Pour l'étau plutot pour serrer des pièces en vertical ; pour les pièce à l'horizontal un serre joint sur le plan de travail fait l'affaire.
Pour l'emplacement, c'est encore un affaire de compromis : au milieu du plan de travail il te permet de travailler à gauche ou à droite, mais il se retrouve vite dans le passage ; en bout de plan de travail tu as moins de flexibilité pour son utilisation mais il ne te gène pas pour le reste... En le fixant avec des papillons tu peux lui prévoir plusieurs emplacements sur ton plan de travail et gagner en souplesse.
Pour la R/D dans un si petit atelier je prendrais une machine de chantier avec un piétement mobile, rangée dans le fond en face du rack à bois et utilisée soit dehors soit là où tu as dessiné ta table mobile sur ton plan (avec la table mobile qui te servira dans cette configuration de servante en étant placée contre le mur coté porte avec un couloir devant la RD d'environ 60-70cms). La gestion des copeaux sera de toute façon compliquée : un aspi qui tienne la route sera difficile à caser au chausse pied, d'où l'intéret de l'utiliser dehors.
Le géotextile en base de composteur je n'ai aucun retour d'expérience direct, je sais que ça se fait, mais à part des suppositions je ne peux pas t'en dire grand chose.
Ce que je préconiserais dans ton cas vu que tu as un potentiel de contamination du puits : démarrer le compostage 1 an sur aire étanche, ce qui couvre largement la phase de fermentation du compost. Cette phase de fermentation est largement dominée par des réactions chimiques, et l'activité bactérienne donc elle se passe plutôt bien sur aire étanche.
Après cette année de fermentation, je ferais un transfert dans un nouveau bac, cette fois en contact direct avec le sol. Ainsi pendant la phase de maturation, insectes, vers, champignons et autres organismes provenant du sol vont pouvoir faire leur office. Par contre un toit parfaitement étanche serait de mise, pour éviter le lessivage du compost.
Avec la fermentation en zone étanche, tu fais déjà diminuer la charge pathogène, l'épaisseur de sol qui te sépare de la nappe dans laquelle tu puise devrait suffire à épurer les quelques résidus restant pendant la maturation. Et en ayant une maturation sur sol, tu auras un compost final de bien meilleure qualité que si tu faisait tout le process sur aire étanche. Par contre tu serais un peu hors des clous, je ne sais pas à quel point le SPANC peut t'em*** là dessus à l'heure actuelle, les choses ont pas mal évolué depuis que je me suis moins investi dans les toilettes.
Sur ma location actuelle, j'ai fait la conversion toilettes à eau vers toilettes sèches, et celle où j'étais avant j'ai fais l'aller-retour.
Conclusion : c'est beaucoup plus facile de passer de eau à sec que l'inverse.
Ce qui a facilité la transformation : dans les 2 cas, les toilettes sont au rez de chaussée et proches d'une porte donnant sur l'extérieur (voir même donnent directement sur l'extérieur), et je n'ai aucune pièce encombrée à traverser. Ca permet un transport facile des copeaux et des bacs à vider.
Le démontage de la cuvette à eau est plus ou moins facile selon l'âge : chiotte récent facile à démonter, chiotte de 30 ans une grosse galère avec plein de boulons rouillés et des tubes d'évacuation pas standards.
Une fois la cuvette démontée, il faut boucher le tube d'évacuation (habituellement c'est le siphon de la cuvette qui empêche les remontées d'odeurs, sans cuvette ça sent les égouts ou la fosse).
Dans ma maison actuelle, je dois faire un faux plancher pour surélever le toilette sec car le tube d'évacuation dépasse du sol, dans la précédente il était à raz. Enfin il faut boucher les arrivées d'eau, et sécuriser les tuyaux (un petit coffrage en bois) car en n'étant plus reliés à la cuvette, ils sont libres et si tu accroche dedans, faut savoir braser le cuivre pour réparer. Je déconseille de supprimer définitivement les arrivées et évacuation d'eau : même si vous êtes propriétaire, pouvoir revenir aux toilettes à eau facilitera une revente éventuelle, et vous offrira une porte de sortie si l'évolution de la législation va contre les toilette sèches.
A prendre en compte : actuellement j'ai un assainissement sur fosse, le fait de ne plus avoir de toilettes à eau rend difficile le fonctionnement de cette dernière car il n'y a plus assez de matière organique pour nourrir l'éparcyl. A priori je suis dans les clous pour la qualité de l'eau rejetée, mais si je n'étais pas en location je chercherais à adapter l'assainissement pour qu'il ait une meilleur efficacité. Sur un assainissement individuel prévu avec des toilettes à eau, les supprimer va tout de même diviser par 1,5 à 2 le volume global, et diminuer de 50 à 80% la charge à traiter. Un ANC surdimensionné fonctionne mal, quel que soit le système.
Pour la question de l'inox VS le plastique, j'entends la volonté de se passer du pétrole, mais il faut aussi penser à la quantité de pétrole et/ou charbon qui a été brûlé pour produire l'inox, pas sur que le seau inox sorte gagnant du comparatif ;)
Théoriquement les plastiques destinés à contenir des produits corrosifs comme les bacs de chlore ne vont pas être dégradés par l'urine, donc la durée de vie sera très bonne et la contamination du compost sera minime (et inférieure à celle de l'eau du robinet). Après ça n'engage que moi, et je reconnais que l'inox est quand même plus facile à nettoyer, et probablement plus hygiénique.
Ybos tout est encore une fois question de compromis : le gros avantage du séparateur est de diminuer énormément le volume, le poids et les odeurs dans le seau des toilettes. Avec séparateur tu pourras facilement tenir une semaine avec un bac de 30L pour 4 personnes, et ce bac de 30L fera à peine 10kg donc facile à vider.
Par contre le séparateur rend la conception plus complexe (installation d'une évacuation pour les liquides, avec un système pour éviter les remontées d'odeurs : siphon ou clapet de fermeture)
L'entretien sera aussi différent : il faudra nettoyer d'une part ton bac avec les solides ; et d'autre part le séparateur (sachant que ce qui passe dans ton séparateur va dans ta phyto, attention aux produits utilisés).
En terme d'apprentissage c'est aussi un peu plus "complexe" : il faut préciser aux invités males de faire pipi assis, qu'il ne faut pas mettre de sciure pour une petite commission mais bien y penser pour la grosse, de faire attention à ne pas mettre de copeaux/pq dans le séparateur etc...
Et enfin le plus gros point noir pour moi : le compost sera de toute façon trop sec et peu azoté ; il faudra donc ramener de l'humidité et des matières azotées (tonte d'herbe fraiche, épluchures de légumes, orties...) pour espérer qu'il remplisse son role de destruction des pathogènes. Par contre l'avantage en terme de compost c'est que tu peux accumuler tes matières sèches pendant un an, et faire un mélange avec apport d'azote et d'eau en une seule fois, ce qui peut etre plus simple à intégrer dans ton mode de vie que la gestion au quotidien du compost.
+1 J'ai à peu de chose près le meme rythme sur les gouges à creuser, la première en un an, la suivante en a deux et il reste un gros tiers de la gouge.
Les tourets à eau sont intéressants pour les outils en acier carbone car ils se détrempent plus vite, mais pour le HSS des outils de tournage ça me semble pas du tout indispensable.
En plus de ça pour faire le premier profil sur un outil neuf, il faut beaucoup moins de temps avec une meule à sec.
avec une meule blanche de bonne qualité et un redresseur de meule ça convient pour les outils de tournage, plus de largeur n'est pas nécessaire voir meme contre productif car conserver son geste d'affutage tout en se déplaçant sur la largeur de la meule pour uniformiser l'usure n'est pas simple.
idem, le coté "trompeur" des annonces à 1€, 10€ ou gratuites qui sont en fait des annonces faire offre est énervant ; mais personnellement je ne me sens pas en phase avec l'acharnement contre les annonces "faire offre".
Je suis peut etre naif, mais j'ai du mal à imaginer une armée de vendeurs aux dents qui rayent le parquet et qui mettent des annonces sans prix simplement en espérant tomber sur le gogo qui va proposer plus. J'ai souvent répondu à des offres de ce type ; et soit c'est une vrai arnaque (du genre c'est mon cousin qui vend donc je peux pas faire de photo...) ; soit je suis tombé sur des personnes qui vendent le stock d'un parent décédé et n'ont pas le moral de faire une annonce pour chaque objet avec les recherches et études de marché associées ; soit sur des pros qui vendent du matériel HS, qu'ils savent réparable mais n'ont pas le temps de faire eux meme, et qui laissent le prix libre en fonction des réparations à effectuer.
Jamais de gros méchant requin qui attend juste le pigeon qui vole trop près.
Moi meme je me suis retrouvé dans le second cas de figure plusieurs fois, et j'ai testé des annonces
-avec un prix "normal", et une mention à débattre dans l'annonce ; résultat pas terrible, les rares qui ont pris la peine de lire l'annonce veulent complètement casser le prix sans meme venir voir, les autres demandent si c'est état neuf.
-en mettant 1€ (par convention équivalent à "faire offre" sur LBC) ; les contacts par mail me permettent de faire le tri entre les acheteurs sérieux et les casse c***s ; et les acheteurs sérieux je les contact systématiquement par téléphone pour bien leur expliquer la chose avant qu'ils viennent, et là j'annonce mon prix espéré, la marge de négo etc...
Boris Beaulant
ta lecture des choses me fait un peu mal là ;)
disons que de base la vente par correspondance est contre nature pour moi : une vente c'est avant tout un échange de biens entre humains. En passant par une annonce on fait déjà disparaitre un gros morceau de chaque humain.
ensuite je pars plutot du constat que malheureusement sur les site d'annonces, beaucoup ne semblent pas lire les détails de l'annonce, et l'absence de relation directe entre acheteur et vendeur ne permet pas d'expliciter clairement les termes de l'accord si l'un des deux partis ne prend pas la peine de prendre les informations disponibles.
En posant le négociation du prix (faire offre) comme préalable à l'accord, j'impose un contact vendeur/acheteur plus poussé que de sortir sa carte bleue et attendre la livraison mondial relay ; ce qui pour moi ressemble beaucoup plus à une relation commerciale équilibrée qu'un achat direct sur LBC avant meme d'avoir vu l'objet en vrai.
pour conclure ce dont je veux avoir la maitrise ce n'est pas l'accord, mais les règles du jeu pour aboutir à cet accord : un échange entre humains et pas un arbitrage par la main invisible du marché.
Donc en suivant se raisonnement, il est préférable de devoir passer pas mal de temps répondre à de nombreux messages de propositions diverses pour ne pas prendre le temps de regarder, soit le prix du marché, soit la valeur de ce que tu souhaites en tirer ?
Perso quand j'ai vidé la maison de mes grands parents l'urgent c'était de faire de la place, pas de gagner des sous ; et si je ne vendais pas sur le bon coin rapidement la semaine suivante tonton passait par là et tout finissait à la déchèterie. Donc je mettait tout en faire offre, et je disais oui à la première proposition venue point, aucune négociation, aucun e****t avec quinze propositions à étudier.
S'il avait fallu passer du temps à étudier le marché j'aurais eu la flemme et tout serait à la déchet à l'heure qu'il est.
Boris Beaulant
t'inquiètes pas y'a le petit smiley qui fait un clin d'oeil quand meme.
l'affichage du prix ne coupe pas le dialogue, ça c'est plutot la faute du marché de l'occasion sur le net avec vinted ou LBC qui proposent aux vendeurs de devenir de vrais pros de la VPC avec des encaissements CB et expéditions par mondial relay.
Par contre le non affichage du prix impose le dialogue.
La mention "a négocier" invite au dialogue sans l'imposer.
Vaste sujet.
Pour moi tout est relatif : sur l'exemple du casque ; sans pour autant etre victime d'hyperacousie, je suis très sensible à certaines fréquences : j'arrive à savoir qu'une machine est restée branchée parce que j'entends le condensateur siffler à 5m alors que les autres ne l'entendent meme pas en collant l'oreille sur le boitier électrique. Pour autant j'arrive à supporter des machines à 92dB sans ressentir de gène particulière ; je considère que cette sensibilité est une chance et j'essaye de la préserver en utilisant le casque de manière quasi systématique ; pour autant je ne jette pas la pierre à ceux qui n'utilisent pas le casque parce qu'ils ressentent une gène particulière.
Si on prend un autre exemple comme les chaussures de sécurité ; j'ai essayé, mais franchement c'est insupportable pour moi. Pour ne pas avoir les doigts de pieds engourdis et douloureux au bout de 2h je suis obligé de prendre deux pointures au dessus, résultat je me prends tout le temps les pieds dans les pieds de meubles ou autre, et je préfère prendre le risque de me prendre un truc sur le pied que de tomber à chaque pas.
Bref, chaque EPI est une protection contre un risque, au détriment d'une capacité sensorielle ou physique (par ex le pantalon anti coupe pour le bucheronnage qui fait perdre en souplesse). Chacun ayant sa sensibilité, c'est à chacun de juger où se situe la barre à partir de laquelle la perte sensorielle est compensée par le gain de protection ; et selon les situation cette barre sera Différente.
Et puis comme le dit sylvain, il faut évaluer les risques à chaque situation ; en prenant en compte l'opérateur : entre celui qui est toupilleur depuis des années et l'amateur ; je pense que le toupilleur chevronné a plus de risques de se faire mal sur une opération basique qu'il fera en fin de semaine, un peu fatigué et qu'il fera sans y faire attention parce qu'il l'a déjà fait 400 fois ; alors que l'amateur aura plus de risques de se blesser sur un usinage complexe qu'il aura (mal) imité depuis une vidéo ou un tuto sur un magasine. Perso je me sentais plus en danger en intérim quand je faisais 8h de dégau/jour sur une dégau neuve et parfaitement équipée ; que quand je fais 2h de dégau avec trois pauses sur ma vieille machine centenaire.
Kentaro Le plaisir de jouer au professionnel comme on a plaisir à se déguiser avec des tenues pas du tout pratiques quand on est gamin
Un loisir c'est une forme de jeu pour adulte, certains aiment respecter scrupuleusement les règles, et en l'occurrence les règles du jeu sont dictées par les règles professionnelles qui sont aussi là pour protéger les travailleurs de certains abus (je suis le premier à pester contre certaines normes, mais quand je vois des images d'ateliers en asie du sud est je me dis que ça a quand meme du bon...).
Perso je suis plus du genre à m'inspirer des règles pour ensuite les mettre à ma sauce, mais chacun voit midi à sa porte.
trente six seb je crois deviner ce qu'il s'est passé ;) faut assumer les coquilles
En dessous de 10 salariés ou 2 millions de CA tu as encore droit au tarif reglementé EDF ; dont le tarif va dépendre uniquement de la puissance souscrite et de la consommation. Au delà tu es obligé de prendre une offre pro (ou si tu as besoin de tensions supérieures comme du 600V).
Après pas besoin de s'inquiéter ; tant qu'on ne chauffe ou refroidit pas à l'électrique, les consommations restent minimes. Un moteur électrique ça a un rendement extraordinaire (un moteur de 750W a vaguement autant de puissance qu'un animal de trait) ; par contre pour ce qui est de produire de la chaleur, c'est pas terrible (un radiateur de 750W ça réchauffe beaucoup moins la crèche du petit jésus que le boeuf qui est dedans).
francoisB30 non tu as raison, j'ai lu en vitesse et j'ai mélangé les chiffres lors de ma première lecture
"Pas la porte à coté le Danemark"... juste pour relativiser, faites un itinéraire Strasbourg/Copenhague et comparez avec un Strasbourg/Pau.
Ensuite prenez en compte qu'à de rares exceptions près ; un petit colis international qui est passé par le groupe La Poste a forcément fait un passage par Mer (entre Tours et Orléan) entre l'expéditeur et chez vous...
bref ; les circuits de transport/distribution sont tellement alambiqués que commander au Danemark ; en Espagne ; à l'autre bout de la France ou meme chez son voisin (qui lui meme a fait venir les clous de Chine) doit avoir un bilan carbone aussi mauvais...