaux sur ta table de sortie (ça m'arrive fréquemment avec de faibles épaisseurs).
J'ai démarré sur une holzstar achetée 300€ d'occase... Elle a fait le taf, il fallait être patient sur les réglages, ne pas compter sur le pont d'origine pour t'apporter la moindre sécurité (ce que je trouve très grave pour une machine neuve destiné à un public non averti), les fers sont jetables et les tables en alu auraient clairement eu une durée de vie très limitée.
Pour 400€ plus 200€ de rénovation, je suis passé sur une vieille dame en fonte des années 20. Elle partage certains défauts : réglage d'origine fastidieux, sécus absentes, aspiration merdique. Malgré ses défauts je ne la remplacerais pour rien au monde : TOUT est réglable avec une clé de 13 et de la patience ; les fers ne sont que 2, donc c'est facile d'affûter sois même, et le changement/affûtage de fers ne me prends pas plus de 15min ; on passe de dégau à rabot sans modification de la machine ; bref, une machine qui n'a pas tous les atours d'une neuve, mais franchement après deux trois bricoles pour la remettre à niveau en terme de sécu elle est géniale.
Sans triphasé à la maison il aurait fallu compter en plus soit un variateur soit un moteur 220 (rien de plus facile car l'entraînement est par courroie).
Si tu peux patienter, essaye vraiment de passer sur ce genre de vieilles bécanes ; une RD de chantier qu'elle soit de bonne gamme ou pas fera l'affaire mais contrairement à un bloc de fonte, il ne sera plus fonctionnel à la fin de ta carrière...
Et puis... pas la peine en tant d'amateurs de baver sur des arbres à plaquettes à 1 mois de SMIC ou des machines à réglage micrométrique numérique commandé en bloutouffe par le grand sketchouille. Deux fers HSS, un bloc de bois avec deux trais de scie, des cartes diamantées et on peut affûter sa RD avec des angles différents pour répondre à des bois plus ou moins difficiles, dont on aura pris le temps de les lire avant pour savoir dans quel sens on les fourre dans la machine. Un pied à coulisse à 5€ dans un vide grenier, et mon rabotage devient comme par magie précis au 10e de mm ; comme de toute façon le bois n'est pas un matériau inerte et va gonfler/sécher de plus que cette marge de mesure, je vois pas en quoi le numérique m'aiderait. Quand à la boîte séquentielle 6 vitesses pour raboter comme schumacher... Si on est pas pressé une seule vitesse la plus basse assure un résultat de surface correcte ; les autres vitesses vont faire gagner à un ouvrier seul peut être 10 min sur le rabotage de 20m² de parquet. Sur un projet à moins de 100mlinéaire de rabotage, je suis persuadé qu'on ne voit aucune différence sur le timer entre ma machine et une autre de même taille/même puissance et avec le même ouvrier.
Seul point sur lequel ma machine ne sera jamais à la hauteur des modernes : l'aspiration. Y'en avait pas à l'époque, rien n'est pensé pour en mettre une, donc je bricole mais c'est pas très probant.
Si c'est joli mais pas pratique tu vas avoir tendance à t'exporter en dehors de l'atelier (poser des tréteaux dehors en été, stocker du bois dans une autre partie de la maison...), et in fine le bâtiment sera joli mais avec du bordel sur l'extérieur qui lui ne sera pas bau à voir.
La forme est vraiment à réfléchir en fonction du type de travaux que tu veux faire, et de tout un tas de choix d'organisation et d'agencement.
Petit exercice géométrique de base pour comprendre certaines différences entre les deux formes : pour 50m² en carré, tu as 4 murs de 7m et des poussières soit 28m linéaires au total. en format rectangle, 2murs de 10m et 2 murs de 5m te donnent 30m linéaires de murs... 2mètre linéaires gagnés c'est une belle fenêtre, une zone de stockage de panneaux, l'aspirateur...
En terme de lumière :
Si tu veux des ouvertures au sud pour la lumière (tu peux aussi choisir de ne pas avoir de fenêtre mais uniquement des puits de lumière au plafond), un pan de 7m de long devant laisser de la lumière sur 7m de profondeur demandera des fenêtres sur toute la hauteur, et assez larges. Placer des machines contre ce pan de mur deviendra compliqué, et il sera à contre jour donc pas top pour l'établi non plus.
Avec un pan de 10m au sud, et seulement 5m de profondeur à éclairer, tu peux te contenter d'une belle fenêtre centrale, et n'avoir que des lucarnes hautes sur le reste du mur ; placer ta R/D ou ta format sous une lucarne ne va pas limiter la lumière dans le reste de l'atelier, ce qui est plutôt cool.
En terme de placement machines :
En choisissant des machines séparées plutôt qu'une combinée, tu va pouvoir "coller" tes machines au mur, là où un combiné aurait nécessité de l'espace de circulation de tous les côtés. Le format en longueur te permettra de mettre en place une "marche en avant" dans la disposition des machines, là où un format carré favorisera une organisation moins linéaire. A toi d'identifier le type de projets que tu vas effectuer, de voir si une marche en avant t'intéresse ou pas, si ton atelier doit être modulable ou pas...
Avec des lames bois pour dremel si tu es équipé.
En bridant ta dremel à la verticale, et avec un guidage de type défonceuse sous table tu peux être très précis.
Le fait qu'il soit en 380V peut être un "problème" s'il faut rajouter une ligne dédiée à l'aspirateur et que ton tableau électrique est saturé. Dans ce cas là si tu n'as pas les compétences en élec ou un ami fiable pour rajouter une ligne toi même, ça augmente considérablement le coût de la machine. Sinon au contraire, un aspirateur de même puissance en 380 fatiguera moins qu'un en 220, pas de risque de déséquilibrer tes phases sur ton tableau élec...
Et pour le côté vieille machine, le principe de fonctionnement d'une aspiration est tellement basique que je ne pense pas que le design ait évolué d'un poil depuis les années 60. Là où les aspirations s'améliorent aujourd'hui c'est sur l'étanchéité des carters, l'automatisation, la filtration... pas sur la turbine. Une bonne machine de l'époque sera toujours meilleure qu'une entrée de gamme aujourd'hui.